Le bien est à la portée de tous
Mari G. De Milone
Du Héraut de la Science Chrétienne. - janvier 2025
Du Héraut de la Science Chrétienne. - janvier 2025
Dans l’Ancien Testament, l’histoire remarquable d’Agar, la servante de Sarah, mérite que l’on s’y arrête. Des difficultés au sein de son foyer incitèrent Abraham, le mari de Sarah, à chasser Agar et son fils dans le désert avec seulement une outre d’eau et un peu de pain. On imagine aisément qu’Agar se sentit abandonnée et se demanda avec inquiétude comment nourrir son enfant (voir Genèse 21:9-21).
Quand l’outre fut vide, elle s’éloigna de son fils, car elle ne voulait pas le voir mourir. Pourtant, même au milieu de ce désespoir absolu, cette mère comprit que l’enfant avait un lien direct avec Dieu. Un ange, ou message divin, lui dit : « Dieu a entendu la voix de l’enfant dans le lieu où il est. » Agar et l’enfant furent alors sauvés. La Bible rapporte : « Dieu lui ouvrit les yeux, et elle vit un puits d’eau ; elle alla remplir d’eau l’outre, et donna à boire à l’enfant. »
L’ange, dans son message, avait ordonné à Agar de se « lever » et de prendre l’enfant. Selon la Science Chrétienne, le message de l’ange signifiait qu’elle devait élever ses pensées concernant le petit garçon pour reconnaître l’origine de la vie de son enfant, à savoir Dieu, la Vie divine, la seule Vie. Il lui fallait comprendre qu’il ne pouvait pas perdre la vie. Le plus remarquable dans cette histoire, à mes yeux, c’est que l’eau dont ils avaient tant besoin était déjà là. Son désespoir l’avait empêchée de voir que la solution avait toujours été à sa portée. La leçon à en tirer pour aujourd’hui, c’est que la solution divine est toujours près de nous.
Dans ma famille, on se transmet une histoire depuis plusieurs générations. Il y a environ cent ans, une parente s’est retrouvée seule avec ses plus jeunes enfants pendant que son mari et ses deux aînés partaient à la guerre. Très vite, elle n’a plus eu rien à leur donner à manger. Désespérée, elle est allée dans les champs avec eux, peut-être à la recherche de quelque chose qui apaiserait leur faim. N’ayant rien trouvé, elle s’est dirigée vers une montagne proche, s’est appuyée contre un arbre et s’est mise à pleurer, tout en s’efforçant de cacher ses larmes à ses enfants. Elle a alors supplié Dieu de venir à son secours dans ce moment de profonde détresse. A peine avait-elle terminé sa supplique qu’elle a senti quelque chose tomber à ses pieds du haut des branches de l’arbre. Elle s’est penchée et, à ses pieds mêmes, elle a vu un doublon d’or dans l’herbe. Grâce à cette précieuse pièce, elle allait pouvoir acheter de la nourriture. Elle a certainement éprouvé au plus profond de son cœur une joie et une gratitude immenses.
On pourrait expliquer cette histoire de plusieurs manières, mais la plus vraisemblable est la suivante : il y avait beaucoup de corbeaux dans la région, et d’aucuns croient que ces oiseaux sont attirés par les objets brillants et les emportent dans leur nid ; la pièce a donc dû tomber du nid d’un de ces oiseaux.
Quand la peur nous aveugle, il n’est pas facile d’avoir conscience que la solution divine est immédiate. Mais comme le montre cette histoire, malgré les difficultés, la présence de Dieu est bien réelle à nos côtés, et elle répond à nos besoins.
Cela me rappelle un verset biblique que j’aime beaucoup : « Avant qu’ils m’invoquent, je répondrai ; avant qu’ils aient cessé de parler, j’exaucerai. » (Esaïe 65:24) Comme Agar, nous ne pouvons être conscients de la présence du bien quand l’angoisse et le désespoir nous aveuglent. Parfois, nous attendons une certaine solution pour répondre à notre besoin, et lorsque celle-ci apparaît d’une façon que nous n’attendions pas, nous pensons que l’aide nous a été refusée.
