Dieu ne voit que notre perfection
Elaina Simpson
Du Héraut de la Science Chrétienne novembre 2023
Du Héraut de la Science Chrétienne novembre 2023
On admet généralement qu’il existe une connexion entre ce qu’une personne pense et son état de santé. Toute personne ayant déjà été guérie par la Science Chrétienne a certainement compris que c’est effectivement le cas. Mais on peut se demander alors, puisque la pensée et la santé sont liées, si l’on est responsable en cas de problème physique ou mental.
Lorsque les disciples de Christ Jésus rencontrèrent un aveugle de naissance, ils posèrent la même question (voir Jean 9:1-7). Ils voulaient savoir si cet homme, ou ses parents, avaient péché pour qu’il devienne aveugle. Jésus répondit : « Ce n’est pas que lui ou ses parents aient péché ; mais c’est afin que les œuvres de Dieu soient manifestées en lui. » Puis il le guérit de sa cécité. La vision du Christ révèle l’homme (la véritable identité spirituelle de chacun d’entre nous) comme étant pur et innocent. Et comprendre notre perfection spirituelle apporte la guérison.
La Bible révèle que Dieu est Amour, et la Science Chrétienne est la Science de l’Amour, Dieu. Il est donc impératif que l’Amour se reflète dans l’amour dans la manière dont nous nous voyons nous-mêmes, ainsi que les autres. Comme les disciples l’apprirent, il convient de ne pas rechercher un coupable, ce qui n’est pas une attitude naturelle étant donné ce que nous sommes vraiment. Nous pouvons nous voir nous-mêmes et voir les autres comme le faisait Christ Jésus, car nous sommes le reflet de Dieu, qui ne voit en nous aucune faute. Etre conscient de l’Amour prépare notre pensée à voir la guérison se manifester.
Mary Baker Eddy, qui a découvert la Science Chrétienne, écrit : « Un état mental de propre condamnation et de culpabilité ou une foi chancelante qui doute de la Vérité sont des conditions impropres à la guérison des malades. » (Science et Santé avec la Clef des Ecritures, p. 455)
Pour se guérir soi-même ou guérir les autres, il faut éliminer la peur et tous les états de pensée qui y sont associés, notamment la tendance à tout critiquer, ainsi que l’orgueil, l’accusation, le jugement et la condamnation. Christ Jésus guérissait en comprenant que Dieu est seulement Amour, ce qui ne laisse aucune place aux opposés de l’Amour, le péché, la maladie et la mort. Ils ne font pas partie de la véritable identité de l’homme, créé à l’image et à la ressemblance de Dieu.
La vision du Christ révèle l'homme comme étant pur et innocent.
Imaginons qu’après avoir jardiné, vous remarquiez des saletés sur vos vêtements. Vous ne concluriez pas qu’elles font désormais partie de votre identité ; vous vous en débarrasseriez tout simplement. De même, la maladie ne fait jamais partie de l’identité d’une personne. La Bible nous dit : « Secoue ta poussière. » (Esaïe 52:2) Débarrassons-nous de la fausse vision de l’homme comme étant fait « de la poussière de la terre » (Genèse 2:7), ou matière, et reconnaissons qu’il n’est soumis à aucune condition qui ne soit causée ou créée par Dieu.
Avant de guérir l’aveugle de sa cécité, Jésus cracha à terre, en fit de la boue, et il l’appliqua sur les yeux de l’homme avant de lui dire d’aller se laver. Peut-être Jésus lui demandait-il symboliquement de se laver d’une vision erronée de lui-même, basée sur la matière. Ainsi, le Christ nous invite à abandonner la vision erronée d’un homme mortel, composé de poussière, et à l’échanger contre le modèle spirituel, comme il est dit dans le premier chapitre de la Genèse, où tout ce que Dieu a créé était « très bon ».
