Grâce à Dieu, nous avons trouvé un appartement
Jocelyne Singher
Tiré du Héraut de la Science Chrétienne. mars 2023
Tiré du Héraut de la Science Chrétienne. mars 2023
Il y a quelques années, j’ai pu comprendre, de façon plus tangible, la signification de cette citation de Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy : « L’Amour divin a toujours répondu a tout besoin humain et y répondra toujours. » (p. 494) C’était à une époque où, à mon grand désarroi, l’amie qui était propriétaire de la maison que je louais, et qui avait prévu de me la louer pour une longue durée, s’est trouvée contrainte de la vendre en raison de difficultés financières.
C’était au mois de mars. Mes deux petites filles et moi devions quitter cette maison pour le 1er juillet. J’étais veuve à l’époque, j’avais des revenus modestes, et je venais tout juste de terminer l’aménagement de cette maison. Nous habitions la même rue depuis six ans. Tout nous plaisait dans ce quartier convivial où il y avait beaucoup d’enfants et une école élémentaire à cinq minutes à pied de chez nous.
J’étudiais la Science Chrétienne depuis peu, mais je savais que l’Amour divin répondrait à notre besoin. Pourtant, au début, j’avoue que je passais plus de temps à rechercher un nouvel appartement en consultant les petites annonces, que je n’en passais à me tourner vers Dieu pour trouver une solution par la prière. Au fil des semaines, j’acceptais à la fois la pénurie de logements en location et l’augmentation du coût des loyers comme étant des embûches réelles.
A la fin du mois de mai, mes recherches n’avaient pas abouti. J’ai décidé d’appeler une praticienne de la Science Chrétienne pour lui demander de l’aide par la prière. Grâce à son soutien, j’ai humblement demandé à Dieu de me montrer le chemin.
Il m’est apparu clairement que je devais cesser d’avoir du ressentiment envers mon amie et qu’il me fallait exprimer plus d’amour et de compassion à son égard. Ensuite, j’ai arrêté d’être accaparée par mes recherches et j’ai laissé le plan divin se manifester dans ma vie. La prière m’a aidée dans ce sens.
Ces paroles de Christ Jésus à son Père céleste : « Que ma volonté ne se fasse pas, mais la tienne » (Luc 22:42), m’ont libérée du sentiment d’être accablée par les responsabilités. La prière m’a révélé que, puisque Dieu est la source de toute abondance, de tout bien, la suggestion de la pénurie n’a aucune réalité ni aucun pouvoir de limiter l’expression du bien dans ma vie.
J’ai appris à faire confiance à mon Père-Mère, Dieu. Peu à peu je ne me suis plus sentie seule ni dépassée par la situation. Je découvrais que Dieu s’occupait de moi et de mes filles, et que nous pouvions ressentir Sa protection. J’avais enfin retrouvé la paix.
Deux semaines ont passé. Un matin de juin, alors que je rangeais la chambre de ma fille cadette, une pensée insistante m’est venue à l’esprit : « Regarde par la fenêtre. » J’ai regardé et j’ai vu une petite pancarte sur la maison d’en face indiquant « A louer ». Je n’en croyais pas mes yeux !
Je me suis empressée d’aller chez le voisin d’en face pour lui demander si l’appartement était encore libre. « C’est bizarre » m’a-t-il dit, « je viens tout juste de mettre ma pancarte. » Puis il m’a reconnue comme étant sa voisine.
L’appartement se trouvait au premier étage. Il était très spacieux, à un prix abordable et il était libre le jour même. Comme le propriétaire me connaissait déjà, la signature du bail s’est effectuée rapidement, sans qu’il soit besoin de mener l’enquête financière habituelle.
J’étais très reconnaissante que nos besoins aient été comblés, mais surtout, cette expérience m’a révélé l’infinitude de l’amour de Dieu pour chacun de Ses enfants.
