Vivre sous le gouvernement de Dieu
De Evan Mehlenbacher
Du Héraut de la Science Chrétienne février 2024
Du Héraut de la Science Chrétienne février 2024
« J’ai peur pour mon pays », se lamentait une voisine. Elle était en colère contre les élus. Elle était en colère contre les politiques publiques mises en œuvre. Elle voyait les divisions dans son pays, dans l’électorat, sans aucun espoir que des partis politiques opposés puissent un jour travailler ensemble. Elle était déprimée et découragée.
Je lui ai dit que je trouvais réconfortant de savoir qu’il existe un gouvernement supérieur, que l’œil ne peut voir, mais qui est à l’œuvre dans le monde. Comme le déclare la Bible : « Car l’Eternel est notre juge, l’Eternel est notre législateur, l’Eternel est notre roi : c’est lui qui nous sauve. » (Esaïe 33:22)
Les dirigeants humains vont et viennent. Les fonctionnaires sont remplacés. Les dynasties prennent fin. Mais le Principe divin, Dieu, règne et gouverne pour toujours. Si nous sommes préoccupés par les politiques publiques et les dirigeants des gouvernements temporels, nous pouvons faire appel à la loi suprême de ce Principe et avoir confiance dans son pouvoir de maintenir l’équité et la justice. Lorsqu’ils sont compris, le règne et la domination de Dieu peuvent nous sauver des insuffisances propres aux gouvernements humains.
Christ Jésus comprenait la prééminence du gouvernement de Dieu sur le gouvernement humain. Lorsque ses disciples ont appris qu’il était le Messie qui avait été annoncé, ils ont supposé qu’il les délivrerait du règne de l’Empire romain. De leur point de vue, les Romains étaient l’ennemi public numéro un. L’oppression et la tyrannie qu’ils subissaient sous la loi romaine étaient sévères. Mais Jésus voyait les choses différemment. Il ne considérait pas les Romains, ou tout dirigeant humain, ou tout fonctionnaire du gouvernement, comme la cause principale de la souffrance publique. L’ennemi public numéro un de Jésus était le péché. Il est venu nous sauver du péché.
Pécher, c’est penser et agir de façon mauvaise. C’est l’égoïsme, la cupidité, la soif de pouvoir et toute autre attitude ou perspective qui mène au chaos, au conflit et à la souffrance. Le péché est à l’origine de nombreuses souffrances humaines. Jésus a concentré ses efforts de réforme non pas sur le retrait des fonctionnaires publics, qui pourraient être rapidement remplacés par des personnes partageant les mêmes idées, mais sur l’élimination du péché, la cause profonde de la souffrance résultant d’une mauvaise gouvernance.
Lorsqu’ils sont compris, le règne et la domination de Dieu peuvent nous sauver des insuffisances propres aux gouvernements humains.
Jésus a vaincu le péché pour démontrer que l’homme avait la domination sur le péché, et il l’a fait en vivant le gouvernement de Dieu – le règne et la règle de la Vie, de la Vérité et de l’Amour. Il a honoré Dieu comme étant le pouvoir suprême, et il ne s’est incliné devant personne d’autre. Il a vaincu la haine par l’amour, l’égoïsme par la compassion, la maladie par la santé et la mort par la vie. Il ne craignait pas pour l’avenir, ne cédait pas au désespoir ou à la déception, et n’imaginait pas de scénarios sombres et déprimants. Parce qu’il comprenait le contrôle absolu que Dieu exerce, il a affronté sans crainte toutes les formes du mal et les a surmontées grâce à la puissance de la Vérité et de l’Amour divins. Il savait que le mal est un mensonge, sans vérité pour l’étayer (voir Jean 8:44). Il comprenait que Dieu est le dirigeant suprême ayant le dernier mot en toutes choses.
Si jamais nous sommes tentés de penser que les efforts destinés à faire progresser un gouvernement sont vains, nous pouvons nous tourner vers la vie de Jésus pour retrouver espoir. Jésus n’a pas cherché à occuper des postes politiques, et il n’a pas non plus tenté d’occuper une position qui ait une influence sur les affaires de l’humanité. Pourtant, son exemple a exercé une énorme influence pendant plus de deux mille ans sur la vie des personnes qui ont adopté ses enseignements chrétiens et qui les ont mis en pratique dans les secteurs politique, social, religieux et économique de la société.
Nous pouvons démontrer le gouvernement de Dieu à l’œuvre, et aider notre prochain à faire de même.
