Le caractère immuable de la réalité spirituelle
De Evelin Frizotti
Du Héraut de la Science Chrétienne février 2024
Du Héraut de la Science Chrétienne février 2024
« Rien n’est en soi bon ni mauvais ; tout dépend de ce qu’on en pense. » (Shakespeare) J’ai lu cette citation pour la première fois en page d’ouverture de Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy, la Découvreuse et Fondatrice de la Science Chrétienne. Cela fait comprendre que notre état mental – y compris les croyances, les concepts et les perceptions que nous admettons et auxquels nous consentons – détermine ce que nous vivons.
Les enseignements de la Science Chrétienne sont basés sur la Bible, en particulier sur les œuvres de Christ Jésus, lesquelles démontrent que Dieu est le Principe divin parfait, suprême, absolu et infini. La création de Dieu, y compris l’homme, exprime la nature divine et manifeste tous les attributs de Dieu, qui sont bons, comme l’amour, l’intelligence et l’intégrité. Il s’agit là du concept parfait et de la réalité de notre identité en tant qu’image et ressemblance, ou reflet, de Dieu, l’Esprit. Le reflet de Dieu est aussi spirituel, immortel et éternel que le créateur.
Pour progresser, il est indispensable de maintenir la réalité divine active et vivante dans notre pensée, à savoir que nous sommes la création de Dieu, à jamais spirituels, purs et saints. C’est pourquoi il est essentiel de suivre l’injonction de notre Maître, Christ Jésus, qui nous exhorte à veiller (voir Marc 13:37), afin de n’admettre dans la pensée que des concepts fondés sur Dieu ou sur la réalité spirituelle qui est immuable.
L’Esprit n’est pas soumis à la finitude, à l’instabilité ou à la mutabilité, et donc, en réalité, nous ne le sommes pas non plus. Dans la Bible nous lisons : « Toute grâce excellente et tout don parfait descendent d’en haut, du Père des lumières, chez lequel il n’y a ni changement ni ombre de variation. » (Jacques 1:17) En fait, il n’y a pas d’« ombre de variation » ni de concept faux selon lequel le bien serait limité ou changeant. La Bible montre que toutes les bénédictions qui viennent de l’Esprit sont forcément éternelles.
Le reflet de Dieu est aussi spirituel, immortel et éternel que le créateur.
Si notre état mental détermine notre vécu, le fait d’entretenir des concepts inexacts ou des perceptions erronées ouvre la porte à l’inharmonie, comme la maladie, le doute, la peur, le manque, etc. On pourrait alors penser que l’état mental d’une personne a le pouvoir de changer la réalité, qui est harmonieuse et spirituelle. Mais les inharmonies apparentes n’affectent pas la réalité spirituelle immuable. Ce ne sont que des ombres que dissipe le Christ, la nature divine de Jésus. Cette compréhension nous soutient et nous fortifie dans les épreuves. Elle nous encourage à nous attendre au bien qui est fondé sur l’immuabilité de Dieu, le bien. Science et Santédéclare : « Le sens corporel, l’erreur, peut sembler cacher la Vérité, la santé, l’harmonie et la Science, comme la brume obscurcit le soleil ou la montagne ; mais la Science, le rayonnement de la Vérité, dissipera l’ombre et révélera les cimes célestes. » (p. 299)
La propre volonté, l’entêtement et le sens physique, avec leurs limites, ne sont pas réels. Par conséquent, ils n’ont ni le pouvoir d’interférer avec l’ordre divin immuable, établi par Dieu, ni la moindre influence sur celui-ci. Jésus le prouva en démontrant la réalité complètement harmonieuse de la Vie, en guérissant les malades et les pécheurs et en nourrissant les multitudes.
La constance, la bonté et la totalité de Dieu, le Principe, sont à la base de la pratique de la guérison en Science Chrétienne.
Il nous faut être vigilants et réfuter les fausses idées qui se présentent sous la forme de pensées de ce genre : Je ne suis pas doué, je suis faible, malade, impatient, incorrigible, etc. Il nous faut également rejeter les faux concepts liés, par exemple, à l’alimentation, à l'âge ou au temps et aux conditions météorologiques. Ces suggestions ne font pas partie de la Vérité divine. Elles n’ont donc aucun pouvoir sur nous. En surveillant nos pensées, refusons d’argumenter en faveur de ces conceptions déformées de la réalité et, au contraire, chérissons la vérité de notre identité réelle et spirituelle.
