Remplacer le stress par le repos
Melissa Frontczak
Du Héraut de la Science Chrétienne janvier 2025
Du Héraut de la Science Chrétienne janvier 2025
Parfois, lutter contre le stress peut ressembler à un cycle sans fin : des moments de victoire suivis de moments de peur et d’incertitude. Est-il possible de briser ce cycle ?
J’ai découvert que prendre en considération la bonté invariable de Dieu – ainsi que les enseignements de Jésus et les preuves de cette bonté – nous conduit non seulement à une amélioration temporaire, mais à un repos plus profond, à une tranquillité d’esprit plus permanente.
Jésus a été chargé de la plus grande œuvre de tous les temps – le salut de l’humanité – et pourtant la Bible ne donne pas du tout l’impression qu’il était chaque jour en proie au stress. Au lieu d’une longue description de ses fardeaux, Jésus parle de repos : « Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de cœur ; et vous trouverez du repos pour vos âmes. » (Matthieu 11:29)
Comment est-ce possible ? La Bible le décrit ainsi : « Toute grâce excellente et tout don parfait descendent d’en haut, du Père des lumières, chez lequel il n’y a ni changement ni ombre de variation. » (Jacques 1:17) Il n’y a aucune fluctuation dans la bonté et la perfection qui constituent la création de Dieu. Dieu, le bien infini, ne pourrait jamais générer ne serait-ce qu’un fragment de ténèbres. Parce que nous sommes Ses enfants, nous sommes spirituels et nous reflétons la bonté et la paix parfaites de Dieu.
Cela signifie que nous ne pouvons pas être soumis à des cycles de bien et de mal. Connaître la paix, la réussite et la victoire – et non le stress, l’anxiété et la peur – voilà la vie pour laquelle Dieu nous a créés. Le fait de la bonté invariable de Dieu implique que la paix est toujours notre droit, non seulement lorsqu’un projet est terminé, mais aussi pendant que le travail est en cours.
A une époque, j’étais inscrite dans un programme d’études supérieures tout en travaillant à temps plein. Les projets scolaires me semblaient intimidants et je disposais d’un temps limité pour les réaliser en dehors de mes horaires de travail. Je stressais à propos d’un devoir à rendre, je le terminais, je me reposais un peu, puis je m’inquiétais du prochain devoir à rendre, encore et encore, tout au long de chaque semestre.
Je ne pouvais plus continuer de la sorte, alors je me suis tournée vers Dieu en prière. J’ai réfléchi au fait que ce que Dieu nous donne est bon. Je me suis rendu compte que même pendant mes semaines les plus chargées, je terminais toujours tout mon travail. Cela m’a montré que le stress et l’inquiétude, même s’ils remplissaient une grande partie de mon espace mental, étaient en fait une sorte de faux récit.
Le récit du stress affirme que nous sommes des individus éloignés de Dieu, qui peuvent posséder, ou pas, ce qui est nécessaire à l’accomplissement de leur travail. C’était l’occasion d’apprendre une leçon donnée par Christ Jésus, qui a déclaré : « Moi et le Père, nous sommes un » (Jean 10:30) et : « Je ne puis rien faire de moi-même. » (Jean 5:30) Son identité de Fils de Dieu était bien sûr unique, mais il a prouvé que nous aussi nous sommes unis à Dieu et que nos capacités ne sont pas limitées. A l’inverse, nous reflétons abondamment les qualités de Dieu.
La penseuse du dix-neuvième siècle, Mary Baker Eddy, a découvert, grâce à une étude minutieuse de la Bible, le système des lois, ou Science, qui sous-tend les enseignements de Jésus. Dans Science et Santé avec la Clef des Ecritures, elle écrit à propos de la Science Chrétienne : « La Science dit : Tout est Entendement et l’idée de l’Entendement. Voilà le plan d’après lequel vous devez combattre jusqu’au bout. La matière ne peut vous être d’aucun secours. » (p. 492)
J’ai réfléchi à la manière dont je devais « combattre ». Mon objectif en m’inscrivant au programme était de bénir les autres grâce à ce que j’apprenais. L’anxiété et la peur de manquer de temps m’avaient amenée à me considérer comme un être matériel et limité. Au lieu de cela, je devais partir de la base de ma véritable identité en tant qu’idée spirituelle de l’Entendement, Dieu.
L’idée m’est venue d’interrompre mes devoirs chaque fois que je me sentais stressée par ma charge de travail. Au lieu de travailler, je consacrais du temps à étudier et à prier, à en apprendre davantage sur Dieu, la cause suprême, qui est tout-aimant et qui nous offre tout ce dont nous avons besoin pour accomplir nos tâches. Cette idée contre-intuitive s’est accompagnée d’un sentiment d’espoir et de paix. C’est pour cela que j’ai su que c’était une inspiration de Dieu. J’ai réalisé que je n’avais pas besoin d’endurer le harcèlement de la peur. En tant qu’idée de l’Entendement, notre identité s’accompagne de liberté, de domination et de joie.
Ces pauses consacrées à la prière ne m’ont jamais empêchée de terminer à temps mon travail hebdomadaire. En fait, je ressentais plus de légèreté et de joie à mesure que je terminais mon travail. En peu de temps, le stress a complètement cessé de se manifester. J’ai suivi le reste du programme forte à la fois d’une nouvelle confiance et du plaisir de travailler avec les autres.
Il existe un moyen d’avancer et de mettre un terme aux cycles de stress apparemment sans fin. Suivre l’exemple de Christ Jésus, en reconnaissant la liberté qui vient du fait d’être des enfants de Dieu, ouvre une voie débordante de lumière, de bonté, de réussite et, oui, même de repos.
