Comment j’ai connu la Science Chrétienne
Mon chien Sweetie m’a guidée vers l’église
Michelle Carney
Héraut de la Science Chrétienne - janvier 2025
Héraut de la Science Chrétienne - janvier 2025
Mon enfance a été très traumatisante ; on me disait constamment que j’étais stupide et pas assez bonne. Pendant quarante ans, j’ai cru à ces messages, même si je cherchais une façon différente de voir la vie. J’ai dépensé beaucoup d’argent en thérapeutes et en programmes de développement personnel, et je suis même devenue thérapeute moi-même afin de comprendre ce qui n’allait pas chez moi. Pourtant, je ne voyais tout simplement pas l’intérêt de vivre une existence aussi atrocement douloureuse. Toujours en recherche de quelque chose que je ne parvenais jamais à trouver, je m’enfonçais dans une spirale autodestructrice. Je connaissais Dieu intellectuellement, mais si Dieu existait, pourquoi toutes ces mauvaises choses se produisaient-elles ? En fait, chaque chose négative qui se produisait renforçait en moi la conviction que si Dieu existait, alors Il m’avait abandonnée, et j’étais par conséquent indigne de Son amour, comme de l’amour de qui que ce soit d’autre.
En désespoir de cause, j’adressais des prières à un Dieu en Lequel je ne croyais pas, demandant soit à être frappée de mort, soit à être guidée vers une meilleure voie. Quelques jours plus tard, mon petit chiot, Sweetie, m’a conduite de l’autre côté de la rue jusqu’à la Première Eglise du Christ, Scientiste, à Reading, en Pennsylvanie.
Dès l’instant où j’ai franchi le seuil de l’église, je me suis sentie chez moi. Dans le livre d’étude de la Science Chrétienne, Science et Santé avec la Clef des Ecritures, de Mary Baker Eddy, « l’Eglise » est définie, en partie, comme étant « la structure de la Vérité et de l’Amour » (p. 583). J’ai recherché cette structure, assistant désormais aux réunions de témoignage du mercredi et aux services du dimanche. Je savais que j’étais au bon endroit et que Dieu me guérissait à travers les services religieux. Chaque mardi, je regardais par la fenêtre et je constatais que la salle de lecture de la Science Chrétienne était ouverte. Je n’avais pas d’autre endroit où aller, alors j’y allais. J’ai pu discuter avec la bibliothécaire des révélations qui se produisaient dans ma vie et qui me paraissaient miraculeuses. Elle répondait à mes questions et me guidait vers certaines lectures.
J’ai commencé à lire chaque jour la Leçon biblique hebdomadaire du Livret trimestriel de la Science Chrétienne.J’ai ressenti de la paix et le sentiment d’être guidée, même si, en apparence, ma vie semblait être un désastre. Au début, on m’a suggéré de lire le chapitre « Récapitulation » de Science et Santé et, en lisant, j’ai su que je lisais la vérité. Je comprenais mieux ma relation à Dieu, et ma foi se renforçait. Face aux problèmes que je rencontrais, toutes mes actions étaient gouvernées par une paix intérieure.
Environ deux mois après, cette église filiale a organisé une causerie avec un conférencier de la Science Chrétienne. C’était comme si le conférencier me parlait directement. A la fin, j’ai parlé au conférencier et nous avons prié ensemble à l’instant même. Cela a été ma première expérience de travail avec un praticien de la Science Chrétienne. J’apprenais à m’appuyer sur Dieu pour guérir. Plus j’étudiais, plus ma vie s’améliorait. Jésus parle d’aller dans notre chambre pour prier (voir Matthieu 6:6). Bien que cela soit entendu au sens figuré, je l’ai fait au sens littéral parce que c’est là que je trouvais le plus de paix et de sécurité dans ma jeunesse. La profonde tristesse que je portais depuis des décennies s’est estompée lorsque j’ai retrouvé mon unité avec Dieu dans ma chambre.
