« Christ bien-aimé, Christ éternel »
Mary Gottschalk
Tiré du Héraut de la Science Chrétienne décembre 2020
Tiré du Héraut de la Science Chrétienne décembre 2020
Un jour de l’été dernier, alors que je me sentais emprisonnée à cause du confinement et que je me demandais quand la pandémie prendrait fin, je me suis tournée vers Dieu et j’ai prié. Quand je prie, j’aime m’arrêter pour ressentir la présence et la réalité de Dieu, le bien. Souvent, un verset de la Bible m’aide, comme celui-ci, extrait des Psaumes : « Dieu est […] un secours qui ne manque jamais dans la détresse. » (46:1), ou bien : « Car il ordonnera à ses anges de te garder dans toutes tes voies » (91:11).
Ce jour-là, quelque chose de différent est venu à moi. C’était un vers du poème « Aube de Noël », écrit par Mary Baker Eddy et transposé en cantique : « Cher Christ, à jamais présent et proche » (Poems, [Poèmes], p. 29). » Ce verset m’a fait sourire, intérieurement et extérieurement, et a ouvert la voie à une prière empreinte d’une plus grande conviction. Les mots sont venus à moi comme un cantique, chantant dans mon cœur, et m’apportant une joie qui n’est pas limitée uniquement à Noël. Tout ce qui est vrai au sujet de Dieu et de l’homme est accessible à la connaissance, car le Christ – la compréhension que Jésus avait de Dieu – est réel et présent, « à jamais présent et proche », et il est actif.
D’autres vers qui décrivent le Christ, extraits de ce poème et d’autres poèmes de Mary Baker Eddy, sont également venus à ma pensée : « Toi, doux rayon d’Amour vivant / Qui vaincs la mort » ; « Sur les flots en courroux, je vois / Le Christ marcher : / Calmant les eaux, sa tendre voix / Sait m’apaiser. » (Ecrits divers 1883-1896, p. 397) Ces lignes ont jailli en moi d’une façon telle que j’ai senti l’Entendement du Christ animer et éclairer mes prières, apportant l’espoir, et un réel sentiment de « paix sur la terre parmi les hommes qu’il agrée ! » (Luc 2:14) J’ai ressenti une joie très paisible et complète, et j’ai reconnu que cette conscience du « cher Christ » ne pouvait pas être assombrie par le doute, la peur, ou la frustration de se sentir pris au piège. La prière a ouvert ma pensée aux bénédictions conférées par Dieu, qui sont présentes et actives pour tous.
Je me suis souvenue des récits des Evangiles concernant la façon dont les gens reconnaissaient en Jésus le Messie, ou le Christ – Pierre, Nicodème, la femme samaritaine qui se trouvait au bord du puit, et Marie-Madeleine. Ces individus ont reconnu que le pourvoir de guérison et de transformation des œuvres de Jésus venait de Dieu. Et Jésus a promis à ses disciples (d’hier et d’aujourd’hui) qu’ils feraient les mêmes œuvres que lui. Me rappeler tout ceci m’a aidée à réaliser la puissance et l’activité présentes du Christ. Tout ce que j’avais ressenti au sujet de la pandémie – léthargie, impatience, et même doute et peur – s’est dissout. La lumière du Christ a dissipé la frustration et m’a donné la conviction que, comme Jésus l’a prouvé et comme la Science Chrétienne l’enseigne, la maladie n’est pas un envahisseur, réel et inconnu, qui nous guette à chaque tournant. C’est une croyance hypnotique de l’entendement humain, et non une réalité légitime créée par Dieu. Ainsi, tout sens de pesanteur a disparu, et je me suis éveillée à une énergie et à un équilibre nouveaux, à une attention renouvelée pour mon prochain (et de la part de mon prochain), ainsi qu’à la certitude que la santé est présente, parce que Dieu, le bien, gouverne, et parce que l’activité du Christ ne peut être interrompue.
