Accepter et revendiquer la bonté illimitée de Dieu
Susanne van Eyl
Tiré du Héraut de la Science Chrétienne mars 2021
Tiré du Héraut de la Science Chrétienne mars 2021
Beaucoup connaissent la parabole de Jésus qui parle du fils prodigue. On la trouve au chapitre 15 de l’Evangile selon Luc (versets 11-32). C’est l’histoire d’un jeune homme qui demande son héritage, le reçoit, puis quitte son père et son frère aîné pour aller mener ailleurs une nouvelle vie, une vie de « débauche ». Il dépense jusqu’à son dernier centime et finit par ravaler son orgueil en décidant de demander à son père la permission de l’accepter comme mercenaire. Ce père est un homme bon : d’abord il lui accorde son héritage, puis il l’accueille à bras ouverts à son retour, non comme un mercenaire, mais comme son fils bien-aimé. Il va même jusqu’à organiser une fête pour célébrer ce retour.
Lorsque j’étais petite, j’ai appris à connaître cette parabole à l’école du dimanche de la Science Chrétienne, et j’ai beaucoup trouvé à redire sur le comportement du père. Sa gentillesse et sa mansuétude heurtaient mon sens limité de la responsabilité et de la justice. Et en effet, l’autre fils se plaint (à juste titre, me semblait-il alors) de n’avoir jamais fait l’objet d’un traitement spécial, alors même qu’il n’a pas quitté le foyer de son père. Alors pourquoi un tel accueil pour son frère ? Jésus fait dire à ce frère aîné : « Voici, il y a tant d’années que je te sers, sans avoir jamais transgressé tes ordres, et jamais tu ne m’as donné un chevreau pour que je me réjouisse avec mes amis. » J’étais de tout cœur du côté du fils aîné.
Quand j’étais préadolescente, j’ai même recouru à un argument similaire lors d’une dispute avec ma mère. La plupart de mes amies avaient plus d’argent de poche que moi, ce qui ne me semblait pas juste. Suivant la logique du frère aîné, je me suis plainte en disant que j’étais une meilleure fille que d’autres, et pourtant on me donnait moins d’argent. Ma mère est restée insensible. Les pratiques habituelles de voisins plus aisés ne concernaient pas une veuve avec trois enfants. Voulant donner plus de force à mon argument, j’ai repris l’histoire du fils prodigue dans l’Evangile selon Luc, et j’y ai trouvé un détail surprenant. C’est avec amour que le père répond aux récriminations de son fils : « Mon enfant, lui dit le père, tu es toujours avec moi, et tout ce que j’ai est à toi. » J’ai compris que j’avais tout ce dont j’avais besoin, et je n’ai plus jamais estimé juste de recourir à cet argument.
J’ai relu cette histoire plusieurs fois au fil des ans, et un jour quelque chose de nouveau m’est apparu. J’avais toujours pensé que le père avait donné sa part d’héritage uniquement au fils cadet, mais que lit-on ? « Le père leur partagea son bien ». Même ce qui avait retenu mon attention quand j’étais préadolescente contient un enseignement spirituel essentiel : « Tout ce que j’ai est à toi. »
La parabole de Jésus renferme de nombreux messages spirituels qui nous aident à faire face aux situations humaines. Il semble que ceux qui l’écoutaient avaient besoin de comprendre que l’amour et la bonté qui s’étendaient à d’autres (y compris ceux qui avaient péché) ne leur enlevait rien, car Dieu communique toujours Ses qualités et Ses idées spirituelles illimitées au bénéfice de tous.
Jésus prononça cette parabole après que les chefs juifs s’étaient plaints du fait qu’il passait du temps en compagnie de ceux qu’ils considéraient comme des pécheurs (voir Luc 15:1, 2). En réponse, Jésus illustra le fait que Dieu accueille à bras ouverts (comme le père dans la parabole) ceux qui se tournent vers Lui (comme le fils prodigue), et que Son amour est inépuisable. Le bien que Dieu donne est accessible à tous, c’est pourquoi le bien qu’une personne reçoit ne diminue pas le bien d’une autre. C’est ce que le fils aîné avait besoin d’apprendre.
