Non pas ma volonté, mais la Tienne
David MacLean
Du Héraut de la Science Chrétienne novembre 2024
Du Héraut de la Science Chrétienne novembre 2024
Au fil des années, j’ai eu de nombreuses preuves que Dieu prenait soin de moi avec amour. J’ai découvert que Dieu répondait à tous mes besoins, même lorsque les circonstances semblaient extrêmes. Il est très important d’abandonner une image limitée et matérielle, de ne pas permettre à la personnalité de se mettre en travers du chemin, et de reconnaître que les bénédictions infinies de Dieu sont toujours disponibles.
Un de mes cantiques préférés a pour texte le poème « Pais mes brebis » de Mary Baker Eddy (Hymnaire de la Science Chrétienne, no 304). J’aime le fait que les premières lignes : « Montre-moi comment, Berger, Te suivre aujourd’hui », ne disent pas que je montrerai à Dieu ce dont j’ai besoin, même lorsque les choses se compliquent. Lorsque le sentier devient « rugueux », si nous nous tournons vers Dieu, confiants dans le fait qu’Il pourvoira à ce dont nous avons vraiment besoin, nous constaterons que Sa tendre sollicitude nous entoure, nous étreint. Humblement, mais pas aveuglément, nous suivons la direction de l’Amour et nous trouvons la guérison.
Il y a de nombreuses années, une pensée-ange venant de Dieu m’a aidé à prendre des décisions difficiles. Mais je me suis alors senti submergé par la peur et l’inquiétude. J’avais un cabinet d’architecte très prospère dans le Midwest, aux Etats-Unis, mais j’ai été poussé à fermer mon cabinet, à faire mes valises et à retourner vers mes racines, en Nouvelle-Angleterre, pour prendre soin d’un être cher. Je me sentais un peu comme Moïse lorsqu’il a été chargé de faire sortir d’Egypte les enfants d’Israël. Ma situation n’était pas aussi monumentale que la sienne, mais elle exigeait la même écoute et la même confiance en Dieu. Il m’a fallu quelques mois pour rassembler mes affaires et parcourir les 2000 km vers l’est. Quand je suis arrivé, je n’avais ni travail, ni endroit où dormir, ni réserve de trésorerie sur laquelle compter.
Avant de m’embarquer dans cette aventure à bord d’un camion que j’avais loué, avec mes deux chiens, je savais que l’unique option était de faire confiance à Dieu pour qu’Il me guide, et de placer ma main dans la Sienne. Cela m’a réconforté et m’a donné l’assurance que tout irait bien. En partant, j’étais paisible et j’avais confiance dans le fait que Dieu m’accompagnerait tout au long du chemin.
A mon arrivée, un ancien client de mon cabinet avec qui j’étais devenu ami a appris ma situation et m’a proposé de vivre avec mes deux chiens dans un appartement que j’avais conçu pour lui des années auparavant, gratuitement et aussi longtemps que j’en aurais besoin. J’ai accepté avec gratitude et j’ai commencé à rechercher des bureaux à louer pour rouvrir mon cabinet d’architecte. J’ai trouvé ce que je pensais être l’emplacement idéal, mais après avoir contacté la propriétaire, elle m’a informé que l’espace ne me conviendrait pas. Elle m’a proposé un autre emplacement qu’elle possédait et qui, à son avis, conviendrait mieux. Au début, je n’étais pas convaincu, et j’étais même quelque peu déçu, mais j’ai prié pour cesser de décider ce qui devait être le mieux et pour laisser la volonté de Dieu se faire, non la mienne. J’avais besoin d’avoir confiance dans le fait que Dieu ne m’abandonnerait pas à mi-chemin, mais qu’Il me conduirait jusqu’au bout.
La question suivante consistait à déterminer si ce nouvel emplacement, plus grand que le précédent, était dans mon budget, compte tenu de mes finances limitées. Lorsque j’ai interrogé la propriétaire sur le loyer, il s’est avéré que c’était exactement le montant que j’avais prévu dans mon budget. Non seulement tout s’est parfaitement déroulé, mais la propriétaire a proposé de rénover tout l’espace à ses frais. En quelques semaines, mes premiers clients ont franchi le seuil de la porte, après avoir vu ma plaque en passant devant le bureau en voiture chaque jour.
Il ne me restait plus qu’à trouver un emploi pour compléter mes revenus pendant que je recréais mon cabinet d’architecte. J’ai été amené à contacter le doyen de l’université où j’avais enseigné cinq ans auparavant, dans l’espoir d’obtenir à nouveau un poste d’enseignant à temps partiel. Il était très reconnaissant que je l’aie appelé, et il m’a informé qu’il y avait un créneau libre et que je pouvais commencer dès le semestre suivant, ce que j’ai fait. Un an plus tard, une maison que je pouvais me permettre d’acheter dans un quartier paisible est arrivée sur le marché, et elle se trouvait même à côté d’une filiale de l’Eglise du Christ, Scientiste, que je fréquente depuis maintenant plus de cinquante ans.
Chaque besoin a été satisfait d’une manière que je n’aurais jamais pu imaginer. J’ai obéi à la directive initiale de prendre soin d’un être cher, et tout ce qui a suivi m’a montré que Dieu, l’Amour divin, exerce un contrôle absolu, et qu’Il gouverne et guide. Ecouter la direction de Dieu m’a apporté de grandes bénédictions ainsi qu’à tous ceux sur qui reposaient mes pensées.