Jésus était certain que son identité en tant que Fils de Dieu était inséparable de Dieu. Il a dit : « Moi et le Père, nous sommes un » (Jean 10:30), et en tant que Fils de Dieu : « Je suis le chemin, la vérité, et la vie » (Jean 14:6). Le Christ était son identité spirituelle, et le Christ est toujours avec nous. Dans le livre d’étude de la Science Chrétienne, Science et Santé avec la Clef des Ecritures, Mary Baker Eddy écrit : « A travers toutes les générations, tant avant qu’après l’ère chrétienne, le Christ, l’idée spirituelle – le reflet de Dieu – est venu avec quelque mesure de puissance et de grâce à tous ceux qui étaient prêts à recevoir le Christ, la Vérité. » (p. 333)
Nous pouvons nous demander chaque jour : Suis-je prêt à recevoir le Christ, la Vérité ? Est-ce que je veille, comme les bergers sur les montagnes au-dessus de Bethléem ? Est-ce que j’attends, comme Anne et Siméon, qui ont reconnu dans le temple l’enfant Jésus réalisant la prophétie ? Est-ce que je chemine comme les Sages, suivant la lumière de la Vérité ? Est-ce que je viens, comme la multitude, ou comme l’unique lépreux, pour reconnaître la présence du Christ ? Est-ce que je suis prêt à recevoir davantage de la Science de guérison du Christ que Mary Baker Eddy a découverte et enseignée, afin que moi aussi je puisse suivre l’exemple de Jésus en guérissant les malades et les pécheurs, et en voyant que la Vie vainc la mort ?
Etre prêt à recevoir le Christ a beaucoup à voir avec le fait d’être prêt à recevoir la guérison. J’adore l’histoire du percepteur corrompu de Jéricho, Zachée, et la façon dont, comme un enfant, il a grimpé sur un sycomore pour voir passer Jésus. Jésus a levé la tête et l’a appelé : « Zachée, hâte-toi de descendre ; car il faut que je demeure aujourd’hui dans ta maison. » (Luc 19:5) Zachée est descendu et il a reçu Jésus avec joie. Sa préparation pour recevoir le Christ n’a pas commencé par la préparation d’un grand repas. Son empressement était sincère lorsqu’il se tenait humblement devant Jésus, lui disant qu’il donnait la moitié de ses biens aux pauvres, et qu’il rendait le quadruple à ceux auxquels il avait fait du tort. Jésus a manifestement été content d’entendre cela, et il a dit : « Le salut est entré aujourd’hui dans cette maison ». (Luc 19:9)
Qu’est-ce qui pourrait nous empêcher de connaître ou de recevoir le Christ ? Cette question se présente sous de nombreuses autres formes : « Pourquoi y a-t-il tant de problèmes dans le monde ? » Ou, comme pour ma frustration, l’été dernier : « Quand cette pandémie prendra-t-elle donc fin ? » Ou la question insidieuse : « Pourquoi ne suis-je pas guéri, ou pourquoi la guérison ne se produit-elle pas plus vite ? » Ces questions sont pétries de doute et de crainte. Elles laissent le sens matériel ou personnel nous tromper en disant qu’il y a trop à apprendre ou que nous n’en savons pas assez pour pratiquer la guérison chrétienne. Mais nous apprenons grâce à notre Pasteur (la Bible et Science et Santé), grâce aux témoignages et à l’expérience que nous faisons de la guérison, qu’aucune histoire ni aucune circonstance ne peuvent faire obstacle à la puissance et à la lumière du Christ. Jean nous assure que : « Nous savons aussi que le Fils de Dieu est venu, et qu’il nous a donné l’intelligence pour connaître le Véritable ; et nous sommes dans le Véritable, en son Fils Jésus-Christ. C’est lui qui est le Dieu véritable, et la vie éternelle. » (I Jean 5:20) Le Christ éveille la conscience humaine pour qu’elle se détourne des affirmations hypnotiques d’erreur et de maladie. Il permet à chacun de nous de s’éveiller à la présence réelle de la Vérité qui guérit. Le cantique qui commence « Chasse, ô rêveur, tes songes de souffrance » nous promet : « Le Christ est là ! [...] C’est le salut promis à notre attente ; ». (Rosa M. Turner, Hymnaire de la Science Chrétienne, No 202, trad. © CSBD)
Cette idée m’a été très utile il y a plusieurs années. J’avais travaillé et prié dans mon bureau avec cette idée que le Christ brise les rêves de l’erreur. Cela m’a aidée à reconnaître l’activité du Christ qui guérit. En quittant le bureau et en me dépêchant pour attraper un train, j’ai trébuché sur le trottoir, qui était accidenté, et je suis lourdement tombée sur le genou. Un jeune couple s’est arrêté pour m’aider et m’a proposé d’appeler les secours. Mais cette idée que le Christ brise le rêve de l’erreur était si claire pour moi qu’à ce moment-là j’ai pu dire avec honnêteté : « Merci beaucoup, mais je vais bien. » Je me suis rendue à la gare ; je me sentais totalement libre. Je me suis réjouie d’avoir pu sentir réellement que le rêve d’une chute ou d’une blessure avait été brisé, et que le Christ était présent avec moi sur le trottoir et dans le train. Lorsque je suis rentrée à la maison et que j’ai changé de vêtements, mon pantalon était sale à cause du trottoir, et les collants que je portais en dessous, en cette froide journée d’hiver, étaient déchirés au niveau du genou. Mais il n’y avait aucune marque sur le genou. Je me suis réjouie de ressentir la présence et la puissance du Christ.