Reconnaître notre perfection spirituelle n’est pas une excuse pour ne rien faire ou pour n’en faire qu’à notre tête, mais une incitation à voir plus clairement ce qui est vrai. Dans la parabole de Jésus sur l’ivraie (les mauvaises herbes) et le froment, il est question de savoir d’où viennent ces mauvaises herbes. « C’est un ennemi qui a fait cela » répond le fermier. (Matthieu 13:28) Jésus montre que le mal n’est ni une personne, ni un lieu ou une chose, mais simplement l’opposé supposé du bien ; il décrit le diable comme « un menteur, et le père du mensonge » (Jean 8:44).
Mais il ne suffit pas de déclarer que le mal n’a pas de pouvoir, car il est impératif de voir son impuissance à la lumière de l’omnipotence de Dieu. La guérison est plus facile lorsque nous refusons de donner vie au mal, de lui donner une place dans nos pensées. Nous comprenons alors qu’aucun mal ne peut s’attacher à l’enfant de Dieu, car Dieu est Tout.
Pour abandonner la tendance à tout critiquer, à blâmer, à chercher un coupable ou à juger humainement, commençons par fixer une limite mentale, celle de refuser de croire que l’erreur fait partie de l’enfant de Dieu. La Science Chrétienne révèle que le magnétisme animal (tout ce qui éloigne la pensée de Dieu, le bien) ou toute erreur (l’opposé supposé de Dieu, la Vérité) ne nous concerne pas personnellement, pas plus que les autres. Le Premier Commandement « Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face » (Exode 20:3) montre qu’il y a un seul Dieu, un seul Entendement, et non pas Dieu plus une autre personne pourvue d’un second entendement condamnable. Le fait de considérer l’homme comme étant contrôlé par un entendement mortel, ou un cerveau matériel séparé de l’Entendement divin, est une perception erronée.
Donc, si le mal n’est pas personnel, comment le vaincre ? Selon Science et Santé, nous devons d’abord manier la peur de la maladie, et « la maladie est toujours provoquée par un faux sens qui est nourri mentalement, non détruit » (p. 411). Si nous acceptons que la discordance fait vraiment partie de notre identité ou de celle de quiconque, au lieu de l’attribuer à un « faux sens », nous nous retrouvons face à un problème sans issue. Mais si, en toute humilité, nous acceptons d’être l’image et la ressemblance spirituelles de Dieu, et que nous voyons dans la discordance le résultat de la perception erronée que nous avons entretenue au sujet de notre identité, alors nous sommes libres de rejeter cette vision erronée de nous-mêmes ou des autres pour la remplacer par les faits spirituels véritables de l’existence : l’homme parfait, pur et incapable de pécher ou d’être malade.
Un jour, mon chien a récupéré la balle que je lui avais lancée et il est revenu vers moi la gueule ensanglantée. Il semblait s’être cogné contre un mur ou quelque chose de dur. Pendant que je priais, j’étais pleinement consciente de la tendre innocence de mon chien. Je me suis reproché d’être responsable de la blessure, car j’avais joué avec lui dans la maison plutôt qu’à l’extérieur. Mais, tout comme il aurait été impensable d’accuser mon chien de ce qui lui était arrivé, j’ai vu que ce même principe d’innocence s’appliquait également à moi. A l’instant, le sang s’est arrêté de couler, mon chien était guéri et il s’est remis à jouer.
Nous pouvons naturellement nous voir les uns les autres comme étant purs, comme nous voyons la pureté et l’innocence des créatures de l’Amour. La seule chose qui mérite d’être critiquée est l’imperfection, qui est une croyance, et non la création ou la vérité de Dieu. Lorsque nous sommes confrontés à un problème, il est parfois difficile de changer de point de vue. Mais c’est l’occasion d’affirmer que le témoignage des sens matériels ne correspond pas à ce que l’homme est en réalité.
