Comment un accident de la route
a suscité une étude approfondie et la guérison
Jeffrey S. Peake
Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de mars 2023
Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de mars 2023
Il y a quelques années, alors que je rentrais d’une conférence de la Science Chrétienne et que je roulais sur une autoroute très fréquentée, la circulation s’est brusquement arrêtée. En regardant dans mon rétroviseur, j’ai vu que le camion derrière moi n’allait pas pouvoir stopper à temps. Aussitôt, je me suis détourné du rétroviseur et j’ai crié : « Non ! Il n’y a pas d’accidents dans le royaume de Dieu ! » Ma voiture a été percutée et projetée vers le terre-plein central, sans heurter d’autres véhicules, puis elle s’est immobilisée après avoir fait un tonneau. Durant tout ce temps, je n’ai cessé d’affirmer : « Maintenant même je suis en sécurité sous la protection de Dieu. »
Je me suis retrouvé assis sur le toit, à l’intérieur de la voiture à l’envers, avec un exemplaire de Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy à côté de moi. J’ai attrapé le livre et je me suis extirpé de là par la fenêtre arrière avec l’aide de quelques personnes. J’ai appelé ma femme et ma mère pour qu’elles me soutiennent. Ma mère, qui rentrait de la même conférence de la Science Chrétienne, m’a assuré que j’allais bien et que je n’avais jamais été privé de la protection de Dieu.
Les premiers secours sont rapidement arrivés sur les lieux. Comme il se doit, ils ont examiné mon état et ont fait preuve de beaucoup d’amour et de gentillesse. Avec courtoisie, j’ai refusé d’aller aux urgences, expliquant que je voulais rentrer chez moi auprès de ma famille.
Ma femme est venue me chercher et, durant le trajet qui nous ramenait chez nous, nous avons prié pour savoir que Dieu gouvernait la situation, tout en continuant d’affirmer qu’il n’y a pas d’accidents dans le royaume de Dieu. J’avais le corps engourdi et endolori, j’imaginais avec crainte toutes sortes de scénarios basés sur des « et si ... » et je me rendais compte qu’il me fallait choisir la méthode sur laquelle m’appuyer pour être guéri.
La décision était tout à fait claire à mes yeux. Je savais que le traitement par la Science Chrétienne est complet et permanent, c’est pourquoi je voulais m’en remettre à la Science Chrétienne. Cependant, ma compréhension de Dieu ne me semblait pas suffisamment solide. J’aspirais à mieux comprendre Dieu et ma relation à Lui, en tant que Son enfant. Je me suis donc mis à étudier en profondeur la Science Chrétienne.
A la maison, j’ai immédiatement appelé un praticien de la Science Chrétienne pour obtenir un soutien par la prière. Nous avons commencé à travailler à partir de l’énoncé suivant tiré de Science et Santé : « La compréhension, semblable à celle de Christ, de l’être scientifique et de la guérison divine renferme un Principe parfait et une idée parfaite – Dieu parfait et homme parfait – comme base de la pensée et de la démonstration. » (p. 259) J’aimais l’idée d’être déjà spirituel et parfait, créé par Dieu à Son image et à Sa ressemblance, comme le déclare le premier chapitre de la Genèse. Je n’avais pas besoin d’essayer d’atteindre la perfection, la plénitude et la santé ; c’est en réalité un état inhérent à mon être et mon point de départ.
J’ai prié pour mieux comprendre ce que je suis et la façon dont Dieu m’a créé. J’ai d’abord cherché la définition de « l’homme » dans Science et Santé. Selon cette définition, étant cet homme spirituel, nous sommes tous « l’idée composée de l’Esprit infini ; l’image et la ressemblance spirituelles de Dieu ; la représentation complète de l’Entendement » (p. 591).
J’ai décidé de dresser une liste de qualités que Dieu exprimait en moi : fidélité, force, capacité, constance, compréhension, souplesse, mobilité, santé et intégrité. J’ai affirmé que ces qualités créées par Dieu me définissaient, au lieu de se rapporter au physique. En tant que « représentation complète de l’Entendement », j’étais intact et complet. Par conséquent, je ne pouvais être brisé, fracturé ou séparé de Dieu en aucune façon.