Quel cadeau que de ressentir la présence et la puissance du Christ. C’est un cadeau que nous devons chérir à Noël et en tout temps – un cadeau éternel qui bénit toute l’humanité, quelles que soient les circonstances historiques ou matérielles. Nous pouvons nous réjouir à l’époque de Noël, et à toutes les époques, que le « doux rayon d’Amour vivant » soit toujours présent, maintenant. Il n’y a aucune situation, qu’il s’agisse d’un accident, d’un conflit, du péché, de la peur ou de la maladie, que Christ Jésus n’ait pas affrontée avec la conviction inébranlable que Dieu, le bien, est suprême. Il a guéri les foules, apaisé la tempête, et ressuscité les morts. Il a prouvé que le Christ, la véritable idée de Dieu, vainc le mal et la maladie, éveillant le monde entier à la vérité de l’être. Cette vérité qu’il a démontrée est toujours disponible. Nous pouvons donc nous attendre à ce que, grâce à la prière qui reconnaît la suprématie de Dieu, le mal et la maladie soient arrêtés, et que la paix règne sur la terre.
« Christ bien-aimé, Christ éternel » est une promesse faite à chacun de nous : l’accomplissement de la venue éternelle de la vraie idée de Dieu.
Ce jour-là, quelque chose de différent est venu à moi. C’était un vers du poème « Aube de Noël », écrit par Mary Baker Eddy et transposé en cantique : « Cher Christ, à jamais présent et proche » (Poems, [Poèmes], p. 29). » Ce verset m’a fait sourire, intérieurement et extérieurement, et a ouvert la voie à une prière empreinte d’une plus grande conviction. Les mots sont venus à moi comme un cantique, chantant dans mon cœur, et m’apportant une joie qui n’est pas limitée uniquement à Noël. Tout ce qui est vrai au sujet de Dieu et de l’homme est accessible à la connaissance, car le Christ – la compréhension que Jésus avait de Dieu – est réel et présent, « à jamais présent et proche », et il est actif.
D’autres vers qui décrivent le Christ, extraits de ce poème et d’autres poèmes de Mary Baker Eddy, sont également venus à ma pensée : « Toi, doux rayon d’Amour vivant / Qui vaincs la mort » ; « Sur les flots en courroux, je vois / Le Christ marcher : / Calmant les eaux, sa tendre voix / Sait m’apaiser. » (Ecrits divers 1883-1896, p. 397) Ces lignes ont jailli en moi d’une façon telle que j’ai senti l’Entendement du Christ animer et éclairer mes prières, apportant l’espoir, et un réel sentiment de « paix sur la terre parmi les hommes qu’il agrée ! » (Luc 2:14) J’ai ressenti une joie très paisible et complète, et j’ai reconnu que cette conscience du « cher Christ » ne pouvait pas être assombrie par le doute, la peur, ou la frustration de se sentir pris au piège. La prière a ouvert ma pensée aux bénédictions conférées par Dieu, qui sont présentes et actives pour tous.