Mary Baker Eddy soulève une question importante : « L’homme malade est-il plus pécheur que les autres hommes ? » (Science et Santé, p. 318) Aux yeux de Dieu, nous sommes toujours parfaits. Cependant, si un péché n’est pas détecté ou s’il demeure mentalement justifié, il est vital de le discerner et de le reconnaître. Sinon, nous encourageons ce péché à subsister dans la pensée. « En général admettre que vous êtes malade rend votre cas plus difficile à guérir, tandis que reconnaître votre péché aide à le détruire. » (Science et Santé,p. 461)
Si nous sommes malades, devons-nous interrompre notre travail pour guérir les autres ? On a posé un jour la même question à Mary Baker Eddy, et elle a répondu en faisant remarquer que Paul avait guéri des personnes malgré une « écharde dans la chair » (II Corinthiens 12:7) : « Il est incontestablement juste de faire ce qui est bien, et guérir les malades est assurément très bien. » (Ecrits divers 1883-1896, p. 71) Il est important pour ceux qui pratiquent la guérison de voir que Dieu seul guérit. Alors, ils ne critiqueront pas leur compréhension spirituelle, leur capacité à guérir ou leur réceptivité au traitement de la Science Chrétienne, ni celle des autres.
Alors que je souffrais d’une maladie contagieuse, des personnes m’ont demandé de les aider par la prière pour guérir la même maladie. Dans un premier temps, je me suis sentie impuissante à y faire face, mais la prière m’a fait voir que je reflétais la pureté de Dieu, et j’ai accepté de les aider. Grâce à la toute-puissance et à la toute-présence de l’Amour divin révélées clairement par la prière, ces personnes ont été rapidement guéries, comme moi-même peu de temps après.
Notre perception de la vision du Christ, c’est-à-dire de ce que Jésus comprenait, élimine la vision impure et erronée. Lorsque nous voyons ce qui est réel, il est impossible de nous reprocher un problème ou de blâmer les autres. En tant que reflets spirituels de Dieu, nous ne voyons que ce que voit le Christ, la Vérité : l’image parfaite de Dieu.
Lorsque les disciples de Christ Jésus rencontrèrent un aveugle de naissance, ils posèrent la même question (voir Jean 9:1-7). Ils voulaient savoir si cet homme, ou ses parents, avaient péché pour qu’il devienne aveugle. Jésus répondit : « Ce n’est pas que lui ou ses parents aient péché ; mais c’est afin que les œuvres de Dieu soient manifestées en lui. » Puis il le guérit de sa cécité. La vision du Christ révèle l’homme (la véritable identité spirituelle de chacun d’entre nous) comme étant pur et innocent. Et comprendre notre perfection spirituelle apporte la guérison.
La Bible révèle que Dieu est Amour, et la Science Chrétienne est la Science de l’Amour, Dieu. Il est donc impératif que l’Amour se reflète dans l’amour dans la manière dont nous nous voyons nous-mêmes, ainsi que les autres. Comme les disciples l’apprirent, il convient de ne pas rechercher un coupable, ce qui n’est pas une attitude naturelle étant donné ce que nous sommes vraiment. Nous pouvons nous voir nous-mêmes et voir les autres comme le faisait Christ Jésus, car nous sommes le reflet de Dieu, qui ne voit en nous aucune faute. Etre conscient de l’Amour prépare notre pensée à voir la guérison se manifester.
Mary Baker Eddy, qui a découvert la Science Chrétienne, écrit : « Un état mental de propre condamnation et de culpabilité ou une foi chancelante qui doute de la Vérité sont des conditions impropres à la guérison des malades. » (Science et Santé avec la Clef des Ecritures, p. 455)
Pour se guérir soi-même ou guérir les autres, il faut éliminer la peur et tous les états de pensée qui y sont associés, notamment la tendance à tout critiquer, ainsi que l’orgueil, l’accusation, le jugement et la condamnation. Christ Jésus guérissait en comprenant que Dieu est seulement Amour, ce qui ne laisse aucune place aux opposés de l’Amour, le péché, la maladie et la mort. Ils ne font pas partie de la véritable identité de l’homme, créé à l’image et à la ressemblance de Dieu.