Cette parabole est également une leçon de miséricorde pour les deux frères, puisque le plus jeune a été accueilli chaleureusement et fêté à son retour, après que, « rentré en lui-même », il a reconnu qu’il ne devait sa pauvreté qu’à sa mauvaise conduite, et que le fils aîné a reçu cette assurance : « Tout ce que j’ai est à toi. » Dieu prend soin de nous de multiples façons, chacune d’entre elles s’accompagnant d’une générosité et d’un amour inépuisables. Et pour quelle raison ? Parce que Dieu, ainsi que Son amour et Sa création, sont infinis. L’amour et la bonté de Dieu sont infinis, ils ne s’épuisent jamais, quelle que soit la quantité de bien qu’Il ne cesse de dispenser à Ses enfants. Dans notre expérience humaine, nous avons seulement à nous prévaloir des ressources spirituelles que Dieu donne à tous.
Lorsque nous comprenons que Dieu est notre Parent, nous voyons peu à peu qu’Il nous révèle sans cesse notre identité spirituelle véritable, nos qualités de droiture et notre bonté. Malgré tout, les humains ont parfois du mal à comprendre cette bonté et cette sollicitude constantes. On ne peut revendiquer ce que l’on ne comprend pas. J’ai lutté par moments pour connaître ma vraie nature et discerner la voie à suivre dans des situations difficiles. Mais si déroutantes que soient les circonstances, j’ai toujours trouvé une réponse. Les réponses ont jailli quand j’ai reconnu davantage mon vrai moi créé par Dieu, et que j’ai compris que tout ce que Dieu donne m’appartient, si bien que je peux m’ouvrir à Ses ressources spirituelles illimitées et revendiquer mon droit au bien.
L’éveil du fils cadet à la sagesse d’une vie véritablement divine ainsi que l’assurance donnée au fils aîné d’une vie abondante offerte à tous par Dieu, constituent pour nous des repères.
Ces idées m’ont fait franchir une nouvelle étape lorsqu’à un certain âge, je me suis demandé s’il y avait quelque chose que je devais changer. Est-ce que ma façon d’être, d’agir, de penser était « appropriée à mon âge », c’est-à-dire correcte ? J’y ai réfléchi pendant plusieurs mois. Je ne me sentais pas différente de ce que j’étais avant, mais je pensais qu’on attendait de moi quelque chose de nouveau, peut-être davantage de respectabilité, voire une approche plus prudente des choses. En fin de compte, j’ai demandé directement à Dieu comment il fallait que je sois. La réponse m’a surprise et m’a fait voir la douceur de Dieu : « Sois l’enfant de Dieu. » Cela signifiait à mes yeux que je devais être conforme à ma raison d’être. En y réfléchissant, j’ai compris que le fait d’être l’enfant de Dieu constitue une norme réalisable. J’ai aussi compris que c’est là une vérité éternelle. Je serai toujours l’enfant de Dieu, quel que soit le nombre d’années humaines accumulées.
Il m’a alors été très facile d’en faire le précepte directeur de mes actes et de mes pensées pour ne pas tomber dans les erreurs des deux fils de la parabole. L’enfant de Dieu manque-t-il de quoi que ce soit ? Traite-t-il les autres avec irrespect ? Non ! L’enfant de Dieu a-t-il besoin de se défouler, se vante-t-il, nuit-il à l’environnement, menace-t-il les autres ? Non ! L’enfant de Dieu est-il bien soigné, aimant, honorable, joyeux, attentionné ? Oui ! Ainsi, lorsque je suis contrariée, inquiète, déçue ou impatiente, je me reporte à cette norme très claire avant de faire quoi que ce soit. Est-ce que je peux être privée de quelque chose ? M’en prendre aux autres ? Etre envieuse ou rancunière ? Non, ce n’est pas concevable de la part de l’enfant de Dieu.