Les exhortations de Jésus à aimer son prochain comme soi-même et ses explications sur la manière d’y parvenir ont guidé la prise de décision d’innombrables personnes dans tous les aspects de leur vie quotidienne. Lorsque nous suivons l’exemple de Jésus, qui consiste à honorer un seul Dieu et à vivre de manière désintéressée, nous pouvons être sûrs que, quelle que soit notre position dans le monde, la moralité et la spiritualité que nous démontrons se répercuteront de manière positive sur le gouvernement, qu’il soit local, national ou même mondial. Lorsque le gouvernement de Dieu est vécu par une personne, cela aide les autres à expérimenter la même chose.
Oui, des milliards de personnes souffrent à cause de gouvernements répressifs, qui paraissent souvent redoutables. Mais l’humanité n'est pas impuissante. Le mal caché derrière l’autoritarisme et la tyrannie est voué à l’échec. Au fur et à mesure que le gouvernement de Dieu est compris et démontré par des personnes qui y sont attachées, la haine, la cupidité et l’égoïsme qui perpétuent les mauvais dirigeants se dissolvent et les dirigeants se réforment, ou bien de nouveaux dirigeants avec des idéaux meilleurs prennent leur place. La justice prévaut.
Jésus n’avait pas peur des dirigeants humains parce qu’il comprenait que Dieu régnait au-dessus de toute autorité humaine. Au gouverneur romain, Pilate, qui le menaçait ainsi : « Ne sais-tu pas que j’ai le pouvoir de te crucifier, et que j’ai le pouvoir de te relâcher ? », Jésus a répondu : « Tu n’aurais sur moi aucun pouvoir, s’il ne t’avait été donné d’en haut. » (Jean 19:10, 11) On peut croire que Pilate avait le dessus lorsqu’il a livré Jésus aux autorités, qui l’ont rapidement crucifié, mais Jésus savait que le Dieu unique était tout-puissant. Il ne craignait pas Pilate. Il est sorti vivant du tombeau trois jours plus tard, prouvant l’inanité de la menace de Pilate. Comprendre la suprématie du gouvernement de Dieu a permis à Jésus de transcender les menaces émanant du gouvernement humain. Il a prouvé que les mauvaises décisions de tels dirigeants ne pouvaient pas empêcher le règne supérieur du gouvernement de Dieu d’agir dans sa vie. Le gouvernement de Dieu a eu le dernier mot.
Nous pouvons suivre l’exemple de Jésus aujourd’hui. Plutôt que de nous plaindre, de désespérer ou de craindre les actions des responsables politiques, nous pouvons améliorer le monde dans lequel nous vivons en surmontant la tentation pécheresse de croire en une puissance en dehors de Dieu. Nous pouvons vivre le gouvernement de Dieu, de la Vie, de la Vérité et de l’Amour. Nous pouvons surveiller notre façon de penser et nous assurer que nous ne sommes pas manipulés par le péché dans notre façon d’évaluer les fonctionnaires et les chefs de gouvernement. Nous pourrions nous demander : « Est-ce que je fais preuve dans ma propre vie de l’équité, de l’intégrité et du respect que j’espère voir au sein du gouvernement ? Est-ce que je démontre l’amour inclusif qui établit des passerelles, trouve des terrains d’entente et construit des relations saines avec mon prochain ? »
Le Sermon sur la montagne, et notamment la Règle d’or, ainsi que les Dix Commandements, donnent de solides indications concernant la manière de vivre conformément au gouvernement de Dieu. Le sermon de Jésus enseigne les qualités qui surmontent l’orgueil, l’ego, l’égoïsme et la haine. Les Commandements nous rappellent d’honorer un seul Dieu et de mener une vie honnête, reconnaissante et saine qui nous protège du péché. Les idéaux moraux et spirituels de ces instructions détruisent le péché et font ressortir l'harmonie, l’ordre et la paix de Dieu qui est déjà à l’œuvre. Ils sont le gouvernement de Dieu en action.
Mary Baker Eddy écrit : « Le scientiste chrétien s’est engagé à faire diminuer le mal, la maladie et la mort ; et il en triomphera en comprenant leur néant et la totalité de Dieu, le bien. » (Science et Santé avec la Clef des Ecritures, p. 450) Chaque fois que nous surmontons le péché grâce à une compréhension de la totalité et de la bonté de Dieu, nous aidons notre communauté à faire de même. Nous aidons chaque personne à expérimenter davantage le gouvernement de Dieu, et moins la prétention au pouvoir du mal.
Plutôt que de rester sur la touche et de pointer du doigt les fonctionnaires et les membres du gouvernement, nous pouvons contribuer à un bon gouvernement en vivant fidèlement à des normes morales et spirituelles élevées. Nous pouvons être le bon gouvernement auquel nous aspirons et que nous souhaitons en prière voir autour de nous. Nous pouvons démontrer le gouvernement de Dieu à l’œuvre, et aider notre prochain à faire de même.
