Guérie de brûlures sévères
Miryan Huart
Tiré du Héraut de la Science Chrétienne novembre 2024
Tiré du Héraut de la Science Chrétienne novembre 2024
En 1982, j’ai trouvé un emploi dans la filiale uruguayenne de SOS Villages d’enfants, une organisation non gouvernementale consacrée à la prise en charge des enfants orphelins et abandonnés, dans le monde entier. C’est pendant que j’y travaillais que j’ai eu ma première guérison en Science Chrétienne.
A l’époque, j’étais responsable d’une maison de huit enfants dans le village d’enfants situé dans la capitale, Montevideo. Le dimanche, ces enfants venaient avec moi à l’église de la Science Chrétienne locale.
Un dimanche après l’église, mon neveu nous a rejoints au village. Alors que je préparais le déjeuner pour tous ceux qui étaient à la maison, j’ai allumé le four à gaz de la cuisine et j’ai enfourné un rôti. Soudain, j’ai senti une odeur étrange (du gaz, ainsi que je l’ai réalisé plus tard) et je suis allée vérifier le four qui était éteint. En m’en approchant, j’ai craqué une allumette dans l’intention de rallumer la veilleuse.
Aussitôt, une flamme m’a enveloppée et j’ai pris feu. Je me suis tenue au-dessus de l’évier et j’ai ouvert l’eau, la laissant couler sur moi pour éteindre les flammes. La fille la plus âgée du groupe est venue tout de suite et m’a demandé ce qu’elle pouvait faire pour m’aider. J’ai apprécié sa sollicitude. J’étais nouvelle en Science Chrétienne, car je l’étudiais depuis quelques mois seulement, mais j’ai pu lui dire de ne pas s’inquiéter parce que Dieu était avec nous et que « Dieu est amour » (I Jean 4:8).
Je suis allée aux toilettes et je me suis lavé le visage. Quand je me suis regardée dans le miroir, ce que j’ai vu était horrible. J’ai décidé de ne plus me regarder dans le miroir, mais de garder ma pensée centrée sur ce qui était vrai, c’est-à-dire sur mon être spirituel et parfait, tel que Dieu l’a créé.
Le chapitre intitulé « La prière », dans Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy, parle de l’importance de fermer la porte de notre pensée au témoignage des sens matériels et de l’ouvrir en grand à ce que Dieu, la Vérité, nous révèle continuellement au sujet de notre identité spirituelle, indestructible et sans tache – la seule identité que nous ayons.
Les flammes m’avaient brûlé les cheveux et l’odeur de la fumée avait envahi tout l’espace. Un employé est venu m’aider et a rallumé le four. Je me souviens qu’un autre employé m’a dit qu’il ne comprenait pas que je n’aie pas été blessée plus gravement. Une fois le rôti cuit, les enfants et moi nous sommes assis pour manger. L’un des enfants a fait remarquer que j’avais l’air très rouge, mais un autre parmi les plus âgés lui a assuré que tout allait bien, ajoutant que rien n’aurait pu me faire de mal puisque j’étais spirituelle. Les enfants sont comme de petites éponges : ils absorbent très facilement les concepts spirituels. J’ai senti que ma guérison était facilitée par les pensées pures de ces enfants.
J’ai décidé que j’allais continuer de prier pour avoir une meilleure compréhension de ma nature entièrement spirituelle, et savoir avec confiance que Dieu est Celui qui guérit. Je me souviens d’avoir lu le chapitre « La physiologie » dans Science et Santé, et il a élevé ma pensée vers la conscience spirituelle de l’être véritable de l’homme. Je savais que c’est cet état de pensée spirituel qui guérit.
La semaine suivante, le directeur des Villages d’enfants est venu m’annoncer que la brûlure était un accident du travail pour lequel je serais indemnisée si je recevais des soins médicaux. Il savait que j’étais scientiste chrétienne, que je l’étudiais et que je m’appuyais sur elle pour guérir. Même si j’ai apprécié qu’il se soucie que je sois indemnisée en raison de l’incident, je n’ai jamais consulté de médecin car je savais que dans le royaume de Dieu, la véritable maison dans laquelle nous vivons, il n’y a pas d’accident, et que je ne pouvais donc pas en souffrir, que ce soit physiquement ou financièrement.
Le mercredi suivant, je suis allée chez ma mère. En voyant mon visage, elle s’est exclamée : « Il n’y a rien du tout ! » Apparemment, un membre de la famille lui avait dit que j’avais été brûlée et que j’avais d’horribles marques sur le visage. Quand je suis allée à la réunion de témoignage à l’église ce soir-là, il n’y avait aucune marque sur mon visage. La lourdeur que j’avais ressentie sur le côté droit de mon visage a disparu peu de temps après.
Je suis profondément reconnaissante pour cette guérison. Grâce à elle, de nombreuses personnes ont été témoins du pouvoir de guérison de la Science Chrétienne. Je dis toujours aux gens que c’est une Science pratique que chacun peut prouver par lui-même. Bien que je sois la seule à étudier la Science Chrétienne de mon côté de la famille, ma mère et tous mes frères et sœurs ont constaté un changement important et positif dans ma vie, et ils me demandent parfois de les soutenir par la prière. Chacun de mes frères et sœurs possède également un exemplaire de Science et Santé que ma mère leur a offert.