Lorsque la question se pose de savoir si nous menons une vie conforme à celle de la création divine de Dieu, tournons-nous vers les écrits de Mary Baker Eddy, la Découvreuse et Fondatrice de la Science Chrétienne. Elle explique à maintes reprises comment revendiquer notre héritage en tant qu’enfants de Dieu. Dans le livre d’étude de la Science Chrétienne, Science et Santé avec la Clef des Ecritures, elle écrit ceci : « La Science Chrétienne lève l’étendard de la liberté et crie : “Suivez-moi ! Echappez à l’esclavage de la maladie, du péché et de la mort !” Jésus traça le chemin. Citoyens du monde, acceptez la “liberté glorieuse des enfants de Dieu”, et soyez libres ! Tel est votre droit divin. » (p. 227)
Que nous soyons asservis au péché, à la maladie et à la mort, que nous souffrions de privations, de la pauvreté ou de la solitude, ou qu’une situation semble freiner nos progrès, souvenons-nous alors de notre droit de naissance et revendiquons – acceptons ! – la « liberté glorieuse des enfants de Dieu ». Et puisque ce droit, ce don légitime, appartient à chaque enfant de Dieu – à tout homme, toute femme et tout enfant sur terre – nous ne pouvons nous écarter définitivement du bien, et le bien d’autrui ne peut jamais diminuer notre bien.
La parabole de Jésus illustre des comportements qui semblent très réalistes. Il m’est arrivé de me reconnaître dans le portrait du fils aîné, à la fois dans son attitude moralisatrice et dans sa loyauté envers son père. Voir qu’il avait besoin qu’on l’aide à reconnaître le bien dont il disposait déjà m’a réveillée moi-même. Comme il est si bien dit dans le cantique 70 de l’Hymnaire de la Science Chrétienne, à propos de Dieu : « Tout cœur Le recherchant obtient / De partager Ses biens. » (Elizabeth C. Adams, trad. © CSBD)
Notre identité véritable en tant que Son enfant, les glorieuses qualités que nous exprimons et la bonté abondante font partie des biens de Dieu. Lorsque j’ai accepté les biens de Dieu dans ma vie, il m’est devenu facile de les partager. Un autre cantique d’Elizabeth Adam, le no 58, fournit le modèle de cette sorte de partage : « Partageant Ton allégresse, Fidèles et confiants... ». C’est devenu l’une de mes devises ; elle m’a été en partie inspirée par une meilleure compréhension de la parabole du fils prodigue qui a tant de valeur à mes yeux.
Lorsque j’étais petite, j’ai appris à connaître cette parabole à l’école du dimanche de la Science Chrétienne, et j’ai beaucoup trouvé à redire sur le comportement du père. Sa gentillesse et sa mansuétude heurtaient mon sens limité de la responsabilité et de la justice. Et en effet, l’autre fils se plaint (à juste titre, me semblait-il alors) de n’avoir jamais fait l’objet d’un traitement spécial, alors même qu’il n’a pas quitté le foyer de son père. Alors pourquoi un tel accueil pour son frère ? Jésus fait dire à ce frère aîné : « Voici, il y a tant d’années que je te sers, sans avoir jamais transgressé tes ordres, et jamais tu ne m’as donné un chevreau pour que je me réjouisse avec mes amis. » J’étais de tout cœur du côté du fils aîné.
Quand j’étais préadolescente, j’ai même recouru à un argument similaire lors d’une dispute avec ma mère. La plupart de mes amies avaient plus d’argent de poche que moi, ce qui ne me semblait pas juste. Suivant la logique du frère aîné, je me suis plainte en disant que j’étais une meilleure fille que d’autres, et pourtant on me donnait moins d’argent. Ma mère est restée insensible. Les pratiques habituelles de voisins plus aisés ne concernaient pas une veuve avec trois enfants. Voulant donner plus de force à mon argument, j’ai repris l’histoire du fils prodigue dans l’Evangile selon Luc, et j’y ai trouvé un détail surprenant. C’est avec amour que le père répond aux récriminations de son fils : « Mon enfant, lui dit le père, tu es toujours avec moi, et tout ce que j’ai est à toi. » J’ai compris que j’avais tout ce dont j’avais besoin, et je n’ai plus jamais estimé juste de recourir à cet argument.