Plus j’étudiais la Science Chrétienne, plus je me sentais en paix. J’ai été inspirée et renforcée par le courage et la foi dont les biographies de Mary Baker Eddy font mention. J’ai été témoin de beaucoup de choses merveilleuses qui se sont passées dans ma vie. Je suis devenue membre de L’Eglise Mère (La Première Eglise du Christ, Scientiste, à Boston, aux Etats-Unis) et j’ai suivi le Cours Primaire, un cours de deux semaines entièrement axé sur le chapitre « Récapitulation ». J’ai découvert que je pouvais me guérir moi-même et guérir les autres en dissipant la peur grâce à la prière telle qu’elle a été enseignée par Christ Jésus. J’ai réalisé qu’une vocation se dessinait lorsque j’ai lu ceci dans La Première Eglise du Christ, Scientiste, et Miscellanées, de Mary Baker Eddy : « En tant que partie active d’une tout prodigieux, la bonté identifie l’homme au bien universel. Puisse ainsi chaque membre de cette église s’élever au-dessus de la question si souvent posée, Que suis-je ?, jusqu’à la réponse scientifique : je suis capable de communiquer la vérité, la santé, le bonheur, et c’est le rocher de mon salut et ma raison d’être. » (p. 165) Je me suis sentie appelée à devenir nurse de la Science Chrétienne et à démontrer l’Amour divin partout où je me trouvais. A ce moment-là, je suis devenue heureuse, insouciante, prête à faire tout ce qui m’était révélé par le Christ, la Vérité.
Je ne saurais dire à quel point je suis reconnaissante de pouvoir être au service de Dieu à travers ma pratique de la Science Chrétienne, qui m’a révélé une vérité spirituelle qui apporte tant de bénédictions au monde. En vérité, ce qui bénit l’un bénit tous. Nous pouvons démontrer ensemble que la Science Chrétienne guérit autant aujourd’hui qu’elle le faisait lorsqu’elle a été si pleinement démontrée par Jésus.
Maintenant que j’en sais davantage sur l’omnipotence de Dieu, je vois des preuves de Dieu chaque jour. Cette existence effrayante et douloureuse que je croyais être la mienne a disparu. J’ai réalisé que « comme un nuage cache le soleil qu’il ne peut éteindre, ainsi la fausse croyance fait taire pour un moment la voix de l’immuable harmonie, mais la fausse croyance ne peut détruire la Science armée de foi, d’espérance et de réalisation » (Science et Santé, p. 298).
Je pouvais voir la foi, l’espoir et les fruits obtenus grandir à mesure que je m’impliquais dans notre église filiale de l’Eglise du Christ, Scientiste, et que j’étudiais la Bible et Science et Santé.
Je suis récemment devenue membre d’une église filiale, et c’est vraiment une joie de pouvoir servir en tant qu’huissier et saluer la congrégation lorsqu’elle entre dans l’église. C’est un plaisir de servir à la salle de lecture de la Science Chrétienne. Je me considère aujourd’hui comme le reflet de Dieu, de l’Amour divin, et comme étant digne d’être aimée. Je vois également l’opportunité de servir Dieu et de bénir le monde – une bénédiction qui est l’émanation de l’amour de Dieu, s’exprimant envers moi et envers ceux que je suis en mesure d’aider. Connaître la Science Chrétienne a été un cadeau si précieux que je me sens obligée de partager ce récit de mon cheminement.
En désespoir de cause, j’adressais des prières à un Dieu en Lequel je ne croyais pas, demandant soit à être frappée de mort, soit à être guidée vers une meilleure voie. Quelques jours plus tard, mon petit chiot, Sweetie, m’a conduite de l’autre côté de la rue jusqu’à la Première Eglise du Christ, Scientiste, à Reading, en Pennsylvanie.
Dès l’instant où j’ai franchi le seuil de l’église, je me suis sentie chez moi. Dans le livre d’étude de la Science Chrétienne, Science et Santé avec la Clef des Ecritures, de Mary Baker Eddy, « l’Eglise » est définie, en partie, comme étant « la structure de la Vérité et de l’Amour » (p. 583). J’ai recherché cette structure, assistant désormais aux réunions de témoignage du mercredi et aux services du dimanche. Je savais que j’étais au bon endroit et que Dieu me guérissait à travers les services religieux. Chaque mardi, je regardais par la fenêtre et je constatais que la salle de lecture de la Science Chrétienne était ouverte. Je n’avais pas d’autre endroit où aller, alors j’y allais. J’ai pu discuter avec la bibliothécaire des révélations qui se produisaient dans ma vie et qui me paraissaient miraculeuses. Elle répondait à mes questions et me guidait vers certaines lectures.
J’ai commencé à lire chaque jour la Leçon biblique hebdomadaire du Livret trimestriel de la Science Chrétienne.J’ai ressenti de la paix et le sentiment d’être guidée, même si, en apparence, ma vie semblait être un désastre. Au début, on m’a suggéré de lire le chapitre « Récapitulation » de Science et Santé et, en lisant, j’ai su que je lisais la vérité. Je comprenais mieux ma relation à Dieu, et ma foi se renforçait. Face aux problèmes que je rencontrais, toutes mes actions étaient gouvernées par une paix intérieure.