La constance, la bonté et la totalité de Dieu, le Principe, sont à la base de la pratique de la guérison en Science Chrétienne. Mary Baker Eddy écrit : « La guérison physique par la Science Chrétienne résulte, aujourd’hui comme au temps de Jésus, de l’opération du Principe divin, devant laquelle le péché et la maladie perdent leur réalité dans la conscience humaine et disparaissent aussi naturellement et aussi nécessairement que les ténèbres font place à la lumière et le péché à la réforme. » (Science et Santé, p. xi) Même si, dans certaines circonstances, il peut paraître absurde de nier et de rejeter les évidences présentées par les sens matériels, il nous faut reconnaître que nous avons l’autorité du Christ pour le faire.
Tout au long de ma vie, j’ai été témoin de cette autorité dans la pratique de la guérison et j’en ai fait la démonstration, y compris lorsque j’étais enceinte. Selon le diagnostic médical, j’avais une grossesse à risque. J’étais effrayée ! Cependant, tout ce que j’avais appris à l’école du dimanche de la Science Chrétienne, ainsi que dans la Bible, dans Science et Santé et dans les articles du Héraut de la Science Chrétienne, me montraient un point de vue totalement différent. J’ai compris que le diagnostic était une conception matérielle erronée, qui n’avait pas le pouvoir de créer, de changer ou de détruire la réalité de la Vie ou d’une création de la Vie.
Cette prise de conscience m’a donné la certitude que l’intégrité et l’immuabilité de Dieu, en tant que Vie, seraient mises en lumière. Même dans les moments critiques, j’étais persuadée que l’Amour divin omniprésent prenait soin du bébé et de moi-même. Grâce à ce changement de pensée, j’avais moins peur et j’attachais moins d’importance aux pronostics matériels. Je me suis appuyée sur la réalité de la Vie, et j’en étais tellement consciente que, grâce à l’autorité divine, j’ai pu refuser la suggestion matérielle selon laquelle il y avait un risque – même si cela semblait parfois insensé. Ce ne sont pas les mots qui m’ont soutenue, mais ce que je ressentais au fond de moi au sujet de Dieu et de la nature divine, et cela m’a apporté la paix et la certitude du bien.
Tandis que le bébé et moi grandissions en grâce, les diagnostics ont évolué jusqu’à ce que la perfection soit finalement perçue par tous. Après un accouchement tout à fait harmonieux, j’ai réalisé que j’étais « née de nouveau », comme dit notre Maître (voir Jean 3:3). Il s’agissait d’une nouvelle naissance spirituelle. Cela s’est traduit par une meilleure approche de la vie, car j’ai rejeté et fait taire l’ancienne façon de penser erronée, les suggestions liées à la condition mortelle. J’ai perçu la vie d’un point de vue entièrement spirituel. J’étais prête à discerner l’Amour divin qui me conduisait sur un nouveau chemin, où je savais que mon existence changerait à jamais. Le pouvoir de discerner la Vérité n’est pas une caractéristique humaine limitée à un moment précis. Le Christ, la véritable idée de Dieu, est toujours présent pour toucher ou éveiller la conscience humaine, révélant la loi divine de la perfection et de l’harmonie. Le Christ n’a ni commencement ni fin, il brise les résistances qui empêchent de discerner la réalité spirituelle, il renverse le témoignage des sens physiques.
Abandonner des conceptions erronées et limitées n’est pas difficile ; c’est tout aussi naturel que la lumière dissipant les ténèbres. Le désir sincère de se soumettre à la réalité spirituelle et d’y être réceptif est fondamental pour progresser. On acquiert ainsi la force de ne pas accepter les suggestions d’obstruction ou la résistance à la compréhension de la vérité spirituelle. Cette soumission implique d’avoir chaque jour une attitude mentale imprégnée d’humilité, de vitalité, de vigilance et du désir de faire la volonté du Père.