Je lui ai dit que je trouvais réconfortant de savoir qu’il existe un gouvernement supérieur, que l’œil ne peut voir, mais qui est à l’œuvre dans le monde. Comme le déclare la Bible : « Car l’Eternel est notre juge, l’Eternel est notre législateur, l’Eternel est notre roi : c’est lui qui nous sauve. » (Esaïe 33:22)
Les dirigeants humains vont et viennent. Les fonctionnaires sont remplacés. Les dynasties prennent fin. Mais le Principe divin, Dieu, règne et gouverne pour toujours. Si nous sommes préoccupés par les politiques publiques et les dirigeants des gouvernements temporels, nous pouvons faire appel à la loi suprême de ce Principe et avoir confiance dans son pouvoir de maintenir l’équité et la justice. Lorsqu’ils sont compris, le règne et la domination de Dieu peuvent nous sauver des insuffisances propres aux gouvernements humains.
Christ Jésus comprenait la prééminence du gouvernement de Dieu sur le gouvernement humain. Lorsque ses disciples ont appris qu’il était le Messie qui avait été annoncé, ils ont supposé qu’il les délivrerait du règne de l’Empire romain. De leur point de vue, les Romains étaient l’ennemi public numéro un. L’oppression et la tyrannie qu’ils subissaient sous la loi romaine étaient sévères. Mais Jésus voyait les choses différemment. Il ne considérait pas les Romains, ou tout dirigeant humain, ou tout fonctionnaire du gouvernement, comme la cause principale de la souffrance publique. L’ennemi public numéro un de Jésus était le péché. Il est venu nous sauver du péché.
Pécher, c’est penser et agir de façon mauvaise. C’est l’égoïsme, la cupidité, la soif de pouvoir et toute autre attitude ou perspective qui mène au chaos, au conflit et à la souffrance. Le péché est à l’origine de nombreuses souffrances humaines. Jésus a concentré ses efforts de réforme non pas sur le retrait des fonctionnaires publics, qui pourraient être rapidement remplacés par des personnes partageant les mêmes idées, mais sur l’élimination du péché, la cause profonde de la souffrance résultant d’une mauvaise gouvernance.
Lorsqu’ils sont compris, le règne et la domination de Dieu peuvent nous sauver des insuffisances propres aux gouvernements humains.
Jésus a vaincu le péché pour démontrer que l’homme avait la domination sur le péché, et il l’a fait en vivant le gouvernement de Dieu – le règne et la règle de la Vie, de la Vérité et de l’Amour. Il a honoré Dieu comme étant le pouvoir suprême, et il ne s’est incliné devant personne d’autre. Il a vaincu la haine par l’amour, l’égoïsme par la compassion, la maladie par la santé et la mort par la vie. Il ne craignait pas pour l’avenir, ne cédait pas au désespoir ou à la déception, et n’imaginait pas de scénarios sombres et déprimants. Parce qu’il comprenait le contrôle absolu que Dieu exerce, il a affronté sans crainte toutes les formes du mal et les a surmontées grâce à la puissance de la Vérité et de l’Amour divins. Il savait que le mal est un mensonge, sans vérité pour l’étayer (voir Jean 8:44). Il comprenait que Dieu est le dirigeant suprême ayant le dernier mot en toutes choses.
Si jamais nous sommes tentés de penser que les efforts destinés à faire progresser un gouvernement sont vains, nous pouvons nous tourner vers la vie de Jésus pour retrouver espoir. Jésus n’a pas cherché à occuper des postes politiques, et il n’a pas non plus tenté d’occuper une position qui ait une influence sur les affaires de l’humanité. Pourtant, son exemple a exercé une énorme influence pendant plus de deux mille ans sur la vie des personnes qui ont adopté ses enseignements chrétiens et qui les ont mis en pratique dans les secteurs politique, social, religieux et économique de la société.
Nous pouvons démontrer le gouvernement de Dieu à l’œuvre, et aider notre prochain à faire de même.
Les exhortations de Jésus à aimer son prochain comme soi-même et ses explications sur la manière d’y parvenir ont guidé la prise de décision d’innombrables personnes dans tous les aspects de leur vie quotidienne. Lorsque nous suivons l’exemple de Jésus, qui consiste à honorer un seul Dieu et à vivre de manière désintéressée, nous pouvons être sûrs que, quelle que soit notre position dans le monde, la moralité et la spiritualité que nous démontrons se répercuteront de manière positive sur le gouvernement, qu’il soit local, national ou même mondial. Lorsque le gouvernement de Dieu est vécu par une personne, cela aide les autres à expérimenter la même chose.