La vision du Christ révèle l'homme comme étant pur et innocent.
Imaginons qu’après avoir jardiné, vous remarquiez des saletés sur vos vêtements. Vous ne concluriez pas qu’elles font désormais partie de votre identité ; vous vous en débarrasseriez tout simplement. De même, la maladie ne fait jamais partie de l’identité d’une personne. La Bible nous dit : « Secoue ta poussière. » (Esaïe 52:2) Débarrassons-nous de la fausse vision de l’homme comme étant fait « de la poussière de la terre » (Genèse 2:7), ou matière, et reconnaissons qu’il n’est soumis à aucune condition qui ne soit causée ou créée par Dieu.
Avant de guérir l’aveugle de sa cécité, Jésus cracha à terre, en fit de la boue, et il l’appliqua sur les yeux de l’homme avant de lui dire d’aller se laver. Peut-être Jésus lui demandait-il symboliquement de se laver d’une vision erronée de lui-même, basée sur la matière. Ainsi, le Christ nous invite à abandonner la vision erronée d’un homme mortel, composé de poussière, et à l’échanger contre le modèle spirituel, comme il est dit dans le premier chapitre de la Genèse, où tout ce que Dieu a créé était « très bon ».
Reconnaître notre perfection spirituelle n’est pas une excuse pour ne rien faire ou pour n’en faire qu’à notre tête, mais une incitation à voir plus clairement ce qui est vrai. Dans la parabole de Jésus sur l’ivraie (les mauvaises herbes) et le froment, il est question de savoir d’où viennent ces mauvaises herbes. « C’est un ennemi qui a fait cela » répond le fermier. (Matthieu 13:28) Jésus montre que le mal n’est ni une personne, ni un lieu ou une chose, mais simplement l’opposé supposé du bien ; il décrit le diable comme « un menteur, et le père du mensonge » (Jean 8:44).
Mais il ne suffit pas de déclarer que le mal n’a pas de pouvoir, car il est impératif de voir son impuissance à la lumière de l’omnipotence de Dieu. La guérison est plus facile lorsque nous refusons de donner vie au mal, de lui donner une place dans nos pensées. Nous comprenons alors qu’aucun mal ne peut s’attacher à l’enfant de Dieu, car Dieu est Tout.
Pour abandonner la tendance à tout critiquer, à blâmer, à chercher un coupable ou à juger humainement, commençons par fixer une limite mentale, celle de refuser de croire que l’erreur fait partie de l’enfant de Dieu. La Science Chrétienne révèle que le magnétisme animal (tout ce qui éloigne la pensée de Dieu, le bien) ou toute erreur (l’opposé supposé de Dieu, la Vérité) ne nous concerne pas personnellement, pas plus que les autres. Le Premier Commandement « Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face » (Exode 20:3) montre qu’il y a un seul Dieu, un seul Entendement, et non pas Dieu plus une autre personne pourvue d’un second entendement condamnable. Le fait de considérer l’homme comme étant contrôlé par un entendement mortel, ou un cerveau matériel séparé de l’Entendement divin, est une perception erronée.
Donc, si le mal n’est pas personnel, comment le vaincre ? Selon Science et Santé, nous devons d’abord manier la peur de la maladie, et « la maladie est toujours provoquée par un faux sens qui est nourri mentalement, non détruit » (p. 411). Si nous acceptons que la discordance fait vraiment partie de notre identité ou de celle de quiconque, au lieu de l’attribuer à un « faux sens », nous nous retrouvons face à un problème sans issue. Mais si, en toute humilité, nous acceptons d’être l’image et la ressemblance spirituelles de Dieu, et que nous voyons dans la discordance le résultat de la perception erronée que nous avons entretenue au sujet de notre identité, alors nous sommes libres de rejeter cette vision erronée de nous-mêmes ou des autres pour la remplacer par les faits spirituels véritables de l’existence : l’homme parfait, pur et incapable de pécher ou d’être malade.