J’ai relu cette histoire plusieurs fois au fil des ans, et un jour quelque chose de nouveau m’est apparu. J’avais toujours pensé que le père avait donné sa part d’héritage uniquement au fils cadet, mais que lit-on ? « Le père leur partagea son bien ». Même ce qui avait retenu mon attention quand j’étais préadolescente contient un enseignement spirituel essentiel : « Tout ce que j’ai est à toi. »
La parabole de Jésus renferme de nombreux messages spirituels qui nous aident à faire face aux situations humaines. Il semble que ceux qui l’écoutaient avaient besoin de comprendre que l’amour et la bonté qui s’étendaient à d’autres (y compris ceux qui avaient péché) ne leur enlevait rien, car Dieu communique toujours Ses qualités et Ses idées spirituelles illimitées au bénéfice de tous.
Jésus prononça cette parabole après que les chefs juifs s’étaient plaints du fait qu’il passait du temps en compagnie de ceux qu’ils considéraient comme des pécheurs (voir Luc 15:1, 2). En réponse, Jésus illustra le fait que Dieu accueille à bras ouverts (comme le père dans la parabole) ceux qui se tournent vers Lui (comme le fils prodigue), et que Son amour est inépuisable. Le bien que Dieu donne est accessible à tous, c’est pourquoi le bien qu’une personne reçoit ne diminue pas le bien d’une autre. C’est ce que le fils aîné avait besoin d’apprendre.
Cette parabole est également une leçon de miséricorde pour les deux frères, puisque le plus jeune a été accueilli chaleureusement et fêté à son retour, après que, « rentré en lui-même », il a reconnu qu’il ne devait sa pauvreté qu’à sa mauvaise conduite, et que le fils aîné a reçu cette assurance : « Tout ce que j’ai est à toi. » Dieu prend soin de nous de multiples façons, chacune d’entre elles s’accompagnant d’une générosité et d’un amour inépuisables. Et pour quelle raison ? Parce que Dieu, ainsi que Son amour et Sa création, sont infinis. L’amour et la bonté de Dieu sont infinis, ils ne s’épuisent jamais, quelle que soit la quantité de bien qu’Il ne cesse de dispenser à Ses enfants. Dans notre expérience humaine, nous avons seulement à nous prévaloir des ressources spirituelles que Dieu donne à tous.
Lorsque nous comprenons que Dieu est notre Parent, nous voyons peu à peu qu’Il nous révèle sans cesse notre identité spirituelle véritable, nos qualités de droiture et notre bonté. Malgré tout, les humains ont parfois du mal à comprendre cette bonté et cette sollicitude constantes. On ne peut revendiquer ce que l’on ne comprend pas. J’ai lutté par moments pour connaître ma vraie nature et discerner la voie à suivre dans des situations difficiles. Mais si déroutantes que soient les circonstances, j’ai toujours trouvé une réponse. Les réponses ont jailli quand j’ai reconnu davantage mon vrai moi créé par Dieu, et que j’ai compris que tout ce que Dieu donne m’appartient, si bien que je peux m’ouvrir à Ses ressources spirituelles illimitées et revendiquer mon droit au bien.
L’éveil du fils cadet à la sagesse d’une vie véritablement divine ainsi que l’assurance donnée au fils aîné d’une vie abondante offerte à tous par Dieu, constituent pour nous des repères.
Ces idées m’ont fait franchir une nouvelle étape lorsqu’à un certain âge, je me suis demandé s’il y avait quelque chose que je devais changer. Est-ce que ma façon d’être, d’agir, de penser était « appropriée à mon âge », c’est-à-dire correcte ? J’y ai réfléchi pendant plusieurs mois. Je ne me sentais pas différente de ce que j’étais avant, mais je pensais qu’on attendait de moi quelque chose de nouveau, peut-être davantage de respectabilité, voire une approche plus prudente des choses. En fin de compte, j’ai demandé directement à Dieu comment il fallait que je sois. La réponse m’a surprise et m’a fait voir la douceur de Dieu : « Sois l’enfant de Dieu. » Cela signifiait à mes yeux que je devais être conforme à ma raison d’être. En y réfléchissant, j’ai compris que le fait d’être l’enfant de Dieu constitue une norme réalisable. J’ai aussi compris que c’est là une vérité éternelle. Je serai toujours l’enfant de Dieu, quel que soit le nombre d’années humaines accumulées.