Plus d’une fois, je me suis sentie très proche d’Agar et de la femme qui avait trouvé le doublon. J’ai connu des moments où, poussée par le désespoir, j’ai demandé à Dieu de tout mon cœur, même en pleurant, d’obtenir ce dont j’avais vraiment besoin.
Lorsque ma situation financière était très difficile, il m’est arrivé de trouver de l’argent oublié dans la poche d’un vêtement ou dans un sac à main, et qui couvrait les besoins du moment. Une fois, mon mari et moi avons passé plusieurs nuits blanches, car nous devions trouver de toute urgence un nouveau logement. Lorsque nous avons prié et affirmé que notre Père-Mère Dieu, dans Son amour, ne permettrait pas que Ses enfants bien-aimés soient impuissants, nous avons trouvé la solution. En quelques jours, nous avons trouvé une belle maison dotée de tous les équipements nécessaires pour loger notre famille.
Comme on peut le lire dans Science et Santé avec la Clef des Ecritures, de Mary Baker Eddy, la découvreuse de la Science Chrétienne : « L’Amour divin a toujours répondu à tout besoin humain et y répondra toujours. » (p. 494) En étudiant cette Science, j’ai fini par comprendre que Dieu répond aux besoins de chacun, comme en témoignent les histoires d’Agar et de la femme qui avait trouvé le doublon d’or. En réalité, la création spirituelle de Dieu est complète, elle ne souffre d’aucun manque.
La femme qui avait trouvé la pièce avait adressé une requête à un Dieu qu’elle ne connaissait pas vraiment, mais dont elle savait par intuition qu’Il y répondrait. Comme je l’ai appris, ce Dieu est le bien suprême, le Dieu que la Science Chrétienne nous incite à connaître et à aimer. Qu’il est merveilleux de savoir que l’Amour divin est infini ! Il traverse les siècles, répond à tous les besoins et atteint le cœur de ceux qui cherchent sincèrement une réponse en Dieu.
Quand l’outre fut vide, elle s’éloigna de son fils, car elle ne voulait pas le voir mourir. Pourtant, même au milieu de ce désespoir absolu, cette mère comprit que l’enfant avait un lien direct avec Dieu. Un ange, ou message divin, lui dit : « Dieu a entendu la voix de l’enfant dans le lieu où il est. » Agar et l’enfant furent alors sauvés. La Bible rapporte : « Dieu lui ouvrit les yeux, et elle vit un puits d’eau ; elle alla remplir d’eau l’outre, et donna à boire à l’enfant. »
L’ange, dans son message, avait ordonné à Agar de se « lever » et de prendre l’enfant. Selon la Science Chrétienne, le message de l’ange signifiait qu’elle devait élever ses pensées concernant le petit garçon pour reconnaître l’origine de la vie de son enfant, à savoir Dieu, la Vie divine, la seule Vie. Il lui fallait comprendre qu’il ne pouvait pas perdre la vie. Le plus remarquable dans cette histoire, à mes yeux, c’est que l’eau dont ils avaient tant besoin était déjà là. Son désespoir l’avait empêchée de voir que la solution avait toujours été à sa portée. La leçon à en tirer pour aujourd’hui, c’est que la solution divine est toujours près de nous.
