Libérée d’un problème au genou
Bonnie Dunbar Yoshinobu
Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de août 2022
Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de août 2022
Par une belle journée ensoleillée, il y a environ un an, une amie et moi avons fait une grande promenade avec nos chiens. Une fois rentrée chez moi, j’ai constaté en préparant le dîner qu’une de mes rotules bougeait bizarrement. Après le dîner, lorsque j’ai voulu me lever, mon genou était bloqué et j’avais mal. J’étais incapable de me lever ou de marcher toute seule.
J’ai passé du temps à étudier et à prier avec le livre d’étude de la Science Chrétienne, Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy. J’ai réfléchi à l’une des déclarations suivantes : « Il n’y a pas de douleur dans la Vérité, et pas de vérité dans la douleur ; pas de nerfs dans l’Entendement, et pas d’entendement dans les nerfs ; pas de matière dans l’Entendement, et pas d’entendement dans la matière ; pas de matière dans la Vie, et pas de vie dans la matière ; pas de matière dans le bien, et pas de bien dans la matière. » (p. 113)
J’ai également repensé à ce que j’avais entendu lors d’une récente réunion de témoignage dans notre église de la Science Chrétienne ; une femme avait perdu son portefeuille. La première pensée qu’elle a eue en priant pour résoudre le problème a été de reconnaître son innocence.
Le portefeuille a finalement été retrouvé, mais l’idée de reconnaître son innocence m’a été très utile. J’ai revendiqué ma propre innocence, sachant que je n’avais rien fait de mal et que, par conséquent, en vertu de la loi divine, l’Amour, je n’avais pas à souffrir.
Avant de me coucher, j’ai contacté par courriel une praticienne de la Science Chrétienne, car il était déjà tard. Elle a aussitôt répondu par un message plein d’inspiration concernant le fait qu’il est naturel de ne jamais avoir peur, ni de s’inquiéter ou même d’être effrayée. Elle a également précisé que nous ne sommes jamais en dehors de l’Amour, Dieu, jamais en dehors de Sa portée. Cela m’a beaucoup apaisée et rassurée. Considérant la déclaration dans I Jean 4:18 : « L’amour parfait bannit la crainte », j’ai élevé ma pensée au-delà du problème immédiat, et j’ai prié pour surmonter toutes les formes de peur, comme l’intimidation, la réticence à parler en public, l’inquiétude quant aux événements à venir, etc.
Cette nuit-là, dans mon lit, je suis restée éveillée quelques heures à réfléchir à « l’exposé scientifique de l'être » que l’on trouve dans Science et Santé ainsi qu’à l’interprétation spirituelle de la Prière du Seigneur que donne Mary Baker Eddy, en plus de la prière elle-même (voir p. 468 et 16-17). La crainte de rester immobilisée et de souffrir s’est dissipée et j’ai retrouvé mon calme. J’ai pu me détendre, puis je me suis endormie.
Lorsque je me suis réveillée le lendemain matin, la douleur avait disparu et je pouvais plier ma jambe. Il restait une légère raideur, alors j’ai demandé à la praticienne de continuer de prier un jour de plus. Chaque heure apportait une plus grande souplesse et une plus grande autonomie. Le lendemain, j’étais complètement libérée et si reconnaissante d’avoir retrouvé ma mobilité. La difficulté n’est jamais réapparue.
J’ai passé du temps à étudier et à prier avec le livre d’étude de la Science Chrétienne, Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy. J’ai réfléchi à l’une des déclarations suivantes : « Il n’y a pas de douleur dans la Vérité, et pas de vérité dans la douleur ; pas de nerfs dans l’Entendement, et pas d’entendement dans les nerfs ; pas de matière dans l’Entendement, et pas d’entendement dans la matière ; pas de matière dans la Vie, et pas de vie dans la matière ; pas de matière dans le bien, et pas de bien dans la matière. » (p. 113)
J’ai également repensé à ce que j’avais entendu lors d’une récente réunion de témoignage dans notre église de la Science Chrétienne ; une femme avait perdu son portefeuille. La première pensée qu’elle a eue en priant pour résoudre le problème a été de reconnaître son innocence.
Le portefeuille a finalement été retrouvé, mais l’idée de reconnaître son innocence m’a été très utile. J’ai revendiqué ma propre innocence, sachant que je n’avais rien fait de mal et que, par conséquent, en vertu de la loi divine, l’Amour, je n’avais pas à souffrir.
Avant de me coucher, j’ai contacté par courriel une praticienne de la Science Chrétienne, car il était déjà tard. Elle a aussitôt répondu par un message plein d’inspiration concernant le fait qu’il est naturel de ne jamais avoir peur, ni de s’inquiéter ou même d’être effrayée. Elle a également précisé que nous ne sommes jamais en dehors de l’Amour, Dieu, jamais en dehors de Sa portée. Cela m’a beaucoup apaisée et rassurée. Considérant la déclaration dans I Jean 4:18 : « L’amour parfait bannit la crainte », j’ai élevé ma pensée au-delà du problème immédiat, et j’ai prié pour surmonter toutes les formes de peur, comme l’intimidation, la réticence à parler en public, l’inquiétude quant aux événements à venir, etc.
Cette nuit-là, dans mon lit, je suis restée éveillée quelques heures à réfléchir à « l’exposé scientifique de l'être » que l’on trouve dans Science et Santé ainsi qu’à l’interprétation spirituelle de la Prière du Seigneur que donne Mary Baker Eddy, en plus de la prière elle-même (voir p. 468 et 16-17). La crainte de rester immobilisée et de souffrir s’est dissipée et j’ai retrouvé mon calme. J’ai pu me détendre, puis je me suis endormie.
Lorsque je me suis réveillée le lendemain matin, la douleur avait disparu et je pouvais plier ma jambe. Il restait une légère raideur, alors j’ai demandé à la praticienne de continuer de prier un jour de plus. Chaque heure apportait une plus grande souplesse et une plus grande autonomie. Le lendemain, j’étais complètement libérée et si reconnaissante d’avoir retrouvé ma mobilité. La difficulté n’est jamais réapparue.
Les faits relatifs aux guérisons mentionnés dans tous les témoignages et les articles ont été confirmés par écrit par des personnes qui ont été témoins de la guérison ou qui peuvent garantir l'intégrité de l'auteur.
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