La sécurité en pleine crue
Claudia McCracken
Tiré du Héraut de la Science Chrétienne. janvier 2022
Tiré du Héraut de la Science Chrétienne. janvier 2022
Lorsque j’étais en première année de faculté, une amie et moi avions prévu de dîner et de voir un film avec deux autres amis. Comme ces derniers étaient d’abord allés visiter une ville voisine, ils nous avaient proposé d’attendre confortablement leur retour dans leur mobil-home.
Il pleuvait vraiment fort lorsque mon amie et moi sommes arrivées dans le mobil-home. Nous avons allumé la télévision, pour passer le temps, tandis que la pluie continuait de tomber à verse.
Un peu plus tard, je me suis levée pour regarder par une fenêtre et, horreur ! j’ai vu que le niveau de l’eau était monté très rapidement et atteignait le bas de la porte, à plus d’un mètre du sol. Nous ignorions alors qu’à proximité il y avait un ruisseau qui débordait de son lit. Quand le mobil-home a commencé à osciller, nous avons compris qu’il fallait sortir tout de suite. Nous avons ouvert la porte et avons marché, avec de l’eau jusqu’aux cuisses, dans des eaux apparemment calmes. Mais nous nous sommes très vite aperçues qu’un courant fort se dirigeait en aval vers le ruisseau. Mon amie et moi avons été emportées avec d’autres personnes résidant dans ce parc de mobil-homes.
A ce moment, je me suis tournée sans réserve vers Dieu pour qu’Il nous vienne en aide. J’ai chanté à voix haute le premier cantique que j’avais appris dans l’Hymnaire de la Science Chrétienne, un poème de Mary Baker Eddy, la découvreuse de la Science Chrétienne, qui s’intitule « Paix mes brebis ». Je pensais vraiment chaque mot que je chantais. Ce cantique commence ainsi : « Montre-moi comment, Berger, Te suivre aujourd’hui… » La dernière strophe parle du pouvoir protecteur de Dieu :
Quand le succès ou les pleurs
Retardent leurs pas,
Guide Tes agneaux, Seigneur,
Prends-les dans Tes bras.
(no 304)
Quelques minutes plus tard, j’ai pu grimper à l’arrière d’une Volkswagen Coccinelle à la dérive. Lorsque la voiture est passée près d’un arbre, j’ai sauté pour m’accrocher à une branche, sans cesser de chanter. En entendant des cris, je me suis retournée et j’ai vu un mobil-home emporté par les eaux qui venait droit sur moi. J’ai réalisé que si je restais accrochée à l’arbre, face au courant, j’aurais les doigts écrasés. Je n’avais guère le temps de réfléchir, mais j’ai prié Dieu, en affirmant avec force qu’Il allait prendre soin de moi. Il mettrait chacun de Ses enfants à l’abri, sans les abandonner en chemin. Quelques secondes plus tard, j’ai trouvé une prise de chaque côté de l’arbre, ce qui m’a permis de pivoter pour éviter que mes doigts ne soient touchés par la roulotte qui s’approchait rapidement. L’Amour divin était à l’œuvre.
Après avoir réussi à grimper dans les branches supérieures de l’arbre, j’ai vu un homme à la dérive qui avait clairement besoin d’aide. Il criait, disait qu’il était fatigué et qu’il n’avait plus la force de résister. Bien qu’il soit beaucoup plus grand que moi, j’ai pu l’aider à s’accrocher aux branches les plus basses. Encore une fois, c’était la preuve de l’Amour en action. En y repensant, je me rends compte que c’est grâce à la force de Dieu seule que j’ai pu saisir le bras de cet homme et le hisser dans l’arbre pour qu’il soit en sécurité.
A ce moment, j’ai entendu des personnes réfugiées dans d’autres arbres, notamment l’amie qui m’avait accompagnée dans le mobil-home. Tandis que nous attendions tous que le niveau d’eau baisse, je me suis souvenue de la définition de l’« Eglise » dans Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy : « la structure de la Vérité et de l’Amour » (p. 583). J’étais depuis peu membre d’une église filiale de La Première Eglise du Christ, Scientiste, dans ma ville, et j’avais été triste de quitter cette église pour aller à l’université. J’ai alors compris que la structure de la Vérité et de l’Amour était toujours avec moi, où que je sois. Cette structure me soutenait maintenant même, dans cet arbre. L’homme qui s’accrochait aux branches inférieures m’a dit qu’il avait peur que l’arbre ne casse. Je ne me souviens plus de ce que je lui ai répondu, mais je me rappelle nettement avoir affirmé sans cesse dans mes prières que « la structure de la Vérité et de l’Amour » nous soutenait tous les deux. Ma confiance absolue en Dieu me donnait l’assurance que nous étions tous en sécurité.
Bientôt, l’idée m’est venue de demander à tous ceux qui se trouvaient dans les arbres d’appeler à l’aide en même temps. J’ai compté : « Un, deux, trois… », et nous avons appelé à l’aide tous ensemble, et ce, de nombreuses fois. Environ une heure plus tard, la pluie a cessé, et nous avons entendu les voix de personnes venues nous secourir dans des bateaux de pêche. Nous étions tous sains et saufs.