Je me suis souvenue des récits des Evangiles concernant la façon dont les gens reconnaissaient en Jésus le Messie, ou le Christ – Pierre, Nicodème, la femme samaritaine qui se trouvait au bord du puit, et Marie-Madeleine. Ces individus ont reconnu que le pourvoir de guérison et de transformation des œuvres de Jésus venait de Dieu. Et Jésus a promis à ses disciples (d’hier et d’aujourd’hui) qu’ils feraient les mêmes œuvres que lui. Me rappeler tout ceci m’a aidée à réaliser la puissance et l’activité présentes du Christ. Tout ce que j’avais ressenti au sujet de la pandémie – léthargie, impatience, et même doute et peur – s’est dissout. La lumière du Christ a dissipé la frustration et m’a donné la conviction que, comme Jésus l’a prouvé et comme la Science Chrétienne l’enseigne, la maladie n’est pas un envahisseur, réel et inconnu, qui nous guette à chaque tournant. C’est une croyance hypnotique de l’entendement humain, et non une réalité légitime créée par Dieu. Ainsi, tout sens de pesanteur a disparu, et je me suis éveillée à une énergie et à un équilibre nouveaux, à une attention renouvelée pour mon prochain (et de la part de mon prochain), ainsi qu’à la certitude que la santé est présente, parce que Dieu, le bien, gouverne, et parce que l’activité du Christ ne peut être interrompue.
Jésus était certain que son identité en tant que Fils de Dieu était inséparable de Dieu. Il a dit : « Moi et le Père, nous sommes un » (Jean 10:30), et en tant que Fils de Dieu : « Je suis le chemin, la vérité, et la vie » (Jean 14:6). Le Christ était son identité spirituelle, et le Christ est toujours avec nous. Dans le livre d’étude de la Science Chrétienne, Science et Santé avec la Clef des Ecritures, Mary Baker Eddy écrit : « A travers toutes les générations, tant avant qu’après l’ère chrétienne, le Christ, l’idée spirituelle – le reflet de Dieu – est venu avec quelque mesure de puissance et de grâce à tous ceux qui étaient prêts à recevoir le Christ, la Vérité. » (p. 333)
Nous pouvons nous demander chaque jour : Suis-je prêt à recevoir le Christ, la Vérité ? Est-ce que je veille, comme les bergers sur les montagnes au-dessus de Bethléem ? Est-ce que j’attends, comme Anne et Siméon, qui ont reconnu dans le temple l’enfant Jésus réalisant la prophétie ? Est-ce que je chemine comme les Sages, suivant la lumière de la Vérité ? Est-ce que je viens, comme la multitude, ou comme l’unique lépreux, pour reconnaître la présence du Christ ? Est-ce que je suis prêt à recevoir davantage de la Science de guérison du Christ que Mary Baker Eddy a découverte et enseignée, afin que moi aussi je puisse suivre l’exemple de Jésus en guérissant les malades et les pécheurs, et en voyant que la Vie vainc la mort ?
Etre prêt à recevoir le Christ a beaucoup à voir avec le fait d’être prêt à recevoir la guérison. J’adore l’histoire du percepteur corrompu de Jéricho, Zachée, et la façon dont, comme un enfant, il a grimpé sur un sycomore pour voir passer Jésus. Jésus a levé la tête et l’a appelé : « Zachée, hâte-toi de descendre ; car il faut que je demeure aujourd’hui dans ta maison. » (Luc 19:5) Zachée est descendu et il a reçu Jésus avec joie. Sa préparation pour recevoir le Christ n’a pas commencé par la préparation d’un grand repas. Son empressement était sincère lorsqu’il se tenait humblement devant Jésus, lui disant qu’il donnait la moitié de ses biens aux pauvres, et qu’il rendait le quadruple à ceux auxquels il avait fait du tort. Jésus a manifestement été content d’entendre cela, et il a dit : « Le salut est entré aujourd’hui dans cette maison ». (Luc 19:9)