Cette aspiration à discerner la réalité spirituelle s’imposera finalement à tous. A mesure que nous saisissons la réalité merveilleuse et immuable de l’Amour divin, notre vie quotidienne gagne en harmonie, en autorité, en santé et en stabilité, démontrant que « toute réalité est en Dieu et Sa création, harmonieuse et éternelle » (Science et Santé, p. 472).
Les enseignements de la Science Chrétienne sont basés sur la Bible, en particulier sur les œuvres de Christ Jésus, lesquelles démontrent que Dieu est le Principe divin parfait, suprême, absolu et infini. La création de Dieu, y compris l’homme, exprime la nature divine et manifeste tous les attributs de Dieu, qui sont bons, comme l’amour, l’intelligence et l’intégrité. Il s’agit là du concept parfait et de la réalité de notre identité en tant qu’image et ressemblance, ou reflet, de Dieu, l’Esprit. Le reflet de Dieu est aussi spirituel, immortel et éternel que le créateur.
Pour progresser, il est indispensable de maintenir la réalité divine active et vivante dans notre pensée, à savoir que nous sommes la création de Dieu, à jamais spirituels, purs et saints. C’est pourquoi il est essentiel de suivre l’injonction de notre Maître, Christ Jésus, qui nous exhorte à veiller (voir Marc 13:37), afin de n’admettre dans la pensée que des concepts fondés sur Dieu ou sur la réalité spirituelle qui est immuable.
L’Esprit n’est pas soumis à la finitude, à l’instabilité ou à la mutabilité, et donc, en réalité, nous ne le sommes pas non plus. Dans la Bible nous lisons : « Toute grâce excellente et tout don parfait descendent d’en haut, du Père des lumières, chez lequel il n’y a ni changement ni ombre de variation. » (Jacques 1:17) En fait, il n’y a pas d’« ombre de variation » ni de concept faux selon lequel le bien serait limité ou changeant. La Bible montre que toutes les bénédictions qui viennent de l’Esprit sont forcément éternelles.
Le reflet de Dieu est aussi spirituel, immortel et éternel que le créateur.
Si notre état mental détermine notre vécu, le fait d’entretenir des concepts inexacts ou des perceptions erronées ouvre la porte à l’inharmonie, comme la maladie, le doute, la peur, le manque, etc. On pourrait alors penser que l’état mental d’une personne a le pouvoir de changer la réalité, qui est harmonieuse et spirituelle. Mais les inharmonies apparentes n’affectent pas la réalité spirituelle immuable. Ce ne sont que des ombres que dissipe le Christ, la nature divine de Jésus. Cette compréhension nous soutient et nous fortifie dans les épreuves. Elle nous encourage à nous attendre au bien qui est fondé sur l’immuabilité de Dieu, le bien. Science et Santédéclare : « Le sens corporel, l’erreur, peut sembler cacher la Vérité, la santé, l’harmonie et la Science, comme la brume obscurcit le soleil ou la montagne ; mais la Science, le rayonnement de la Vérité, dissipera l’ombre et révélera les cimes célestes. » (p. 299)
La propre volonté, l’entêtement et le sens physique, avec leurs limites, ne sont pas réels. Par conséquent, ils n’ont ni le pouvoir d’interférer avec l’ordre divin immuable, établi par Dieu, ni la moindre influence sur celui-ci. Jésus le prouva en démontrant la réalité complètement harmonieuse de la Vie, en guérissant les malades et les pécheurs et en nourrissant les multitudes.
La constance, la bonté et la totalité de Dieu, le Principe, sont à la base de la pratique de la guérison en Science Chrétienne.
Il nous faut être vigilants et réfuter les fausses idées qui se présentent sous la forme de pensées de ce genre : Je ne suis pas doué, je suis faible, malade, impatient, incorrigible, etc. Il nous faut également rejeter les faux concepts liés, par exemple, à l’alimentation, à l'âge ou au temps et aux conditions météorologiques. Ces suggestions ne font pas partie de la Vérité divine. Elles n’ont donc aucun pouvoir sur nous. En surveillant nos pensées, refusons d’argumenter en faveur de ces conceptions déformées de la réalité et, au contraire, chérissons la vérité de notre identité réelle et spirituelle.