Cela a été un tournant décisif pour mes filles et moi. Désormais, nous ne nous sommes plus définies elles comme orphelines et moi comme veuve, mais nous nous sommes vraiment vues comme les filles bien-aimées de notre Père-Mère, Dieu, qui répond à tout besoin humain. Quelle libération ! Quelle bénédiction !
C’était au mois de mars. Mes deux petites filles et moi devions quitter cette maison pour le 1er juillet. J’étais veuve à l’époque, j’avais des revenus modestes, et je venais tout juste de terminer l’aménagement de cette maison. Nous habitions la même rue depuis six ans. Tout nous plaisait dans ce quartier convivial où il y avait beaucoup d’enfants et une école élémentaire à cinq minutes à pied de chez nous.
J’étudiais la Science Chrétienne depuis peu, mais je savais que l’Amour divin répondrait à notre besoin. Pourtant, au début, j’avoue que je passais plus de temps à rechercher un nouvel appartement en consultant les petites annonces, que je n’en passais à me tourner vers Dieu pour trouver une solution par la prière. Au fil des semaines, j’acceptais à la fois la pénurie de logements en location et l’augmentation du coût des loyers comme étant des embûches réelles.
A la fin du mois de mai, mes recherches n’avaient pas abouti. J’ai décidé d’appeler une praticienne de la Science Chrétienne pour lui demander de l’aide par la prière. Grâce à son soutien, j’ai humblement demandé à Dieu de me montrer le chemin.
Il m’est apparu clairement que je devais cesser d’avoir du ressentiment envers mon amie et qu’il me fallait exprimer plus d’amour et de compassion à son égard. Ensuite, j’ai arrêté d’être accaparée par mes recherches et j’ai laissé le plan divin se manifester dans ma vie. La prière m’a aidée dans ce sens.
Ces paroles de Christ Jésus à son Père céleste : « Que ma volonté ne se fasse pas, mais la tienne » (Luc 22:42), m’ont libérée du sentiment d’être accablée par les responsabilités. La prière m’a révélé que, puisque Dieu est la source de toute abondance, de tout bien, la suggestion de la pénurie n’a aucune réalité ni aucun pouvoir de limiter l’expression du bien dans ma vie.
J’ai appris à faire confiance à mon Père-Mère, Dieu. Peu à peu je ne me suis plus sentie seule ni dépassée par la situation. Je découvrais que Dieu s’occupait de moi et de mes filles, et que nous pouvions ressentir Sa protection. J’avais enfin retrouvé la paix.
Deux semaines ont passé. Un matin de juin, alors que je rangeais la chambre de ma fille cadette, une pensée insistante m’est venue à l’esprit : « Regarde par la fenêtre. » J’ai regardé et j’ai vu une petite pancarte sur la maison d’en face indiquant « A louer ». Je n’en croyais pas mes yeux !
Je me suis empressée d’aller chez le voisin d’en face pour lui demander si l’appartement était encore libre. « C’est bizarre » m’a-t-il dit, « je viens tout juste de mettre ma pancarte. » Puis il m’a reconnue comme étant sa voisine.
L’appartement se trouvait au premier étage. Il était très spacieux, à un prix abordable et il était libre le jour même. Comme le propriétaire me connaissait déjà, la signature du bail s’est effectuée rapidement, sans qu’il soit besoin de mener l’enquête financière habituelle.
J’étais très reconnaissante que nos besoins aient été comblés, mais surtout, cette expérience m’a révélé l’infinitude de l’amour de Dieu pour chacun de Ses enfants.
Cela a été un tournant décisif pour mes filles et moi. Désormais, nous ne nous sommes plus définies elles comme orphelines et moi comme veuve, mais nous nous sommes vraiment vues comme les filles bien-aimées de notre Père-Mère, Dieu, qui répond à tout besoin humain. Quelle libération ! Quelle bénédiction !
Les faits relatifs aux guérisons mentionnés dans tous les témoignages et les articles ont été confirmés par écrit par des personnes qui ont été témoins de la guérison ou qui peuvent garantir l'intégrité de l'auteur.
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