Comment j’ai prié pendant mon match de basket
Audrey
Tiré du Héraut de la Science Chrétienne mars 2021
Tiré du Héraut de la Science Chrétienne mars 2021
J’aime faire du sport, surtout du basket. Je joue au poste de meneuse de jeu et pour moi le basket est un jeu très amusant. Le basket m’apprend à faire partie d’une équipe et comment nous pouvons nous aider mutuellement.
L’année dernière, nous avons eu un match contre une équipe de choc et pendant la première mi-temps, nous avons subi une lourde défaite. Aussi, à la mi-temps, j’ai ressenti le besoin de prier. Je me suis excusée afin d’aller aux toilettes, où je pouvais être au calme, et j’ai prié. Je ne me souviens pas des termes exacts avec lesquels j’ai prié, mais je me rappelle avoir pensé à certaines idées que j’avais apprises à l’école du dimanche de la Science Chrétienne : que Dieu était avec moi et avec mes coéquipières, que Dieu donne à chacun les qualités dont il a besoin pour faire de son mieux, et que nous sommes toujours capables d’entendre les idées de Dieu, qui sont toujours justes. Je savais que nous ne nous affrontions pas pour être les meilleurs ou pour gagner, mais parce que nous aimions jouer et être ensemble en tant qu’équipe.
Un de mes passages préférés de Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy décrit ce que je ressentais à ce moment-là : « Dieu est partout, et rien en dehors de Lui n’est présent ni puissant. » (p. 473) Je savais que Dieu était avec nous sur le terrain et que la présence de Dieu, de l’Amour, était une force !
Après cela, j’ai entendu siffler le début de la deuxième mi-temps, alors j’ai couru vers le terrain. Je me sentais vraiment bénie. Je me suis rendu compte que je n’avais plus chaud, que je n’étais plus fatiguée comme pendant la première mi-temps. A présent j’avais retrouvé mon énergie et ma joie ! Chaque membre de l’équipe a commencé à jouer de son mieux, et nous avons tous très bien collaboré. A la fin nous avons gagné, mais ce n’était pas aussi important que de se rendre compte que Dieu était toujours présent et que, lorsque la prière avait changé ma façon de penser au sujet de la situation, mon approche de l’ensemble du jeu avait changé.
Sur le terrain, on entend les cris des parents, des entraîneurs, des coéquipiers et des adversaires. Certaines des choses qu’ils disent sont utiles et d’autres pas du tout. Prier pendant ce match m’a appris que, même lorsque je ne sais pas à quelle voix je dois prêter attention, je peux toujours écouter Dieu et Lui faire confiance.
L’année dernière, nous avons eu un match contre une équipe de choc et pendant la première mi-temps, nous avons subi une lourde défaite. Aussi, à la mi-temps, j’ai ressenti le besoin de prier. Je me suis excusée afin d’aller aux toilettes, où je pouvais être au calme, et j’ai prié. Je ne me souviens pas des termes exacts avec lesquels j’ai prié, mais je me rappelle avoir pensé à certaines idées que j’avais apprises à l’école du dimanche de la Science Chrétienne : que Dieu était avec moi et avec mes coéquipières, que Dieu donne à chacun les qualités dont il a besoin pour faire de son mieux, et que nous sommes toujours capables d’entendre les idées de Dieu, qui sont toujours justes. Je savais que nous ne nous affrontions pas pour être les meilleurs ou pour gagner, mais parce que nous aimions jouer et être ensemble en tant qu’équipe.
Un de mes passages préférés de Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy décrit ce que je ressentais à ce moment-là : « Dieu est partout, et rien en dehors de Lui n’est présent ni puissant. » (p. 473) Je savais que Dieu était avec nous sur le terrain et que la présence de Dieu, de l’Amour, était une force !
Après cela, j’ai entendu siffler le début de la deuxième mi-temps, alors j’ai couru vers le terrain. Je me sentais vraiment bénie. Je me suis rendu compte que je n’avais plus chaud, que je n’étais plus fatiguée comme pendant la première mi-temps. A présent j’avais retrouvé mon énergie et ma joie ! Chaque membre de l’équipe a commencé à jouer de son mieux, et nous avons tous très bien collaboré. A la fin nous avons gagné, mais ce n’était pas aussi important que de se rendre compte que Dieu était toujours présent et que, lorsque la prière avait changé ma façon de penser au sujet de la situation, mon approche de l’ensemble du jeu avait changé.
Sur le terrain, on entend les cris des parents, des entraîneurs, des coéquipiers et des adversaires. Certaines des choses qu’ils disent sont utiles et d’autres pas du tout. Prier pendant ce match m’a appris que, même lorsque je ne sais pas à quelle voix je dois prêter attention, je peux toujours écouter Dieu et Lui faire confiance.
Les faits relatifs aux guérisons mentionnés dans tous les témoignages et les articles ont été confirmés par écrit par des personnes qui ont été témoins de la guérison ou qui peuvent garantir l'intégrité de l'auteur.
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