Environ deux mois après, cette église filiale a organisé une causerie avec un conférencier de la Science Chrétienne. C’était comme si le conférencier me parlait directement. A la fin, j’ai parlé au conférencier et nous avons prié ensemble à l’instant même. Cela a été ma première expérience de travail avec un praticien de la Science Chrétienne. J’apprenais à m’appuyer sur Dieu pour guérir. Plus j’étudiais, plus ma vie s’améliorait. Jésus parle d’aller dans notre chambre pour prier (voir Matthieu 6:6). Bien que cela soit entendu au sens figuré, je l’ai fait au sens littéral parce que c’est là que je trouvais le plus de paix et de sécurité dans ma jeunesse. La profonde tristesse que je portais depuis des décennies s’est estompée lorsque j’ai retrouvé mon unité avec Dieu dans ma chambre.
Plus j’étudiais la Science Chrétienne, plus je me sentais en paix. J’ai été inspirée et renforcée par le courage et la foi dont les biographies de Mary Baker Eddy font mention. J’ai été témoin de beaucoup de choses merveilleuses qui se sont passées dans ma vie. Je suis devenue membre de L’Eglise Mère (La Première Eglise du Christ, Scientiste, à Boston, aux Etats-Unis) et j’ai suivi le Cours Primaire, un cours de deux semaines entièrement axé sur le chapitre « Récapitulation ». J’ai découvert que je pouvais me guérir moi-même et guérir les autres en dissipant la peur grâce à la prière telle qu’elle a été enseignée par Christ Jésus. J’ai réalisé qu’une vocation se dessinait lorsque j’ai lu ceci dans La Première Eglise du Christ, Scientiste, et Miscellanées, de Mary Baker Eddy : « En tant que partie active d’une tout prodigieux, la bonté identifie l’homme au bien universel. Puisse ainsi chaque membre de cette église s’élever au-dessus de la question si souvent posée, Que suis-je ?, jusqu’à la réponse scientifique : je suis capable de communiquer la vérité, la santé, le bonheur, et c’est le rocher de mon salut et ma raison d’être. » (p. 165) Je me suis sentie appelée à devenir nurse de la Science Chrétienne et à démontrer l’Amour divin partout où je me trouvais. A ce moment-là, je suis devenue heureuse, insouciante, prête à faire tout ce qui m’était révélé par le Christ, la Vérité.
Je ne saurais dire à quel point je suis reconnaissante de pouvoir être au service de Dieu à travers ma pratique de la Science Chrétienne, qui m’a révélé une vérité spirituelle qui apporte tant de bénédictions au monde. En vérité, ce qui bénit l’un bénit tous. Nous pouvons démontrer ensemble que la Science Chrétienne guérit autant aujourd’hui qu’elle le faisait lorsqu’elle a été si pleinement démontrée par Jésus.
Maintenant que j’en sais davantage sur l’omnipotence de Dieu, je vois des preuves de Dieu chaque jour. Cette existence effrayante et douloureuse que je croyais être la mienne a disparu. J’ai réalisé que « comme un nuage cache le soleil qu’il ne peut éteindre, ainsi la fausse croyance fait taire pour un moment la voix de l’immuable harmonie, mais la fausse croyance ne peut détruire la Science armée de foi, d’espérance et de réalisation » (Science et Santé, p. 298).
Je pouvais voir la foi, l’espoir et les fruits obtenus grandir à mesure que je m’impliquais dans notre église filiale de l’Eglise du Christ, Scientiste, et que j’étudiais la Bible et Science et Santé.
Je suis récemment devenue membre d’une église filiale, et c’est vraiment une joie de pouvoir servir en tant qu’huissier et saluer la congrégation lorsqu’elle entre dans l’église. C’est un plaisir de servir à la salle de lecture de la Science Chrétienne. Je me considère aujourd’hui comme le reflet de Dieu, de l’Amour divin, et comme étant digne d’être aimée. Je vois également l’opportunité de servir Dieu et de bénir le monde – une bénédiction qui est l’émanation de l’amour de Dieu, s’exprimant envers moi et envers ceux que je suis en mesure d’aider. Connaître la Science Chrétienne a été un cadeau si précieux que je me sens obligée de partager ce récit de mon cheminement.
Les faits relatifs aux guérisons mentionnés dans tous les témoignages et les articles ont été confirmés par écrit par des personnes qui ont été témoins de la guérison ou qui peuvent garantir l'intégrité de l'auteur.
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