Sur cette base, j’ai désiré ardemment mieux connaître Dieu, sentir Sa présence et comprendre Sa magnificence. A nouveau, je me suis tourné vers Science et Santé et j’ai étudié cette définition : « Dieu. Le grand Je suis ; celui qui sait tout, qui voit tout, en est toute action, toute sagesse, tout amour, et qui est éternel ; Principe ; Entendement ; Ame ; Esprit ; Vie ; Vérité ; Amour ; toute substance ; intelligence. » (p. 587)
Alors que je réfléchissais à la grandeur de Dieu, j’ai été envahi par le sentiment de Sa présence, qui me disait : « J’ai toujours été là, tout le temps. Jamais, ne serait-ce qu’un instant, nous n’avons été séparés ». J’ai réalisé que lorsqu’il me venait des lueurs de compréhension, des bons sentiments ou des pensées inspirées, c’était en réalité Dieu qui me parlait, me guidait et me réconfortait. Mes craintes ont peu à peu cédé la place à la confiance, et j’ai commencé à ressentir une amélioration physique.
Une semaine plus tard, pour des raisons d’assurance, on m’a demandé de me rendre dans un établissement médical pour me faire examiner. J’ai donc consulté un médecin, qui a fait quelques examens.
En rentrant chez moi, j’ai reçu un appel alarmant du médecin. Je devais immédiatement me rendre aux urgences. Selon lui, mon état était grave, je souffrais d’une fracture par compression au niveau de la nuque. Son pronostic sur ce qui risquait de m’arriver faute de soins était effrayant.
Je me suis rendu aux urgences en ayant très peur, et j’ai dû prier pour me calmer. Pendant que j’attendais de passer des radios et d’avoir le résultat, et que je subissais divers autres examens, j’ai prié avec la Prière du Seigneur que nous a donnée Christ Jésus, car Science et Santé explique que cette prière « répond à tous les besoins humains » (p. 16). J’ai aussi trouvé utile d’étudier l’interprétation spirituelle qu’en donne Mary Baker Eddy, notamment le passage suivant :
Et ne nous induis pas en tentation, mais délivre-nous du mal
Et Dieu ne nous induit pas en tentation, mais nous délivre du péché, de la maladie et de la mort.
(Science et Santé, p. 17)
J’ai prié pour savoir et comprendre que Dieu me protège, moi et les autres, de l’emprise apparente du mal. Dieu nous délivre et nous élève au-dessus des croyances mortelles. En d’autres termes, je me suis efforcé de reconnaître et de comprendre que toute cette expérience, qualifiée de dangereuse et de douloureuse, « n’avait jamais eu lieu », ce dont le praticien et moi avions discuté lors de mon premier appel.
Un peu plus tard, un médecin est arrivé, et je me souviens qu’il a dit : « Votre état est stable. » Il m’a expliqué que les vertèbres endommagées s’étaient remises en place et que, selon lui, je n’étais pas en danger. J’ai été submergé de gratitude parce que je voyais là l’omniscience, l’omni-action, l’omniprésence et la puissance de Dieu. « Eh bien, me suis-je dit, la ‘‘stabilité’’ est manifestement un mot à ajouter sur la liste des qualités spirituelles que j’inclus en tant qu’expression de Dieu. »
Mon étude et mes prières ne se sont pas arrêtées là. J’ai pu prendre plusieurs semaines de congé et j’ai utilisé ce temps pour me plonger dans l’étude de Science et Santé, continuant à ressentir la présence de Dieu et à comprendre que le message du Christ est toujours efficace. J’ai également lu une biographie intitulée Mary Baker Eddy : Une vie consacrée à la guérison spirituelle de Yvonne Caché von Fettweis et Robert Townsend Warneck.
