Une affection respiratoire guérie
Eileen Hendrickson
Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de mars 2023
Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de mars 2023
Il y a plusieurs années, mon mari et moi étions en voyage lorsque je suis tombée malade, affectée par une sérieuse maladie respiratoire. J’ai prié, affirmant simplement ce que j’avais appris dans mon étude de la Science Chrétienne – que Dieu, le bien, est tout, et qu’il n’y a rien en dehors de Lui. Je savais que la maladie est une croyance qui peut être renversée grâce à la compréhension spirituelle de la toute-présence et de la toute-puissance de Dieu.
En priant, j’ai réalisé que j’avais regardé les audiences du Congrès sur la validation d’un haut fonctionnaire, au cours desquelles les témoignages étaient apparus offensants et destructeurs. L’atmosphère de ces audiences m’avait semblé être pénétrée de mauvaises intentions.
Cette prise de conscience a été mon signal d’alarme. J’ai immédiatement commencé à renverser cette image du sens matériel grâce à trois idées qui me sont venues pendant que je priais. La première était que Dieu est ma Vie et la Vie de tous ceux qui sont impliqués dans cette activité gouvernementale. La seconde était tirée du livre d’Ezéchiel, dans la Bible, où Dieu dit : « J’en ferai une ruine, une ruine, une ruine. Mais cela n’aura lieu qu’à la venue de celui à qui appartient le jugement et à qui je le remettrai. » (21:32) Et la troisième était tirée du livre d’étude de la Science Chrétienne, Science et Santé avec la Clef des Ecritures, de Mary Baker Eddy : « Il faut du courage pour proclamer la vérité ; car plus la Vérité élève la voix, plus l’erreur crie fort, jusqu’à ce que le son inarticulé de sa voix se perde à jamais dans l’oubli. » (p. 97)
Ces idées m’ont réconfortée et inspirée, ce qui m’a conduite à changer ma façon de penser afin que je puisse voir que toutes les personnes impliquées dans ce processus étaient innocentes et gouvernées par Dieu.
Les symptômes ont commencé à s’atténuer lorsque nous sommes rentrés à la maison, mais je n’étais toujours pas complètement bien. Je voulais vraiment en apprendre davantage sur Dieu, alors j’ai continué de prier. Puis je me suis rappelée avoir lu quelque chose que Mary Baker Eddy avait écrit à l’un de ses élèves. Lors de la sortie d’une nouvelle édition de Science et Santé, elle a conseillé à cet élève de lire le livre d’un bout à l’autre, lentement, en s’arrêtant pour appliquer ce qu’il lisait à ses besoins du moment (voir Nous avons connu Mary Baker Eddy, édition augmentée, tome I, p. 231).
J’avais déjà commencé à lire le livre d’étude d’un bout à l’autre. Ainsi, le lendemain matin, j’ai mis en sommeil mon activité professionnelle et je n’ai répondu à aucun message téléphonique ou électronique. J’ai continué de lire et d’appliquer les idées du livre d’étude à moi-même et au monde. Il était environ trois heures de l’après-midi quand j’ai réalisé que j’étais complètement libérée de la maladie. Quelle joie ! Pas seulement à cause de la guérison, mais à cause de tout ce que j’avais appris au cours de ce cheminement spirituel.
Dans le sermon de Mary Baker Eddy, La guérison chrétienne, on peut lire : « La seule réponse juste à la question : “Quel est l’auteur du mal ?” est l’énoncé scientifique que le mal est irréel, que Dieu fit tout ce qui fut fait, mais qu’Il ne fit jamais le péché ou la maladie, que ce soit une erreur de l’entendement ou du corps. » (p. 9) Cette prémisse théologique s’est révélée vraie pour moi.
Je suis tellement reconnaissante pour la Science Chrétienne, la révélation finale promise par Christ Jésus, qui a donné au monde la véritable compréhension de Dieu. Je suis également reconnaissante pour tous les moyens que L’Eglise Mère nous offre pour continuer de croître spirituellement.
En priant, j’ai réalisé que j’avais regardé les audiences du Congrès sur la validation d’un haut fonctionnaire, au cours desquelles les témoignages étaient apparus offensants et destructeurs. L’atmosphère de ces audiences m’avait semblé être pénétrée de mauvaises intentions.
Cette prise de conscience a été mon signal d’alarme. J’ai immédiatement commencé à renverser cette image du sens matériel grâce à trois idées qui me sont venues pendant que je priais. La première était que Dieu est ma Vie et la Vie de tous ceux qui sont impliqués dans cette activité gouvernementale. La seconde était tirée du livre d’Ezéchiel, dans la Bible, où Dieu dit : « J’en ferai une ruine, une ruine, une ruine. Mais cela n’aura lieu qu’à la venue de celui à qui appartient le jugement et à qui je le remettrai. » (21:32) Et la troisième était tirée du livre d’étude de la Science Chrétienne, Science et Santé avec la Clef des Ecritures, de Mary Baker Eddy : « Il faut du courage pour proclamer la vérité ; car plus la Vérité élève la voix, plus l’erreur crie fort, jusqu’à ce que le son inarticulé de sa voix se perde à jamais dans l’oubli. » (p. 97)
Ces idées m’ont réconfortée et inspirée, ce qui m’a conduite à changer ma façon de penser afin que je puisse voir que toutes les personnes impliquées dans ce processus étaient innocentes et gouvernées par Dieu.
Les symptômes ont commencé à s’atténuer lorsque nous sommes rentrés à la maison, mais je n’étais toujours pas complètement bien. Je voulais vraiment en apprendre davantage sur Dieu, alors j’ai continué de prier. Puis je me suis rappelée avoir lu quelque chose que Mary Baker Eddy avait écrit à l’un de ses élèves. Lors de la sortie d’une nouvelle édition de Science et Santé, elle a conseillé à cet élève de lire le livre d’un bout à l’autre, lentement, en s’arrêtant pour appliquer ce qu’il lisait à ses besoins du moment (voir Nous avons connu Mary Baker Eddy, édition augmentée, tome I, p. 231).
J’avais déjà commencé à lire le livre d’étude d’un bout à l’autre. Ainsi, le lendemain matin, j’ai mis en sommeil mon activité professionnelle et je n’ai répondu à aucun message téléphonique ou électronique. J’ai continué de lire et d’appliquer les idées du livre d’étude à moi-même et au monde. Il était environ trois heures de l’après-midi quand j’ai réalisé que j’étais complètement libérée de la maladie. Quelle joie ! Pas seulement à cause de la guérison, mais à cause de tout ce que j’avais appris au cours de ce cheminement spirituel.
Dans le sermon de Mary Baker Eddy, La guérison chrétienne, on peut lire : « La seule réponse juste à la question : “Quel est l’auteur du mal ?” est l’énoncé scientifique que le mal est irréel, que Dieu fit tout ce qui fut fait, mais qu’Il ne fit jamais le péché ou la maladie, que ce soit une erreur de l’entendement ou du corps. » (p. 9) Cette prémisse théologique s’est révélée vraie pour moi.
Je suis tellement reconnaissante pour la Science Chrétienne, la révélation finale promise par Christ Jésus, qui a donné au monde la véritable compréhension de Dieu. Je suis également reconnaissante pour tous les moyens que L’Eglise Mère nous offre pour continuer de croître spirituellement.
Les faits relatifs aux guérisons mentionnés dans tous les témoignages et les articles ont été confirmés par écrit par des personnes qui ont été témoins de la guérison ou qui peuvent garantir l'intégrité de l'auteur.
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