Qu’est-ce qui pourrait nous empêcher de connaître ou de recevoir le Christ ? Cette question se présente sous de nombreuses autres formes : « Pourquoi y a-t-il tant de problèmes dans le monde ? » Ou, comme pour ma frustration, l’été dernier : « Quand cette pandémie prendra-t-elle donc fin ? » Ou la question insidieuse : « Pourquoi ne suis-je pas guéri, ou pourquoi la guérison ne se produit-elle pas plus vite ? » Ces questions sont pétries de doute et de crainte. Elles laissent le sens matériel ou personnel nous tromper en disant qu’il y a trop à apprendre ou que nous n’en savons pas assez pour pratiquer la guérison chrétienne. Mais nous apprenons grâce à notre Pasteur (la Bible et Science et Santé), grâce aux témoignages et à l’expérience que nous faisons de la guérison, qu’aucune histoire ni aucune circonstance ne peuvent faire obstacle à la puissance et à la lumière du Christ. Jean nous assure que : « Nous savons aussi que le Fils de Dieu est venu, et qu’il nous a donné l’intelligence pour connaître le Véritable ; et nous sommes dans le Véritable, en son Fils Jésus-Christ. C’est lui qui est le Dieu véritable, et la vie éternelle. » (I Jean 5:20) Le Christ éveille la conscience humaine pour qu’elle se détourne des affirmations hypnotiques d’erreur et de maladie. Il permet à chacun de nous de s’éveiller à la présence réelle de la Vérité qui guérit. Le cantique qui commence « Chasse, ô rêveur, tes songes de souffrance » nous promet : « Le Christ est là ! [...] C’est le salut promis à notre attente ; ». (Rosa M. Turner, Hymnaire de la Science Chrétienne, No 202, trad. © CSBD)
Cette idée m’a été très utile il y a plusieurs années. J’avais travaillé et prié dans mon bureau avec cette idée que le Christ brise les rêves de l’erreur. Cela m’a aidée à reconnaître l’activité du Christ qui guérit. En quittant le bureau et en me dépêchant pour attraper un train, j’ai trébuché sur le trottoir, qui était accidenté, et je suis lourdement tombée sur le genou. Un jeune couple s’est arrêté pour m’aider et m’a proposé d’appeler les secours. Mais cette idée que le Christ brise le rêve de l’erreur était si claire pour moi qu’à ce moment-là j’ai pu dire avec honnêteté : « Merci beaucoup, mais je vais bien. » Je me suis rendue à la gare ; je me sentais totalement libre. Je me suis réjouie d’avoir pu sentir réellement que le rêve d’une chute ou d’une blessure avait été brisé, et que le Christ était présent avec moi sur le trottoir et dans le train. Lorsque je suis rentrée à la maison et que j’ai changé de vêtements, mon pantalon était sale à cause du trottoir, et les collants que je portais en dessous, en cette froide journée d’hiver, étaient déchirés au niveau du genou. Mais il n’y avait aucune marque sur le genou. Je me suis réjouie de ressentir la présence et la puissance du Christ.
Quel cadeau que de ressentir la présence et la puissance du Christ. C’est un cadeau que nous devons chérir à Noël et en tout temps – un cadeau éternel qui bénit toute l’humanité, quelles que soient les circonstances historiques ou matérielles. Nous pouvons nous réjouir à l’époque de Noël, et à toutes les époques, que le « doux rayon d’Amour vivant » soit toujours présent, maintenant. Il n’y a aucune situation, qu’il s’agisse d’un accident, d’un conflit, du péché, de la peur ou de la maladie, que Christ Jésus n’ait pas affrontée avec la conviction inébranlable que Dieu, le bien, est suprême. Il a guéri les foules, apaisé la tempête, et ressuscité les morts. Il a prouvé que le Christ, la véritable idée de Dieu, vainc le mal et la maladie, éveillant le monde entier à la vérité de l’être. Cette vérité qu’il a démontrée est toujours disponible. Nous pouvons donc nous attendre à ce que, grâce à la prière qui reconnaît la suprématie de Dieu, le mal et la maladie soient arrêtés, et que la paix règne sur la terre.
« Christ bien-aimé, Christ éternel » est une promesse faite à chacun de nous : l’accomplissement de la venue éternelle de la vraie idée de Dieu.
Les faits relatifs aux guérisons mentionnés dans tous les témoignages et les articles ont été confirmés par écrit par des personnes qui ont été témoins de la guérison ou qui peuvent garantir l'intégrité de l'auteur.
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