Quelques mois après l’accident, j’ai pu faire du rafting en eaux vives et mener une vie très active, sans problème ni effets secondaires. J’ai également suivi le Cours Primaire avec un professeur de Science Chrétienne (qui est aussi le praticien de la Science Chrétienne dont les prières m’ont aidé à guérir).
Voilà plus de deux ans que cette guérison a eu lieu. Je suis en pleine forme et n’éprouve aucune gêne dans mes mouvements.
Je me suis retrouvé assis sur le toit, à l’intérieur de la voiture à l’envers, avec un exemplaire de Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy à côté de moi. J’ai attrapé le livre et je me suis extirpé de là par la fenêtre arrière avec l’aide de quelques personnes. J’ai appelé ma femme et ma mère pour qu’elles me soutiennent. Ma mère, qui rentrait de la même conférence de la Science Chrétienne, m’a assuré que j’allais bien et que je n’avais jamais été privé de la protection de Dieu.
Les premiers secours sont rapidement arrivés sur les lieux. Comme il se doit, ils ont examiné mon état et ont fait preuve de beaucoup d’amour et de gentillesse. Avec courtoisie, j’ai refusé d’aller aux urgences, expliquant que je voulais rentrer chez moi auprès de ma famille.
Ma femme est venue me chercher et, durant le trajet qui nous ramenait chez nous, nous avons prié pour savoir que Dieu gouvernait la situation, tout en continuant d’affirmer qu’il n’y a pas d’accidents dans le royaume de Dieu. J’avais le corps engourdi et endolori, j’imaginais avec crainte toutes sortes de scénarios basés sur des « et si ... » et je me rendais compte qu’il me fallait choisir la méthode sur laquelle m’appuyer pour être guéri.
La décision était tout à fait claire à mes yeux. Je savais que le traitement par la Science Chrétienne est complet et permanent, c’est pourquoi je voulais m’en remettre à la Science Chrétienne. Cependant, ma compréhension de Dieu ne me semblait pas suffisamment solide. J’aspirais à mieux comprendre Dieu et ma relation à Lui, en tant que Son enfant. Je me suis donc mis à étudier en profondeur la Science Chrétienne.
A la maison, j’ai immédiatement appelé un praticien de la Science Chrétienne pour obtenir un soutien par la prière. Nous avons commencé à travailler à partir de l’énoncé suivant tiré de Science et Santé : « La compréhension, semblable à celle de Christ, de l’être scientifique et de la guérison divine renferme un Principe parfait et une idée parfaite – Dieu parfait et homme parfait – comme base de la pensée et de la démonstration. » (p. 259) J’aimais l’idée d’être déjà spirituel et parfait, créé par Dieu à Son image et à Sa ressemblance, comme le déclare le premier chapitre de la Genèse. Je n’avais pas besoin d’essayer d’atteindre la perfection, la plénitude et la santé ; c’est en réalité un état inhérent à mon être et mon point de départ.
J’ai prié pour mieux comprendre ce que je suis et la façon dont Dieu m’a créé. J’ai d’abord cherché la définition de « l’homme » dans Science et Santé. Selon cette définition, étant cet homme spirituel, nous sommes tous « l’idée composée de l’Esprit infini ; l’image et la ressemblance spirituelles de Dieu ; la représentation complète de l’Entendement » (p. 591).
J’ai décidé de dresser une liste de qualités que Dieu exprimait en moi : fidélité, force, capacité, constance, compréhension, souplesse, mobilité, santé et intégrité. J’ai affirmé que ces qualités créées par Dieu me définissaient, au lieu de se rapporter au physique. En tant que « représentation complète de l’Entendement », j’étais intact et complet. Par conséquent, je ne pouvais être brisé, fracturé ou séparé de Dieu en aucune façon.
