Voir les bienfaits de Dieu lorsque les temps sont difficiles
Savanna Suber
Du Héraut de la Science Chrétienne. - juin 2025
Du Héraut de la Science Chrétienne. - juin 2025
J’avais été « expulsée de la maison ». Bon, je n’ai pas été jetée hors d’une vraie maison.
Quelque cinq ans plus tôt, j’avais vécu une rupture amoureuse difficile. Peu de temps après, j’ai eu un accident de voiture qui a détruit mon véhicule et, quelques mois plus tard, mon père est décédé. Puis, la pandémie de Covid s’est déclenchée, et j’ai été licenciée alors que je m’étais engagée dans une carrière que je pensais exercer pour toujours. J’étais submergée par un sentiment de perte.
C’est pourquoi j’avais l’impression d’avoir été « expulsée de la maison » – une expression utilisée autrefois par Mary Baker Eddy, la découvreuse de la Science Chrétienne. L’un de ses étudiants avait été guéri d’une blessure grave grâce à la prière. Alors qu’il racontait cette guérison à Mary Baker Eddy, elle lui a dit : « …vous avez été violemment expulsé de la maison, et, une fois dehors, vous vous êtes relevé ; n’y retournez plus. » (Nous avons connu Mary Baker Eddy, Edition augmentée, volume I, p. 361)
On m’a expliqué un jour que la maison à laquelle Mary Baker Eddy faisait référence représente la croyance que notre vie est physique. Lorsque les difficultés surgissent, elles nous donnent l’opportunité de comprendre et de rechercher le sens véritable, spirituel de la vie, notre unité avec la seule vraie Vie, Dieu. Cela découle de la compréhension que Dieu est Esprit et que Sa création est purement spirituelle. Lorsque nous affrontons et surmontons ces défis, nous pouvons être « expulsés de la maison ». Mais nous ne devons pas retourner dans la maison ou continuer de voir la vie à travers une lentille matérielle.
Cette explication m’a rappelé l’histoire biblique de la servante d’Abraham, Agar, et de son fils, Ismaël, qui furent chassés de l’endroit où ils vivaient et envoyés dans le désert. Ils ont erré dans le désert jusqu’à ce qu’ils soient arrivés au point où Agar a cru que la mort était imminente. Mais un « ange de Dieu » s’est adressé à elle ainsi : « Qu’as-tu, Agar ? Ne crains point, car Dieu a entendu la voix de l’enfant dans le lieu où il est. » (Genèse 21:17) Dieu a ouvert les yeux d’Agar et elle a vu un puits d’eau. Pour moi, cela montre que lorsqu’elle a compris que Dieu avait pourvu à ses besoins, elle a découvert que ce qui lui était nécessaire était déjà là et serait toujours là pour elle et pour son fils.
Avec ces pensées en tête, j’ai essayé de voir les pertes que j’avais moi-même subies comme des opportunités d’acquérir une vision plus vaste de Dieu. C’était une période difficile, mais je savais que Dieu fournit à chacun de nous tout ce dont il a besoin, tout comme Il l’a fait pour Agar et pour tant d’autres personnages de la Bible. J’ai cherché un nouvel emploi et j’ai surmonté par la prière le chagrin dû à la perte de mon père. J’ai trouvé de l’inspiration et un soutien merveilleux auprès d’un groupe de scientistes chrétiens que je rencontrais virtuellement tous les jours.
Après un certain temps, on m’a recommandé un emploi dans un nouveau secteur qui était à tous points de vue plus intéressant que ce que j’aurais pu espérer. J’ai accepté le poste et, trois ans plus tard, je suis toujours ravie de l’occuper. J’ai également rencontré celui qui est désormais mon mari, qui est un partenaire aimant dans la vie et dans l’étude de la Science Chrétienne. J’ai même été témoin des bienfaits merveilleux reçus lorsque ma mère a harmonieusement changé de carrière et déménagé à l’autre bout du pays pour se rapprocher de ma sœur et de moi. Plus important encore, j’ai pu commémorer la vie de mon père et me sentir proche de lui, même s’il n’est plus physiquement ici.
Tout comme Agar, j’ai été amenée à voir que les ressources de Dieu étaient déjà là. Je n’attendais pas une sorte d’intervention divine, mais j’avais simplement besoin de devenir réceptive au bien divin toujours présent qui se déverse à flot sur nous, ce que j’ai apprécié encore plus lorsque j’ai quitté la « maison » de la pensée limitée.
Cette guérison a été un jalon très important pour moi au fil des années. A l’époque, je voyais les défis comme un fardeau. En fait, j’aimais plutôt ma « maison » – mon travail, mes relations, etc. – alors j’ai été frustrée lorsque tout cela a pris fin. Mais j’ai appris à faire confiance à la direction de Dieu et à rechercher le déroulement de Sa bonté et des abondants bienfaits dont Il nous comble. Notre joie, notre expectative et notre capacité à aller de l’avant et à sortir de la « maison » sont le plus important. C’est le Christ – la manifestation divine de Dieu – à l’œuvre dans notre vie !