J’ai découvert que prendre en considération la bonté invariable de Dieu – ainsi que les enseignements de Jésus et les preuves de cette bonté – nous conduit non seulement à une amélioration temporaire, mais à un repos plus profond, à une tranquillité d’esprit plus permanente.
Jésus a été chargé de la plus grande œuvre de tous les temps – le salut de l’humanité – et pourtant la Bible ne donne pas du tout l’impression qu’il était chaque jour en proie au stress. Au lieu d’une longue description de ses fardeaux, Jésus parle de repos : « Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de cœur ; et vous trouverez du repos pour vos âmes. » (Matthieu 11:29)
Comment est-ce possible ? La Bible le décrit ainsi : « Toute grâce excellente et tout don parfait descendent d’en haut, du Père des lumières, chez lequel il n’y a ni changement ni ombre de variation. » (Jacques 1:17) Il n’y a aucune fluctuation dans la bonté et la perfection qui constituent la création de Dieu. Dieu, le bien infini, ne pourrait jamais générer ne serait-ce qu’un fragment de ténèbres. Parce que nous sommes Ses enfants, nous sommes spirituels et nous reflétons la bonté et la paix parfaites de Dieu.
Cela signifie que nous ne pouvons pas être soumis à des cycles de bien et de mal. Connaître la paix, la réussite et la victoire – et non le stress, l’anxiété et la peur – voilà la vie pour laquelle Dieu nous a créés. Le fait de la bonté invariable de Dieu implique que la paix est toujours notre droit, non seulement lorsqu’un projet est terminé, mais aussi pendant que le travail est en cours.
A une époque, j’étais inscrite dans un programme d’études supérieures tout en travaillant à temps plein. Les projets scolaires me semblaient intimidants et je disposais d’un temps limité pour les réaliser en dehors de mes horaires de travail. Je stressais à propos d’un devoir à rendre, je le terminais, je me reposais un peu, puis je m’inquiétais du prochain devoir à rendre, encore et encore, tout au long de chaque semestre.
Je ne pouvais plus continuer de la sorte, alors je me suis tournée vers Dieu en prière. J’ai réfléchi au fait que ce que Dieu nous donne est bon. Je me suis rendu compte que même pendant mes semaines les plus chargées, je terminais toujours tout mon travail. Cela m’a montré que le stress et l’inquiétude, même s’ils remplissaient une grande partie de mon espace mental, étaient en fait une sorte de faux récit.
Le récit du stress affirme que nous sommes des individus éloignés de Dieu, qui peuvent posséder, ou pas, ce qui est nécessaire à l’accomplissement de leur travail. C’était l’occasion d’apprendre une leçon donnée par Christ Jésus, qui a déclaré : « Moi et le Père, nous sommes un » (Jean 10:30) et : « Je ne puis rien faire de moi-même. » (Jean 5:30) Son identité de Fils de Dieu était bien sûr unique, mais il a prouvé que nous aussi nous sommes unis à Dieu et que nos capacités ne sont pas limitées. A l’inverse, nous reflétons abondamment les qualités de Dieu.
La penseuse du dix-neuvième siècle, Mary Baker Eddy, a découvert, grâce à une étude minutieuse de la Bible, le système des lois, ou Science, qui sous-tend les enseignements de Jésus. Dans Science et Santé avec la Clef des Ecritures, elle écrit à propos de la Science Chrétienne : « La Science dit : Tout est Entendement et l’idée de l’Entendement. Voilà le plan d’après lequel vous devez combattre jusqu’au bout. La matière ne peut vous être d’aucun secours. » (p. 492)
J’ai réfléchi à la manière dont je devais « combattre ». Mon objectif en m’inscrivant au programme était de bénir les autres grâce à ce que j’apprenais. L’anxiété et la peur de manquer de temps m’avaient amenée à me considérer comme un être matériel et limité. Au lieu de cela, je devais partir de la base de ma véritable identité en tant qu’idée spirituelle de l’Entendement, Dieu.
L’idée m’est venue d’interrompre mes devoirs chaque fois que je me sentais stressée par ma charge de travail. Au lieu de travailler, je consacrais du temps à étudier et à prier, à en apprendre davantage sur Dieu, la cause suprême, qui est tout-aimant et qui nous offre tout ce dont nous avons besoin pour accomplir nos tâches. Cette idée contre-intuitive s’est accompagnée d’un sentiment d’espoir et de paix. C’est pour cela que j’ai su que c’était une inspiration de Dieu. J’ai réalisé que je n’avais pas besoin d’endurer le harcèlement de la peur. En tant qu’idée de l’Entendement, notre identité s’accompagne de liberté, de domination et de joie.
Ces pauses consacrées à la prière ne m’ont jamais empêchée de terminer à temps mon travail hebdomadaire. En fait, je ressentais plus de légèreté et de joie à mesure que je terminais mon travail. En peu de temps, le stress a complètement cessé de se manifester. J’ai suivi le reste du programme forte à la fois d’une nouvelle confiance et du plaisir de travailler avec les autres.
Il existe un moyen d’avancer et de mettre un terme aux cycles de stress apparemment sans fin. Suivre l’exemple de Christ Jésus, en reconnaissant la liberté qui vient du fait d’être des enfants de Dieu, ouvre une voie débordante de lumière, de bonté, de réussite et, oui, même de repos.
Les faits relatifs aux guérisons mentionnés dans tous les témoignages et les articles ont été confirmés par écrit par des personnes qui ont été témoins de la guérison ou qui peuvent garantir l'intégrité de l'auteur.
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