Oui, des milliards de personnes souffrent à cause de gouvernements répressifs, qui paraissent souvent redoutables. Mais l’humanité n'est pas impuissante. Le mal caché derrière l’autoritarisme et la tyrannie est voué à l’échec. Au fur et à mesure que le gouvernement de Dieu est compris et démontré par des personnes qui y sont attachées, la haine, la cupidité et l’égoïsme qui perpétuent les mauvais dirigeants se dissolvent et les dirigeants se réforment, ou bien de nouveaux dirigeants avec des idéaux meilleurs prennent leur place. La justice prévaut.
Jésus n’avait pas peur des dirigeants humains parce qu’il comprenait que Dieu régnait au-dessus de toute autorité humaine. Au gouverneur romain, Pilate, qui le menaçait ainsi : « Ne sais-tu pas que j’ai le pouvoir de te crucifier, et que j’ai le pouvoir de te relâcher ? », Jésus a répondu : « Tu n’aurais sur moi aucun pouvoir, s’il ne t’avait été donné d’en haut. » (Jean 19:10, 11) On peut croire que Pilate avait le dessus lorsqu’il a livré Jésus aux autorités, qui l’ont rapidement crucifié, mais Jésus savait que le Dieu unique était tout-puissant. Il ne craignait pas Pilate. Il est sorti vivant du tombeau trois jours plus tard, prouvant l’inanité de la menace de Pilate. Comprendre la suprématie du gouvernement de Dieu a permis à Jésus de transcender les menaces émanant du gouvernement humain. Il a prouvé que les mauvaises décisions de tels dirigeants ne pouvaient pas empêcher le règne supérieur du gouvernement de Dieu d’agir dans sa vie. Le gouvernement de Dieu a eu le dernier mot.
Nous pouvons suivre l’exemple de Jésus aujourd’hui. Plutôt que de nous plaindre, de désespérer ou de craindre les actions des responsables politiques, nous pouvons améliorer le monde dans lequel nous vivons en surmontant la tentation pécheresse de croire en une puissance en dehors de Dieu. Nous pouvons vivre le gouvernement de Dieu, de la Vie, de la Vérité et de l’Amour. Nous pouvons surveiller notre façon de penser et nous assurer que nous ne sommes pas manipulés par le péché dans notre façon d’évaluer les fonctionnaires et les chefs de gouvernement. Nous pourrions nous demander : « Est-ce que je fais preuve dans ma propre vie de l’équité, de l’intégrité et du respect que j’espère voir au sein du gouvernement ? Est-ce que je démontre l’amour inclusif qui établit des passerelles, trouve des terrains d’entente et construit des relations saines avec mon prochain ? »
Le Sermon sur la montagne, et notamment la Règle d’or, ainsi que les Dix Commandements, donnent de solides indications concernant la manière de vivre conformément au gouvernement de Dieu. Le sermon de Jésus enseigne les qualités qui surmontent l’orgueil, l’ego, l’égoïsme et la haine. Les Commandements nous rappellent d’honorer un seul Dieu et de mener une vie honnête, reconnaissante et saine qui nous protège du péché. Les idéaux moraux et spirituels de ces instructions détruisent le péché et font ressortir l'harmonie, l’ordre et la paix de Dieu qui est déjà à l’œuvre. Ils sont le gouvernement de Dieu en action.
Mary Baker Eddy écrit : « Le scientiste chrétien s’est engagé à faire diminuer le mal, la maladie et la mort ; et il en triomphera en comprenant leur néant et la totalité de Dieu, le bien. » (Science et Santé avec la Clef des Ecritures, p. 450) Chaque fois que nous surmontons le péché grâce à une compréhension de la totalité et de la bonté de Dieu, nous aidons notre communauté à faire de même. Nous aidons chaque personne à expérimenter davantage le gouvernement de Dieu, et moins la prétention au pouvoir du mal.
Plutôt que de rester sur la touche et de pointer du doigt les fonctionnaires et les membres du gouvernement, nous pouvons contribuer à un bon gouvernement en vivant fidèlement à des normes morales et spirituelles élevées. Nous pouvons être le bon gouvernement auquel nous aspirons et que nous souhaitons en prière voir autour de nous. Nous pouvons démontrer le gouvernement de Dieu à l’œuvre, et aider notre prochain à faire de même.
Les faits relatifs aux guérisons mentionnés dans tous les témoignages et les articles ont été confirmés par écrit par des personnes qui ont été témoins de la guérison ou qui peuvent garantir l'intégrité de l'auteur.
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