J’ai été très reconnaissante du secours divin. J’ai appris qu’avec Dieu toutes choses sont possibles, et que je suis toujours en sécurité dans Ses bras.
ici pour modifier.
Il pleuvait vraiment fort lorsque mon amie et moi sommes arrivées dans le mobil-home. Nous avons allumé la télévision, pour passer le temps, tandis que la pluie continuait de tomber à verse.
Un peu plus tard, je me suis levée pour regarder par une fenêtre et, horreur ! j’ai vu que le niveau de l’eau était monté très rapidement et atteignait le bas de la porte, à plus d’un mètre du sol. Nous ignorions alors qu’à proximité il y avait un ruisseau qui débordait de son lit. Quand le mobil-home a commencé à osciller, nous avons compris qu’il fallait sortir tout de suite. Nous avons ouvert la porte et avons marché, avec de l’eau jusqu’aux cuisses, dans des eaux apparemment calmes. Mais nous nous sommes très vite aperçues qu’un courant fort se dirigeait en aval vers le ruisseau. Mon amie et moi avons été emportées avec d’autres personnes résidant dans ce parc de mobil-homes.
A ce moment, je me suis tournée sans réserve vers Dieu pour qu’Il nous vienne en aide. J’ai chanté à voix haute le premier cantique que j’avais appris dans l’Hymnaire de la Science Chrétienne, un poème de Mary Baker Eddy, la découvreuse de la Science Chrétienne, qui s’intitule « Paix mes brebis ». Je pensais vraiment chaque mot que je chantais. Ce cantique commence ainsi : « Montre-moi comment, Berger, Te suivre aujourd’hui… » La dernière strophe parle du pouvoir protecteur de Dieu :
Quand le succès ou les pleurs
Retardent leurs pas,
Guide Tes agneaux, Seigneur,
Prends-les dans Tes bras.
(no 304)
Quelques minutes plus tard, j’ai pu grimper à l’arrière d’une Volkswagen Coccinelle à la dérive. Lorsque la voiture est passée près d’un arbre, j’ai sauté pour m’accrocher à une branche, sans cesser de chanter. En entendant des cris, je me suis retournée et j’ai vu un mobil-home emporté par les eaux qui venait droit sur moi. J’ai réalisé que si je restais accrochée à l’arbre, face au courant, j’aurais les doigts écrasés. Je n’avais guère le temps de réfléchir, mais j’ai prié Dieu, en affirmant avec force qu’Il allait prendre soin de moi. Il mettrait chacun de Ses enfants à l’abri, sans les abandonner en chemin. Quelques secondes plus tard, j’ai trouvé une prise de chaque côté de l’arbre, ce qui m’a permis de pivoter pour éviter que mes doigts ne soient touchés par la roulotte qui s’approchait rapidement. L’Amour divin était à l’œuvre.
Après avoir réussi à grimper dans les branches supérieures de l’arbre, j’ai vu un homme à la dérive qui avait clairement besoin d’aide. Il criait, disait qu’il était fatigué et qu’il n’avait plus la force de résister. Bien qu’il soit beaucoup plus grand que moi, j’ai pu l’aider à s’accrocher aux branches les plus basses. Encore une fois, c’était la preuve de l’Amour en action. En y repensant, je me rends compte que c’est grâce à la force de Dieu seule que j’ai pu saisir le bras de cet homme et le hisser dans l’arbre pour qu’il soit en sécurité.
A ce moment, j’ai entendu des personnes réfugiées dans d’autres arbres, notamment l’amie qui m’avait accompagnée dans le mobil-home. Tandis que nous attendions tous que le niveau d’eau baisse, je me suis souvenue de la définition de l’« Eglise » dans Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy : « la structure de la Vérité et de l’Amour » (p. 583). J’étais depuis peu membre d’une église filiale de La Première Eglise du Christ, Scientiste, dans ma ville, et j’avais été triste de quitter cette église pour aller à l’université. J’ai alors compris que la structure de la Vérité et de l’Amour était toujours avec moi, où que je sois. Cette structure me soutenait maintenant même, dans cet arbre. L’homme qui s’accrochait aux branches inférieures m’a dit qu’il avait peur que l’arbre ne casse. Je ne me souviens plus de ce que je lui ai répondu, mais je me rappelle nettement avoir affirmé sans cesse dans mes prières que « la structure de la Vérité et de l’Amour » nous soutenait tous les deux. Ma confiance absolue en Dieu me donnait l’assurance que nous étions tous en sécurité.
Bientôt, l’idée m’est venue de demander à tous ceux qui se trouvaient dans les arbres d’appeler à l’aide en même temps. J’ai compté : « Un, deux, trois… », et nous avons appelé à l’aide tous ensemble, et ce, de nombreuses fois. Environ une heure plus tard, la pluie a cessé, et nous avons entendu les voix de personnes venues nous secourir dans des bateaux de pêche. Nous étions tous sains et saufs.
J’ai été très reconnaissante du secours divin. J’ai appris qu’avec Dieu toutes choses sont possibles, et que je suis toujours en sécurité dans Ses bras.
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Les faits relatifs aux guérisons mentionnés dans tous les témoignages et les articles ont été confirmés par écrit par des personnes qui ont été témoins de la guérison ou qui peuvent garantir l'intégrité de l'auteur.
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