Dans ma famille, on se transmet une histoire depuis plusieurs générations. Il y a environ cent ans, une parente s’est retrouvée seule avec ses plus jeunes enfants pendant que son mari et ses deux aînés partaient à la guerre. Très vite, elle n’a plus eu rien à leur donner à manger. Désespérée, elle est allée dans les champs avec eux, peut-être à la recherche de quelque chose qui apaiserait leur faim. N’ayant rien trouvé, elle s’est dirigée vers une montagne proche, s’est appuyée contre un arbre et s’est mise à pleurer, tout en s’efforçant de cacher ses larmes à ses enfants. Elle a alors supplié Dieu de venir à son secours dans ce moment de profonde détresse. A peine avait-elle terminé sa supplique qu’elle a senti quelque chose tomber à ses pieds du haut des branches de l’arbre. Elle s’est penchée et, à ses pieds mêmes, elle a vu un doublon d’or dans l’herbe. Grâce à cette précieuse pièce, elle allait pouvoir acheter de la nourriture. Elle a certainement éprouvé au plus profond de son cœur une joie et une gratitude immenses.
On pourrait expliquer cette histoire de plusieurs manières, mais la plus vraisemblable est la suivante : il y avait beaucoup de corbeaux dans la région, et d’aucuns croient que ces oiseaux sont attirés par les objets brillants et les emportent dans leur nid ; la pièce a donc dû tomber du nid d’un de ces oiseaux.
Quand la peur nous aveugle, il n’est pas facile d’avoir conscience que la solution divine est immédiate. Mais comme le montre cette histoire, malgré les difficultés, la présence de Dieu est bien réelle à nos côtés, et elle répond à nos besoins.
Cela me rappelle un verset biblique que j’aime beaucoup : « Avant qu’ils m’invoquent, je répondrai ; avant qu’ils aient cessé de parler, j’exaucerai. » (Esaïe 65:24) Comme Agar, nous ne pouvons être conscients de la présence du bien quand l’angoisse et le désespoir nous aveuglent. Parfois, nous attendons une certaine solution pour répondre à notre besoin, et lorsque celle-ci apparaît d’une façon que nous n’attendions pas, nous pensons que l’aide nous a été refusée.
Plus d’une fois, je me suis sentie très proche d’Agar et de la femme qui avait trouvé le doublon. J’ai connu des moments où, poussée par le désespoir, j’ai demandé à Dieu de tout mon cœur, même en pleurant, d’obtenir ce dont j’avais vraiment besoin.
Lorsque ma situation financière était très difficile, il m’est arrivé de trouver de l’argent oublié dans la poche d’un vêtement ou dans un sac à main, et qui couvrait les besoins du moment. Une fois, mon mari et moi avons passé plusieurs nuits blanches, car nous devions trouver de toute urgence un nouveau logement. Lorsque nous avons prié et affirmé que notre Père-Mère Dieu, dans Son amour, ne permettrait pas que Ses enfants bien-aimés soient impuissants, nous avons trouvé la solution. En quelques jours, nous avons trouvé une belle maison dotée de tous les équipements nécessaires pour loger notre famille.
Comme on peut le lire dans Science et Santé avec la Clef des Ecritures, de Mary Baker Eddy, la découvreuse de la Science Chrétienne : « L’Amour divin a toujours répondu à tout besoin humain et y répondra toujours. » (p. 494) En étudiant cette Science, j’ai fini par comprendre que Dieu répond aux besoins de chacun, comme en témoignent les histoires d’Agar et de la femme qui avait trouvé le doublon d’or. En réalité, la création spirituelle de Dieu est complète, elle ne souffre d’aucun manque.
La femme qui avait trouvé la pièce avait adressé une requête à un Dieu qu’elle ne connaissait pas vraiment, mais dont elle savait par intuition qu’Il y répondrait. Comme je l’ai appris, ce Dieu est le bien suprême, le Dieu que la Science Chrétienne nous incite à connaître et à aimer. Qu’il est merveilleux de savoir que l’Amour divin est infini ! Il traverse les siècles, répond à tous les besoins et atteint le cœur de ceux qui cherchent sincèrement une réponse en Dieu.
Les faits relatifs aux guérisons mentionnés dans tous les témoignages et les articles ont été confirmés par écrit par des personnes qui ont été témoins de la guérison ou qui peuvent garantir l'intégrité de l'auteur.
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