Prier pour la sécurité d’un proche
Mimi Oka
Tiré du Héraut de la Science Chrétienne février 2024
Tiré du Héraut de la Science Chrétienne février 2024
Je suis très reconnaissante de recevoir les magazines publiés par L’Eglise Mère qui répondent toujours à nos besoins particuliers. C’est pour moi la preuve que l’amour de Dieu se manifeste de manière compréhensible pour chacun d’entre nous.
Un vendredi matin, j’ai appris qu’un membre de ma famille élargie avait disparu alors qu’il effectuait des recherches dans un pays où se déroulent des conflits par procuration. La violence y règne et la situation évolue rapidement. Extrêmement inquiète, la famille a recherché de l’aide auprès d’un grand nombre de personnes.
Je me suis alors appuyée sur la Leçon biblique de la Science Chrétienne de cette semaine-là, qui avait pour sujet : « L’homme ». J’ai prié avec le Texte d’or, un verset de la Genèse établissant l’identité de l’homme en tant que création de Dieu : « Dieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance. » (Genèse 1:26) J’ai prié pour comprendre que cette vérité s’applique partout, y compris à tous les habitants de ce pays. Si ce membre de la famille avait été kidnappé (ce que l’on craignait), cela ne changerait rien au fait spirituel qu’il était créé à l’image et à la ressemblance de Dieu, tout comme ses ravisseurs, et que chaque personne impliquée ressentait et reconnaissait l’amour de Dieu envers chacun de Ses enfants.
Ce passage du livre d’étude de la Science Chrétienne de Mary Baker Eddy figurait également dans la leçon de la semaine : « Le Christ est la vraie idée énonçant le bien, le message divin de Dieu aux hommes parlant à la conscience humaine. » (Science et Santé avec la Clef des Ecritures, p. 332) Cela m’a rassurée de savoir que le Christ est le messager divin et qu’il communiquait avec toutes les personnes touchées par cette situation.
Personne ne savait où se trouvait ce membre de la famille, comment le retrouver et s'il était en sécurité, ce qui était source d’angoisse. Mais le Christ était avec lui, lui parlait, et il ne pouvait être séparé de cette vérité, de cette communication divine. J’ai prié de manière spécifique face à la crainte des parents pour leur enfant. J’ai lu dans la Lecture alternée de la leçon : « Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face. » (Deutéronome 5:7) Il s’agit du premier des Dix Commandements. Comme la peur est une négation de l’omniprésence et de l’omnipotence de Dieu, elle enfreint ce commandement.
La Leçon biblique expliquait clairement que l’homme, la véritable nature de chacun, existe en tant que reflet de Dieu et qu’il est donc incapable d’agir – ou d'être – autrement que la ressemblance de Dieu. Nous trouvons tous la sécurité, la paix, la santé et l’amour dans ce fait spirituel.
J’étais également reconnaissante du « Daily lift » de la Science Chrétienne de ce matin-là. Le podcast traitait de l’actualité concernant la violence entre groupes religieux. La personne qui s’exprimait a prié pour comprendre qu’il n’existe pas d’endroits particulièrement exposés à la guerre, mais que nous faisons tous partie de la famille de Dieu. Elle a conclu qu’il ne faut pas se résigner face aux nouvelles alarmantes, quelles qu’elles soient, mais plutôt comprendre que tout est sous la « souveraineté de l’Amour divin qui maintient la paix ». C’était là un message tout à fait approprié à transmettre aux parents, qui ne connaissaient pas la Science Chrétienne.
Plus tard dans la journée, nous avons appris que leur fils avait été retrouvé. Il avait en effet été kidnappé. Mais il a été libéré peu de temps après, puis placé en lieu sûr, et deux jours plus tard il a pris l’avion pour rentrer chez lui, indemne.
Tout en étant très heureuse de cette nouvelle, je me débattais encore avec le concept du mal. Je savais que le mal était impuissant en présence de l’omnipotence de Dieu, qui est tout à fait bon, mais je n’étais pas sûre d’avoir vraiment compris ce que cela signifiait. J’avais le sentiment que le mal était présent dans le pays en question et que mon parent en avait fait l’expérience. Je me suis demandé comment traiter le mal plus en profondeur dans ma propre pensée afin de comprendre qu’il s’agit vraiment d’une fausse croyance.
La réponse m’est venue lors du service du dimanche à L’Eglise Mère, alors que je lisais la « Règle pour les mobiles et les actes » que l’on trouve dans le Manuel de l’Eglise. La dernière phrase est la suivante : « Les membres de cette Eglise doivent journellement veiller et prier pour être délivrés de tout mal, pour ne pas prophétiser, juger, condamner, conseiller, influencer ou être influencés d’une manière erronée. » (p. 40)
Ainsi que j’en ai pris conscience, pour être « délivrée de tout mal », je devais continuellement surveiller mes pensées. Je ne pouvais pas me demander si cette expérience aurait des conséquences négatives au sein de la famille, car cela revenait à prophétiser de manière erronée. Je ne pouvais pas juger cette personne pour s’être apparemment mise en danger, car cela revenait à porter un jugement erroné. Je ne pouvais pas non plus condamner un pays parce qu’il abritait un fondamentalisme religieux, car cela revenait à être influencée. J’ai mieux compris que c’est ainsi que l’on peut réaliser que « dans la Science, l’Amour divin seul gouverne l’homme », comme on le lit dans cette même règle.
Je m’applique toujours à mieux comprendre ce que signifie « être délivrée de tout mal », mais je suis très reconnaissante des outils pratiques que la Science Chrétienne nous fournit pour voir que l’homme est véritablement l’image et la ressemblance de Dieu, et qu’il est Son enfant bien-aimé.