Un jour, mon chien a récupéré la balle que je lui avais lancée et il est revenu vers moi la gueule ensanglantée. Il semblait s’être cogné contre un mur ou quelque chose de dur. Pendant que je priais, j’étais pleinement consciente de la tendre innocence de mon chien. Je me suis reproché d’être responsable de la blessure, car j’avais joué avec lui dans la maison plutôt qu’à l’extérieur. Mais, tout comme il aurait été impensable d’accuser mon chien de ce qui lui était arrivé, j’ai vu que ce même principe d’innocence s’appliquait également à moi. A l’instant, le sang s’est arrêté de couler, mon chien était guéri et il s’est remis à jouer.
Nous pouvons naturellement nous voir les uns les autres comme étant purs, comme nous voyons la pureté et l’innocence des créatures de l’Amour. La seule chose qui mérite d’être critiquée est l’imperfection, qui est une croyance, et non la création ou la vérité de Dieu. Lorsque nous sommes confrontés à un problème, il est parfois difficile de changer de point de vue. Mais c’est l’occasion d’affirmer que le témoignage des sens matériels ne correspond pas à ce que l’homme est en réalité.
Mary Baker Eddy soulève une question importante : « L’homme malade est-il plus pécheur que les autres hommes ? » (Science et Santé, p. 318) Aux yeux de Dieu, nous sommes toujours parfaits. Cependant, si un péché n’est pas détecté ou s’il demeure mentalement justifié, il est vital de le discerner et de le reconnaître. Sinon, nous encourageons ce péché à subsister dans la pensée. « En général admettre que vous êtes malade rend votre cas plus difficile à guérir, tandis que reconnaître votre péché aide à le détruire. » (Science et Santé,p. 461)
Si nous sommes malades, devons-nous interrompre notre travail pour guérir les autres ? On a posé un jour la même question à Mary Baker Eddy, et elle a répondu en faisant remarquer que Paul avait guéri des personnes malgré une « écharde dans la chair » (II Corinthiens 12:7) : « Il est incontestablement juste de faire ce qui est bien, et guérir les malades est assurément très bien. » (Ecrits divers 1883-1896, p. 71) Il est important pour ceux qui pratiquent la guérison de voir que Dieu seul guérit. Alors, ils ne critiqueront pas leur compréhension spirituelle, leur capacité à guérir ou leur réceptivité au traitement de la Science Chrétienne, ni celle des autres.
Alors que je souffrais d’une maladie contagieuse, des personnes m’ont demandé de les aider par la prière pour guérir la même maladie. Dans un premier temps, je me suis sentie impuissante à y faire face, mais la prière m’a fait voir que je reflétais la pureté de Dieu, et j’ai accepté de les aider. Grâce à la toute-puissance et à la toute-présence de l’Amour divin révélées clairement par la prière, ces personnes ont été rapidement guéries, comme moi-même peu de temps après.
Notre perception de la vision du Christ, c’est-à-dire de ce que Jésus comprenait, élimine la vision impure et erronée. Lorsque nous voyons ce qui est réel, il est impossible de nous reprocher un problème ou de blâmer les autres. En tant que reflets spirituels de Dieu, nous ne voyons que ce que voit le Christ, la Vérité : l’image parfaite de Dieu.
Les faits relatifs aux guérisons mentionnés dans tous les témoignages et les articles ont été confirmés par écrit par des personnes qui ont été témoins de la guérison ou qui peuvent garantir l'intégrité de l'auteur.
Vous souhaitez lire d'autres témoignages, visitez le site du Héraut de la Science Chrétienne : http://fr.herald.christianscience.com/francais