A l’époque, j’étais responsable d’une maison de huit enfants dans le village d’enfants situé dans la capitale, Montevideo. Le dimanche, ces enfants venaient avec moi à l’église de la Science Chrétienne locale.
Un dimanche après l’église, mon neveu nous a rejoints au village. Alors que je préparais le déjeuner pour tous ceux qui étaient à la maison, j’ai allumé le four à gaz de la cuisine et j’ai enfourné un rôti. Soudain, j’ai senti une odeur étrange (du gaz, ainsi que je l’ai réalisé plus tard) et je suis allée vérifier le four qui était éteint. En m’en approchant, j’ai craqué une allumette dans l’intention de rallumer la veilleuse.
Aussitôt, une flamme m’a enveloppée et j’ai pris feu. Je me suis tenue au-dessus de l’évier et j’ai ouvert l’eau, la laissant couler sur moi pour éteindre les flammes. La fille la plus âgée du groupe est venue tout de suite et m’a demandé ce qu’elle pouvait faire pour m’aider. J’ai apprécié sa sollicitude. J’étais nouvelle en Science Chrétienne, car je l’étudiais depuis quelques mois seulement, mais j’ai pu lui dire de ne pas s’inquiéter parce que Dieu était avec nous et que « Dieu est amour » (I Jean 4:8).
Je suis allée aux toilettes et je me suis lavé le visage. Quand je me suis regardée dans le miroir, ce que j’ai vu était horrible. J’ai décidé de ne plus me regarder dans le miroir, mais de garder ma pensée centrée sur ce qui était vrai, c’est-à-dire sur mon être spirituel et parfait, tel que Dieu l’a créé.
Le chapitre intitulé « La prière », dans Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy, parle de l’importance de fermer la porte de notre pensée au témoignage des sens matériels et de l’ouvrir en grand à ce que Dieu, la Vérité, nous révèle continuellement au sujet de notre identité spirituelle, indestructible et sans tache – la seule identité que nous ayons.
Les flammes m’avaient brûlé les cheveux et l’odeur de la fumée avait envahi tout l’espace. Un employé est venu m’aider et a rallumé le four. Je me souviens qu’un autre employé m’a dit qu’il ne comprenait pas que je n’aie pas été blessée plus gravement. Une fois le rôti cuit, les enfants et moi nous sommes assis pour manger. L’un des enfants a fait remarquer que j’avais l’air très rouge, mais un autre parmi les plus âgés lui a assuré que tout allait bien, ajoutant que rien n’aurait pu me faire de mal puisque j’étais spirituelle. Les enfants sont comme de petites éponges : ils absorbent très facilement les concepts spirituels. J’ai senti que ma guérison était facilitée par les pensées pures de ces enfants.
J’ai décidé que j’allais continuer de prier pour avoir une meilleure compréhension de ma nature entièrement spirituelle, et savoir avec confiance que Dieu est Celui qui guérit. Je me souviens d’avoir lu le chapitre « La physiologie » dans Science et Santé, et il a élevé ma pensée vers la conscience spirituelle de l’être véritable de l’homme. Je savais que c’est cet état de pensée spirituel qui guérit.
La semaine suivante, le directeur des Villages d’enfants est venu m’annoncer que la brûlure était un accident du travail pour lequel je serais indemnisée si je recevais des soins médicaux. Il savait que j’étais scientiste chrétienne, que je l’étudiais et que je m’appuyais sur elle pour guérir. Même si j’ai apprécié qu’il se soucie que je sois indemnisée en raison de l’incident, je n’ai jamais consulté de médecin car je savais que dans le royaume de Dieu, la véritable maison dans laquelle nous vivons, il n’y a pas d’accident, et que je ne pouvais donc pas en souffrir, que ce soit physiquement ou financièrement.
Le mercredi suivant, je suis allée chez ma mère. En voyant mon visage, elle s’est exclamée : « Il n’y a rien du tout ! » Apparemment, un membre de la famille lui avait dit que j’avais été brûlée et que j’avais d’horribles marques sur le visage. Quand je suis allée à la réunion de témoignage à l’église ce soir-là, il n’y avait aucune marque sur mon visage. La lourdeur que j’avais ressentie sur le côté droit de mon visage a disparu peu de temps après.
Je suis profondément reconnaissante pour cette guérison. Grâce à elle, de nombreuses personnes ont été témoins du pouvoir de guérison de la Science Chrétienne. Je dis toujours aux gens que c’est une Science pratique que chacun peut prouver par lui-même. Bien que je sois la seule à étudier la Science Chrétienne de mon côté de la famille, ma mère et tous mes frères et sœurs ont constaté un changement important et positif dans ma vie, et ils me demandent parfois de les soutenir par la prière. Chacun de mes frères et sœurs possède également un exemplaire de Science et Santé que ma mère leur a offert.
Les faits relatifs aux guérisons mentionnés dans tous les témoignages et les articles ont été confirmés par écrit par des personnes qui ont été témoins de la guérison ou qui peuvent garantir l'intégrité de l'auteur.
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