La constance, la bonté et la totalité de Dieu, le Principe, sont à la base de la pratique de la guérison en Science Chrétienne. Mary Baker Eddy écrit : « La guérison physique par la Science Chrétienne résulte, aujourd’hui comme au temps de Jésus, de l’opération du Principe divin, devant laquelle le péché et la maladie perdent leur réalité dans la conscience humaine et disparaissent aussi naturellement et aussi nécessairement que les ténèbres font place à la lumière et le péché à la réforme. » (Science et Santé, p. xi) Même si, dans certaines circonstances, il peut paraître absurde de nier et de rejeter les évidences présentées par les sens matériels, il nous faut reconnaître que nous avons l’autorité du Christ pour le faire.
Tout au long de ma vie, j’ai été témoin de cette autorité dans la pratique de la guérison et j’en ai fait la démonstration, y compris lorsque j’étais enceinte. Selon le diagnostic médical, j’avais une grossesse à risque. J’étais effrayée ! Cependant, tout ce que j’avais appris à l’école du dimanche de la Science Chrétienne, ainsi que dans la Bible, dans Science et Santé et dans les articles du Héraut de la Science Chrétienne, me montraient un point de vue totalement différent. J’ai compris que le diagnostic était une conception matérielle erronée, qui n’avait pas le pouvoir de créer, de changer ou de détruire la réalité de la Vie ou d’une création de la Vie.
Cette prise de conscience m’a donné la certitude que l’intégrité et l’immuabilité de Dieu, en tant que Vie, seraient mises en lumière. Même dans les moments critiques, j’étais persuadée que l’Amour divin omniprésent prenait soin du bébé et de moi-même. Grâce à ce changement de pensée, j’avais moins peur et j’attachais moins d’importance aux pronostics matériels. Je me suis appuyée sur la réalité de la Vie, et j’en étais tellement consciente que, grâce à l’autorité divine, j’ai pu refuser la suggestion matérielle selon laquelle il y avait un risque – même si cela semblait parfois insensé. Ce ne sont pas les mots qui m’ont soutenue, mais ce que je ressentais au fond de moi au sujet de Dieu et de la nature divine, et cela m’a apporté la paix et la certitude du bien.
Tandis que le bébé et moi grandissions en grâce, les diagnostics ont évolué jusqu’à ce que la perfection soit finalement perçue par tous. Après un accouchement tout à fait harmonieux, j’ai réalisé que j’étais « née de nouveau », comme dit notre Maître (voir Jean 3:3). Il s’agissait d’une nouvelle naissance spirituelle. Cela s’est traduit par une meilleure approche de la vie, car j’ai rejeté et fait taire l’ancienne façon de penser erronée, les suggestions liées à la condition mortelle. J’ai perçu la vie d’un point de vue entièrement spirituel. J’étais prête à discerner l’Amour divin qui me conduisait sur un nouveau chemin, où je savais que mon existence changerait à jamais. Le pouvoir de discerner la Vérité n’est pas une caractéristique humaine limitée à un moment précis. Le Christ, la véritable idée de Dieu, est toujours présent pour toucher ou éveiller la conscience humaine, révélant la loi divine de la perfection et de l’harmonie. Le Christ n’a ni commencement ni fin, il brise les résistances qui empêchent de discerner la réalité spirituelle, il renverse le témoignage des sens physiques.
Abandonner des conceptions erronées et limitées n’est pas difficile ; c’est tout aussi naturel que la lumière dissipant les ténèbres. Le désir sincère de se soumettre à la réalité spirituelle et d’y être réceptif est fondamental pour progresser. On acquiert ainsi la force de ne pas accepter les suggestions d’obstruction ou la résistance à la compréhension de la vérité spirituelle. Cette soumission implique d’avoir chaque jour une attitude mentale imprégnée d’humilité, de vitalité, de vigilance et du désir de faire la volonté du Père.
Cette aspiration à discerner la réalité spirituelle s’imposera finalement à tous. A mesure que nous saisissons la réalité merveilleuse et immuable de l’Amour divin, notre vie quotidienne gagne en harmonie, en autorité, en santé et en stabilité, démontrant que « toute réalité est en Dieu et Sa création, harmonieuse et éternelle » (Science et Santé, p. 472).
Les faits relatifs aux guérisons mentionnés dans tous les témoignages et les articles ont été confirmés par écrit par des personnes qui ont été témoins de la guérison ou qui peuvent garantir l'intégrité de l'auteur.
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