Sur cette base, j’ai désiré ardemment mieux connaître Dieu, sentir Sa présence et comprendre Sa magnificence. A nouveau, je me suis tourné vers Science et Santé et j’ai étudié cette définition : « Dieu. Le grand Je suis ; celui qui sait tout, qui voit tout, en est toute action, toute sagesse, tout amour, et qui est éternel ; Principe ; Entendement ; Ame ; Esprit ; Vie ; Vérité ; Amour ; toute substance ; intelligence. » (p. 587)
Alors que je réfléchissais à la grandeur de Dieu, j’ai été envahi par le sentiment de Sa présence, qui me disait : « J’ai toujours été là, tout le temps. Jamais, ne serait-ce qu’un instant, nous n’avons été séparés ». J’ai réalisé que lorsqu’il me venait des lueurs de compréhension, des bons sentiments ou des pensées inspirées, c’était en réalité Dieu qui me parlait, me guidait et me réconfortait. Mes craintes ont peu à peu cédé la place à la confiance, et j’ai commencé à ressentir une amélioration physique.
Une semaine plus tard, pour des raisons d’assurance, on m’a demandé de me rendre dans un établissement médical pour me faire examiner. J’ai donc consulté un médecin, qui a fait quelques examens.
En rentrant chez moi, j’ai reçu un appel alarmant du médecin. Je devais immédiatement me rendre aux urgences. Selon lui, mon état était grave, je souffrais d’une fracture par compression au niveau de la nuque. Son pronostic sur ce qui risquait de m’arriver faute de soins était effrayant.
Je me suis rendu aux urgences en ayant très peur, et j’ai dû prier pour me calmer. Pendant que j’attendais de passer des radios et d’avoir le résultat, et que je subissais divers autres examens, j’ai prié avec la Prière du Seigneur que nous a donnée Christ Jésus, car Science et Santé explique que cette prière « répond à tous les besoins humains » (p. 16). J’ai aussi trouvé utile d’étudier l’interprétation spirituelle qu’en donne Mary Baker Eddy, notamment le passage suivant :
Et ne nous induis pas en tentation, mais délivre-nous du mal
Et Dieu ne nous induit pas en tentation, mais nous délivre du péché, de la maladie et de la mort.
(Science et Santé, p. 17)
J’ai prié pour savoir et comprendre que Dieu me protège, moi et les autres, de l’emprise apparente du mal. Dieu nous délivre et nous élève au-dessus des croyances mortelles. En d’autres termes, je me suis efforcé de reconnaître et de comprendre que toute cette expérience, qualifiée de dangereuse et de douloureuse, « n’avait jamais eu lieu », ce dont le praticien et moi avions discuté lors de mon premier appel.
Un peu plus tard, un médecin est arrivé, et je me souviens qu’il a dit : « Votre état est stable. » Il m’a expliqué que les vertèbres endommagées s’étaient remises en place et que, selon lui, je n’étais pas en danger. J’ai été submergé de gratitude parce que je voyais là l’omniscience, l’omni-action, l’omniprésence et la puissance de Dieu. « Eh bien, me suis-je dit, la ‘‘stabilité’’ est manifestement un mot à ajouter sur la liste des qualités spirituelles que j’inclus en tant qu’expression de Dieu. »
Mon étude et mes prières ne se sont pas arrêtées là. J’ai pu prendre plusieurs semaines de congé et j’ai utilisé ce temps pour me plonger dans l’étude de Science et Santé, continuant à ressentir la présence de Dieu et à comprendre que le message du Christ est toujours efficace. J’ai également lu une biographie intitulée Mary Baker Eddy : Une vie consacrée à la guérison spirituelle de Yvonne Caché von Fettweis et Robert Townsend Warneck.
Quelques mois après l’accident, j’ai pu faire du rafting en eaux vives et mener une vie très active, sans problème ni effets secondaires. J’ai également suivi le Cours Primaire avec un professeur de Science Chrétienne (qui est aussi le praticien de la Science Chrétienne dont les prières m’ont aidé à guérir).
Voilà plus de deux ans que cette guérison a eu lieu. Je suis en pleine forme et n’éprouve aucune gêne dans mes mouvements.
Les faits relatifs aux guérisons mentionnés dans tous les témoignages et les articles ont été confirmés par écrit par des personnes qui ont été témoins de la guérison ou qui peuvent garantir l'intégrité de l'auteur.
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