Il m’a alors été très facile d’en faire le précepte directeur de mes actes et de mes pensées pour ne pas tomber dans les erreurs des deux fils de la parabole. L’enfant de Dieu manque-t-il de quoi que ce soit ? Traite-t-il les autres avec irrespect ? Non ! L’enfant de Dieu a-t-il besoin de se défouler, se vante-t-il, nuit-il à l’environnement, menace-t-il les autres ? Non ! L’enfant de Dieu est-il bien soigné, aimant, honorable, joyeux, attentionné ? Oui ! Ainsi, lorsque je suis contrariée, inquiète, déçue ou impatiente, je me reporte à cette norme très claire avant de faire quoi que ce soit. Est-ce que je peux être privée de quelque chose ? M’en prendre aux autres ? Etre envieuse ou rancunière ? Non, ce n’est pas concevable de la part de l’enfant de Dieu.
Lorsque la question se pose de savoir si nous menons une vie conforme à celle de la création divine de Dieu, tournons-nous vers les écrits de Mary Baker Eddy, la Découvreuse et Fondatrice de la Science Chrétienne. Elle explique à maintes reprises comment revendiquer notre héritage en tant qu’enfants de Dieu. Dans le livre d’étude de la Science Chrétienne, Science et Santé avec la Clef des Ecritures, elle écrit ceci : « La Science Chrétienne lève l’étendard de la liberté et crie : “Suivez-moi ! Echappez à l’esclavage de la maladie, du péché et de la mort !” Jésus traça le chemin. Citoyens du monde, acceptez la “liberté glorieuse des enfants de Dieu”, et soyez libres ! Tel est votre droit divin. » (p. 227)
Que nous soyons asservis au péché, à la maladie et à la mort, que nous souffrions de privations, de la pauvreté ou de la solitude, ou qu’une situation semble freiner nos progrès, souvenons-nous alors de notre droit de naissance et revendiquons – acceptons ! – la « liberté glorieuse des enfants de Dieu ». Et puisque ce droit, ce don légitime, appartient à chaque enfant de Dieu – à tout homme, toute femme et tout enfant sur terre – nous ne pouvons nous écarter définitivement du bien, et le bien d’autrui ne peut jamais diminuer notre bien.
La parabole de Jésus illustre des comportements qui semblent très réalistes. Il m’est arrivé de me reconnaître dans le portrait du fils aîné, à la fois dans son attitude moralisatrice et dans sa loyauté envers son père. Voir qu’il avait besoin qu’on l’aide à reconnaître le bien dont il disposait déjà m’a réveillée moi-même. Comme il est si bien dit dans le cantique 70 de l’Hymnaire de la Science Chrétienne, à propos de Dieu : « Tout cœur Le recherchant obtient / De partager Ses biens. » (Elizabeth C. Adams, trad. © CSBD)
Notre identité véritable en tant que Son enfant, les glorieuses qualités que nous exprimons et la bonté abondante font partie des biens de Dieu. Lorsque j’ai accepté les biens de Dieu dans ma vie, il m’est devenu facile de les partager. Un autre cantique d’Elizabeth Adam, le no 58, fournit le modèle de cette sorte de partage : « Partageant Ton allégresse, Fidèles et confiants... ». C’est devenu l’une de mes devises ; elle m’a été en partie inspirée par une meilleure compréhension de la parabole du fils prodigue qui a tant de valeur à mes yeux.
Les faits relatifs aux guérisons mentionnés dans tous les témoignages et les articles ont été confirmés par écrit par des personnes qui ont été témoins de la guérison ou qui peuvent garantir l'intégrité de l'auteur.
Vous souhaitez lire d'autres articles allez sur ce lien : http://fr.herald.christianscience.com/francais/articles-originaux-web/2013/les-collections-du-heraut-pour-les-enfants-et-les-jeunes