Quelque cinq ans plus tôt, j’avais vécu une rupture amoureuse difficile. Peu de temps après, j’ai eu un accident de voiture qui a détruit mon véhicule et, quelques mois plus tard, mon père est décédé. Puis, la pandémie de Covid s’est déclenchée, et j’ai été licenciée alors que je m’étais engagée dans une carrière que je pensais exercer pour toujours. J’étais submergée par un sentiment de perte.
C’est pourquoi j’avais l’impression d’avoir été « expulsée de la maison » – une expression utilisée autrefois par Mary Baker Eddy, la découvreuse de la Science Chrétienne. L’un de ses étudiants avait été guéri d’une blessure grave grâce à la prière. Alors qu’il racontait cette guérison à Mary Baker Eddy, elle lui a dit : « …vous avez été violemment expulsé de la maison, et, une fois dehors, vous vous êtes relevé ; n’y retournez plus. » (Nous avons connu Mary Baker Eddy, Edition augmentée, volume I, p. 361)
On m’a expliqué un jour que la maison à laquelle Mary Baker Eddy faisait référence représente la croyance que notre vie est physique. Lorsque les difficultés surgissent, elles nous donnent l’opportunité de comprendre et de rechercher le sens véritable, spirituel de la vie, notre unité avec la seule vraie Vie, Dieu. Cela découle de la compréhension que Dieu est Esprit et que Sa création est purement spirituelle. Lorsque nous affrontons et surmontons ces défis, nous pouvons être « expulsés de la maison ». Mais nous ne devons pas retourner dans la maison ou continuer de voir la vie à travers une lentille matérielle.
Cette explication m’a rappelé l’histoire biblique de la servante d’Abraham, Agar, et de son fils, Ismaël, qui furent chassés de l’endroit où ils vivaient et envoyés dans le désert. Ils ont erré dans le désert jusqu’à ce qu’ils soient arrivés au point où Agar a cru que la mort était imminente. Mais un « ange de Dieu » s’est adressé à elle ainsi : « Qu’as-tu, Agar ? Ne crains point, car Dieu a entendu la voix de l’enfant dans le lieu où il est. » (Genèse 21:17) Dieu a ouvert les yeux d’Agar et elle a vu un puits d’eau. Pour moi, cela montre que lorsqu’elle a compris que Dieu avait pourvu à ses besoins, elle a découvert que ce qui lui était nécessaire était déjà là et serait toujours là pour elle et pour son fils.
Avec ces pensées en tête, j’ai essayé de voir les pertes que j’avais moi-même subies comme des opportunités d’acquérir une vision plus vaste de Dieu. C’était une période difficile, mais je savais que Dieu fournit à chacun de nous tout ce dont il a besoin, tout comme Il l’a fait pour Agar et pour tant d’autres personnages de la Bible. J’ai cherché un nouvel emploi et j’ai surmonté par la prière le chagrin dû à la perte de mon père. J’ai trouvé de l’inspiration et un soutien merveilleux auprès d’un groupe de scientistes chrétiens que je rencontrais virtuellement tous les jours.
Après un certain temps, on m’a recommandé un emploi dans un nouveau secteur qui était à tous points de vue plus intéressant que ce que j’aurais pu espérer. J’ai accepté le poste et, trois ans plus tard, je suis toujours ravie de l’occuper. J’ai également rencontré celui qui est désormais mon mari, qui est un partenaire aimant dans la vie et dans l’étude de la Science Chrétienne. J’ai même été témoin des bienfaits merveilleux reçus lorsque ma mère a harmonieusement changé de carrière et déménagé à l’autre bout du pays pour se rapprocher de ma sœur et de moi. Plus important encore, j’ai pu commémorer la vie de mon père et me sentir proche de lui, même s’il n’est plus physiquement ici.
Tout comme Agar, j’ai été amenée à voir que les ressources de Dieu étaient déjà là. Je n’attendais pas une sorte d’intervention divine, mais j’avais simplement besoin de devenir réceptive au bien divin toujours présent qui se déverse à flot sur nous, ce que j’ai apprécié encore plus lorsque j’ai quitté la « maison » de la pensée limitée.
Cette guérison a été un jalon très important pour moi au fil des années. A l’époque, je voyais les défis comme un fardeau. En fait, j’aimais plutôt ma « maison » – mon travail, mes relations, etc. – alors j’ai été frustrée lorsque tout cela a pris fin. Mais j’ai appris à faire confiance à la direction de Dieu et à rechercher le déroulement de Sa bonté et des abondants bienfaits dont Il nous comble. Notre joie, notre expectative et notre capacité à aller de l’avant et à sortir de la « maison » sont le plus important. C’est le Christ – la manifestation divine de Dieu – à l’œuvre dans notre vie !
Les faits relatifs aux guérisons mentionnés dans tous les témoignages et les articles ont été confirmés par écrit par des personnes qui ont été témoins de la guérison ou qui peuvent garantir l'intégrité de l'auteur.
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