Un vendredi matin, j’ai appris qu’un membre de ma famille élargie avait disparu alors qu’il effectuait des recherches dans un pays où se déroulent des conflits par procuration. La violence y règne et la situation évolue rapidement. Extrêmement inquiète, la famille a recherché de l’aide auprès d’un grand nombre de personnes.
Je me suis alors appuyée sur la Leçon biblique de la Science Chrétienne de cette semaine-là, qui avait pour sujet : « L’homme ». J’ai prié avec le Texte d’or, un verset de la Genèse établissant l’identité de l’homme en tant que création de Dieu : « Dieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance. » (Genèse 1:26) J’ai prié pour comprendre que cette vérité s’applique partout, y compris à tous les habitants de ce pays. Si ce membre de la famille avait été kidnappé (ce que l’on craignait), cela ne changerait rien au fait spirituel qu’il était créé à l’image et à la ressemblance de Dieu, tout comme ses ravisseurs, et que chaque personne impliquée ressentait et reconnaissait l’amour de Dieu envers chacun de Ses enfants.
Ce passage du livre d’étude de la Science Chrétienne de Mary Baker Eddy figurait également dans la leçon de la semaine : « Le Christ est la vraie idée énonçant le bien, le message divin de Dieu aux hommes parlant à la conscience humaine. » (Science et Santé avec la Clef des Ecritures, p. 332) Cela m’a rassurée de savoir que le Christ est le messager divin et qu’il communiquait avec toutes les personnes touchées par cette situation.
Personne ne savait où se trouvait ce membre de la famille, comment le retrouver et s'il était en sécurité, ce qui était source d’angoisse. Mais le Christ était avec lui, lui parlait, et il ne pouvait être séparé de cette vérité, de cette communication divine. J’ai prié de manière spécifique face à la crainte des parents pour leur enfant. J’ai lu dans la Lecture alternée de la leçon : « Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face. » (Deutéronome 5:7) Il s’agit du premier des Dix Commandements. Comme la peur est une négation de l’omniprésence et de l’omnipotence de Dieu, elle enfreint ce commandement.
La Leçon biblique expliquait clairement que l’homme, la véritable nature de chacun, existe en tant que reflet de Dieu et qu’il est donc incapable d’agir – ou d'être – autrement que la ressemblance de Dieu. Nous trouvons tous la sécurité, la paix, la santé et l’amour dans ce fait spirituel.
J’étais également reconnaissante du « Daily lift » de la Science Chrétienne de ce matin-là. Le podcast traitait de l’actualité concernant la violence entre groupes religieux. La personne qui s’exprimait a prié pour comprendre qu’il n’existe pas d’endroits particulièrement exposés à la guerre, mais que nous faisons tous partie de la famille de Dieu. Elle a conclu qu’il ne faut pas se résigner face aux nouvelles alarmantes, quelles qu’elles soient, mais plutôt comprendre que tout est sous la « souveraineté de l’Amour divin qui maintient la paix ». C’était là un message tout à fait approprié à transmettre aux parents, qui ne connaissaient pas la Science Chrétienne.
Plus tard dans la journée, nous avons appris que leur fils avait été retrouvé. Il avait en effet été kidnappé. Mais il a été libéré peu de temps après, puis placé en lieu sûr, et deux jours plus tard il a pris l’avion pour rentrer chez lui, indemne.
Tout en étant très heureuse de cette nouvelle, je me débattais encore avec le concept du mal. Je savais que le mal était impuissant en présence de l’omnipotence de Dieu, qui est tout à fait bon, mais je n’étais pas sûre d’avoir vraiment compris ce que cela signifiait. J’avais le sentiment que le mal était présent dans le pays en question et que mon parent en avait fait l’expérience. Je me suis demandé comment traiter le mal plus en profondeur dans ma propre pensée afin de comprendre qu’il s’agit vraiment d’une fausse croyance.
La réponse m’est venue lors du service du dimanche à L’Eglise Mère, alors que je lisais la « Règle pour les mobiles et les actes » que l’on trouve dans le Manuel de l’Eglise. La dernière phrase est la suivante : « Les membres de cette Eglise doivent journellement veiller et prier pour être délivrés de tout mal, pour ne pas prophétiser, juger, condamner, conseiller, influencer ou être influencés d’une manière erronée. » (p. 40)
Ainsi que j’en ai pris conscience, pour être « délivrée de tout mal », je devais continuellement surveiller mes pensées. Je ne pouvais pas me demander si cette expérience aurait des conséquences négatives au sein de la famille, car cela revenait à prophétiser de manière erronée. Je ne pouvais pas juger cette personne pour s’être apparemment mise en danger, car cela revenait à porter un jugement erroné. Je ne pouvais pas non plus condamner un pays parce qu’il abritait un fondamentalisme religieux, car cela revenait à être influencée. J’ai mieux compris que c’est ainsi que l’on peut réaliser que « dans la Science, l’Amour divin seul gouverne l’homme », comme on le lit dans cette même règle.
Je m’applique toujours à mieux comprendre ce que signifie « être délivrée de tout mal », mais je suis très reconnaissante des outils pratiques que la Science Chrétienne nous fournit pour voir que l’homme est véritablement l’image et la ressemblance de Dieu, et qu’il est Son enfant bien-aimé.
Les faits relatifs aux guérisons mentionnés dans tous les témoignages et les articles ont été confirmés par écrit par des personnes qui ont été témoins de la guérison ou qui peuvent garantir l'intégrité de l'auteur.
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