Un de mes cantiques préférés a pour texte le poème « Pais mes brebis » de Mary Baker Eddy (Hymnaire de la Science Chrétienne, no 304). J’aime le fait que les premières lignes : « Montre-moi comment, Berger, Te suivre aujourd’hui », ne disent pas que je montrerai à Dieu ce dont j’ai besoin, même lorsque les choses se compliquent. Lorsque le sentier devient « rugueux », si nous nous tournons vers Dieu, confiants dans le fait qu’Il pourvoira à ce dont nous avons vraiment besoin, nous constaterons que Sa tendre sollicitude nous entoure, nous étreint. Humblement, mais pas aveuglément, nous suivons la direction de l’Amour et nous trouvons la guérison.
Il y a de nombreuses années, une pensée-ange venant de Dieu m’a aidé à prendre des décisions difficiles. Mais je me suis alors senti submergé par la peur et l’inquiétude. J’avais un cabinet d’architecte très prospère dans le Midwest, aux Etats-Unis, mais j’ai été poussé à fermer mon cabinet, à faire mes valises et à retourner vers mes racines, en Nouvelle-Angleterre, pour prendre soin d’un être cher. Je me sentais un peu comme Moïse lorsqu’il a été chargé de faire sortir d’Egypte les enfants d’Israël. Ma situation n’était pas aussi monumentale que la sienne, mais elle exigeait la même écoute et la même confiance en Dieu. Il m’a fallu quelques mois pour rassembler mes affaires et parcourir les 2000 km vers l’est. Quand je suis arrivé, je n’avais ni travail, ni endroit où dormir, ni réserve de trésorerie sur laquelle compter.
Avant de m’embarquer dans cette aventure à bord d’un camion que j’avais loué, avec mes deux chiens, je savais que l’unique option était de faire confiance à Dieu pour qu’Il me guide, et de placer ma main dans la Sienne. Cela m’a réconforté et m’a donné l’assurance que tout irait bien. En partant, j’étais paisible et j’avais confiance dans le fait que Dieu m’accompagnerait tout au long du chemin.
A mon arrivée, un ancien client de mon cabinet avec qui j’étais devenu ami a appris ma situation et m’a proposé de vivre avec mes deux chiens dans un appartement que j’avais conçu pour lui des années auparavant, gratuitement et aussi longtemps que j’en aurais besoin. J’ai accepté avec gratitude et j’ai commencé à rechercher des bureaux à louer pour rouvrir mon cabinet d’architecte. J’ai trouvé ce que je pensais être l’emplacement idéal, mais après avoir contacté la propriétaire, elle m’a informé que l’espace ne me conviendrait pas. Elle m’a proposé un autre emplacement qu’elle possédait et qui, à son avis, conviendrait mieux. Au début, je n’étais pas convaincu, et j’étais même quelque peu déçu, mais j’ai prié pour cesser de décider ce qui devait être le mieux et pour laisser la volonté de Dieu se faire, non la mienne. J’avais besoin d’avoir confiance dans le fait que Dieu ne m’abandonnerait pas à mi-chemin, mais qu’Il me conduirait jusqu’au bout.
La question suivante consistait à déterminer si ce nouvel emplacement, plus grand que le précédent, était dans mon budget, compte tenu de mes finances limitées. Lorsque j’ai interrogé la propriétaire sur le loyer, il s’est avéré que c’était exactement le montant que j’avais prévu dans mon budget. Non seulement tout s’est parfaitement déroulé, mais la propriétaire a proposé de rénover tout l’espace à ses frais. En quelques semaines, mes premiers clients ont franchi le seuil de la porte, après avoir vu ma plaque en passant devant le bureau en voiture chaque jour.
Il ne me restait plus qu’à trouver un emploi pour compléter mes revenus pendant que je recréais mon cabinet d’architecte. J’ai été amené à contacter le doyen de l’université où j’avais enseigné cinq ans auparavant, dans l’espoir d’obtenir à nouveau un poste d’enseignant à temps partiel. Il était très reconnaissant que je l’aie appelé, et il m’a informé qu’il y avait un créneau libre et que je pouvais commencer dès le semestre suivant, ce que j’ai fait. Un an plus tard, une maison que je pouvais me permettre d’acheter dans un quartier paisible est arrivée sur le marché, et elle se trouvait même à côté d’une filiale de l’Eglise du Christ, Scientiste, que je fréquente depuis maintenant plus de cinquante ans.
Chaque besoin a été satisfait d’une manière que je n’aurais jamais pu imaginer. J’ai obéi à la directive initiale de prendre soin d’un être cher, et tout ce qui a suivi m’a montré que Dieu, l’Amour divin, exerce un contrôle absolu, et qu’Il gouverne et guide. Ecouter la direction de Dieu m’a apporté de grandes bénédictions ainsi qu’à tous ceux sur qui reposaient mes pensées.
Les faits relatifs aux guérisons mentionnés dans tous les témoignages et les articles ont été confirmés par écrit par des personnes qui ont été témoins de la guérison ou qui peuvent garantir l'intégrité de l'auteur.
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